tag:blogger.com,1999:blog-75316867363752234402024-03-18T04:04:46.789+01:00Le coin lecture de NathBlog littéraire , l'envie de partager mes lectures.nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.comBlogger1736125tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-3602881592495638382024-03-17T20:24:00.009+01:002024-03-17T20:27:22.613+01:00Dernier bateau pour l'Amérique - Karine Lambert ♥♥♥♥♥<p> <span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Dernier bateau pour l'Amérique - Karine Lambert ♥♥♥♥♥</i></b></span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; color: red; font-size: x-large; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC-X8MX56SnFYTlvotPl1-pCv4BM6fB2o_pfEMuLOhlnUSA-HB6qDZmy9-SA7eJssTwu7Jm885mrBDffpoJtei4bM_zG6a-lqpxLzbDXmt2ZQ1w3_wq9acKre2KdJqCTHfmc8khMfKdo1WUP5F8fbAzT6uKMPWTgg1FCnQOrvdRe54m2T1VVPLx2xLijbp/s889/dernier%20bateau%20pour%20l'am%C3%A9rique.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="889" data-original-width="600" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC-X8MX56SnFYTlvotPl1-pCv4BM6fB2o_pfEMuLOhlnUSA-HB6qDZmy9-SA7eJssTwu7Jm885mrBDffpoJtei4bM_zG6a-lqpxLzbDXmt2ZQ1w3_wq9acKre2KdJqCTHfmc8khMfKdo1WUP5F8fbAzT6uKMPWTgg1FCnQOrvdRe54m2T1VVPLx2xLijbp/w270-h400/dernier%20bateau%20pour%20l'am%C3%A9rique.jpg" width="270" /></a></div><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p><p style="color: red; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></p>Hachette<div>La belle étoile<br />Parution : 13 mars 2024<br />Pages : 352<br />Ean : 9782501171960<div>Prix : 21.90 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>On a bien failli le rater, ce bateau de la dernière chance. On nous a prévenues à 6 heures du matin que le Serpa Pinto avait enfin accosté au vieux port. Nous avons rassemblé nos affaires à la hâte et nous sommes parties avec les valises et les paquets à travers les rues sinueuses de Marseille, soufflant, trébuchant, courant comme des poules sans tête. Les passants nous regardaient ébahis. Moi je craignais qu’on se trompe de direction. J’ai découvert le navire en deux temps. D’abord l’odeur de la fumée. Puis en arrivant sur le quai, l’immense coque noire et les trois cheminées rouges alignées. Il était sur le point de larguer les amarres. Valia a crié : « Attendez-nous ! »<br /><br />Anvers, 10 mai 1940. Pianiste prodige, Germaine Schamisso s’apprête à fêter ses dix ans au moment où les Allemands envahissent la Belgique. Benjamine d’une famille d’émigrés juifs russes, elle fuit avec les siens.<br /><br />Bruxelles, aujourd’hui . Karine Lambert apprend la mort de Germaine, sa mère, qu’elle n’a pas vue depuis vingt ans. Surgit alors chez la romancière le désir de comprendre qui était cette femme qui ne lui a jamais dit qu’elle l’aimait. Ni avec ses mains, ni avec ses yeux, ni avec ses mots. Encore moins avec ses baisers. Au fil des mois, son enquête la conduit d'Odessa à Anvers, de Marseille à Ellis Island, de New York à Bruxelles. Elle découvre le tumultueux destin de ses ancêtres, leurs déchirures, leurs secrets enfouis. La vie que sa mère ne lui a pas racontée, elle décide de l’imaginer.<br /><br /><br />Dans une narration virtuose entre les lieux et les époques,<br />Karine Lambert livre son roman le plus personnel.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Karine Lambert</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvyfWGR_gXXM5jDO22wbpNXwZ98q7Xbh7eXFiedLbK9IgbrD3zgdKObgsLQGu1_efWDxurRWFmKexSSdiYGLEy3eIoacUtHS1sVx40kZctXr8-Nyt9JOcCuj0AAi2W6fqdIt6tMyQiq_kv3ff0ot2SeA6Ho8yIwtCFbX6_XRQjBD7a5qwyU1UbCwaRL2I5/s342/karine%20lambert.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="342" data-original-width="342" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvyfWGR_gXXM5jDO22wbpNXwZ98q7Xbh7eXFiedLbK9IgbrD3zgdKObgsLQGu1_efWDxurRWFmKexSSdiYGLEy3eIoacUtHS1sVx40kZctXr8-Nyt9JOcCuj0AAi2W6fqdIt6tMyQiq_kv3ff0ot2SeA6Ho8yIwtCFbX6_XRQjBD7a5qwyU1UbCwaRL2I5/w200-h200/karine%20lambert.jpg" width="200" /></a></div></b></span>Observatrice et sensible au monde qui l’entoure, Karine Lambert est une romancière et photographe belge. Derrière son objectif, elle capte des instants de vie essentiels : éclats de rire, de fragilité et de vérité. Que ce soit avec des images ou avec des mots, elle raconte ce qui la touche. Passionnée par l’être humain et sa capacité à se réinventer, les thèmes qu’elle explore et les univers qu’elle crée sont à chaque fois très différents. Il est cependant toujours question d’amour de la vie, de perte de repères et de solidarité. Ses livres sont publiés en treize langues dans plus de vingt-cinq pays.<br />« Écrire, c’est mettre de l’ordre dans mes émotions, un espace de liberté, un grand terrain de jeu … et vivre toutes les vies que je ne vivrai jamais. Je suis tour à tour danseuse étoile, gardien de zoo ou platane centenaire. »</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><br /></div><div><br /><br />Karine Lambert nous propose son roman le plus personnel, une enquête pour comprendre ses racines et l'origine du manque d'amour maternel mais aussi un fabuleux voyage à travers le temps et l'espace, émotions garanties. ♥ <br /><br /> Au décès de sa mère qu’elle n’avait pas vu depuis plus de 20 ans, Karine a reçu un message de Viviane, sa cousine d’Amérique dont elle n’avait plus de nouvelles depuis un demi-siècle. Ce message l’a bouleversée et elle s’est questionnée sur la notion de famille, pourquoi sa mère, Germaine Schamisso avait coupé tout lien avec celle-ci, pourquoi sa mère n’avait jamais témoigné pour elle le moindre geste d’amour ? Pourquoi sa mère avait-elle dédié sa vie pour plaire à son mari ? Elle qui était une pianiste virtuose, une femme en quête de liberté ? <br /><br /> La narration est originale et émouvante. En alternance, l’autrice nous raconte l’évolution de son enquête, les maigres éléments en sa possession mais aussi ses sentiments et émotions à l’écriture, ses doutes, ses peurs et la nécessité de savoir. D’autre part, le roman prend le dessus et l’on découvre qui était Germaine Schamisso, une petite pianiste prodige qui allait fêter ses 10 ans à Anvers le 10 mai 40, jour où tout bascula, le début de la guerre. Issue d’une famille d’émigrés juifs russes, commence pour elle un nouvel exil, un long voyage vers le Sud de la France, New York, Anvers en passant par la fabuleuse Julliard’s School , Carnegie Hall où Germaine donna un concert à l’âge de 15 ans. <br /><br />On découvre la famille, la fuite contre le nazisme, un nouveau départ, des peurs, des craintes mais le plus fort est ce sentiment d’espoir, de liberté. <br /><br />La plume de Karine Lambert est magnifique, bouleversante, c’est une raconteuse d’histoire née, beaucoup d’émotions ressenties à la lecture. L’écriture est belle, pudique, juste. J’ai vraiment été emportée par cette histoire, le sentiment de l’avoir vécue, d’avoir accompagné Germaine et Karine durant la lecture. <br /><br />Lisez ce livre, il est magnifique. <br /><br /> <br /><br /> Coup de ♥<p class="MsoNormal" style="line-height: normal; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman",serif; font-size: 12pt; mso-fareast-font-family: "Times New Roman"; mso-fareast-language: FR-BE; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none;"><br /></span></p><p class="MsoNormal" style="line-height: normal; margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: "Times New Roman", serif;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Les jolies phrases</i></b></span></span></p><br /><br />Ma mère est morte il y a un mois.<br />Je ne suis pas allée à son enterrement.<br />Vingt ans que je ne l'avais pas vue.<br />Elle ne m'avait jamais dit qu'elle m'aimait.</div><div>Ni avec ses mains, ni avec ses yeux, ni avec ses mots.</div><div>Encore moins avec ses baisers.</div><div><br /></div><div>Pour l'instant tout va bien, mais le malheur traversé ne protège pas d'un nouveau malheur.</div><div><br /></div><div>Un <i>elle</i> écrit. Un <i>je </i> murmuré. </div><div>En <i>elle</i>, je pèse chaque mot, je nuance. En <i>je</i>, je me laisse aller.</div><div><br /></div><div>Être juive, c'est ainsi. On n'a plus rien, on est nu, on a froid, on est seule.</div><div><br /></div><div><i>Juive</i>. C'était un mot vie. Vide de savoir, de sens, de liens. Ma mère a manqué à cela aussi. Partager la richesse de ses origines. Je commence à percevoir le paradoxe. Faire partie de <i>la grande famille</i>, c'est à la fois bénéficier d'un terreau fertile et devenir une cible.</div><div><br /></div><div>Pour raconter leur histoire, je ne dispose que d'ombres, parfois d'un peu de lumière. </div><div><br /></div><div>Elles ont un point commun, les trois soeurs. L'urgence de vivre pour compenser leur jeunesse volée. Briller leur prenait tellement d'énergie qu'il ne restait pas de place à ces femmes pour être mère.</div><div><br /></div><div>Pour les sortir de l'oubli, , je suis sourcier, paratonnerre, éponge. J'essaye d'être authentique. J'essaye de réduire au mieux l'écart entre légende et vérité. Je tente de dater avec précision les événements. J'explore les silences, j'appréhende les secrets. Le reste, je peux, je dois le fantasmer. Si je ne trouve pas de réponse factuelle à mes interrogations, je privilégie la dramaturgie de l'histoire.</div><div><br /></div>Je ne connais rien qui puisse autant me raccrocher à la vie que l'écriture. C'est aussi fort que d'être amoureuse. Chaque livre est une nouvelle histoire d'amour. Je pensais que celle-ci n'en était pas une.<div><br /></div><div>Pour moi, Juif, cela signifie la terreur, l'horreur, le malheur. J'ai déjà quitté un pays à cause de toi, ma carrière de l'autre côté de l'Atlantique à cause de toi. Je ne suis plus le paquet que vous déplacez à votre guise. Je n'irai pas en Israël, je n'irai pas à New York, je n'irai plus où tu veux. Mon mari deviendra mon continent. <br /><div><div><p></p></div></div><div><br /></div><div>Si l'on avait été deux, le silence n'aurait pas pris toute la place. On aurait terrassé le chagrin et l'indifférence. Je ne peux m'empêcher de penser que cela aurait tout changé. </div></div><div><br /></div><div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Du même auteur j'ai lu</span></i></b><br /><br /><br />Cliquez sur la couverture pour avoir accès à l'article</div><div><br /></div><div><br /><br /><br /><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2019/04/limmeuble-des-femmes-qui-ont-renonce.html"><img height="200" src="https://lh6.googleusercontent.com/proxy/EteOdewcYSu_MsqhperxGYJQ7AijaelnyHSyvqsjbX5IQTseXOZKbq1WaOPhr0Otblzd1XJUqg3UKEaSAcwv39ce36w8WnfqO4KBq0OXUrtECqpQ4ntOtAfjIXDdnatIKX1WnUXt9W9SNNJ4Qq62gx82pD5brYU6gMwX=w125-h200" width="125" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2017/01/eh-bien-dansons-maintenant-karine.html" style="background-color: #3d85c6; color: #3d74a5; font-family: Arial, Tahoma, Helvetica, FreeSans, sans-serif; font-size: 13px;"><img alt="Image" height="200" src="https://karinelambert.be/files/arts/page_3/cover-eh-bien-dansons-maintenant.jpg" style="border: none; padding: 8px; position: relative;" width="123" /></a><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2018/05/un-arbre-un-jour-karine-lambert.html" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="955" data-original-width="600" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEii8m_VGiRzdIotulCsg5hCdKzgenFF2CtirDAq9jQX8t3zGcq_yZIOPIpbZRoBZcQnb55ul_V2o-EQIYRlR2n3VW10GBU0qs2jvcb9MB1Cqv2H18PQby99BWQlHZKVBcZb5mhtcZeByQv0MxNzqevfIWpNFyJOfjgLJfhwy41xbPtVt1fS-esTTRVkxxin/w126-h200/un%20arbre%20un%20jour.jpeg" width="126" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2020/04/les-hommes-aussi-ont-la-chair-de-poule.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2265" data-original-width="1400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPqvuN63mAe66ifJtULxy8ihqiZcCjdvR1xhK3dj7UQln7Yi6t2lUbFx1zX1F451cqKqa01etNG41mUhGXyMqmyURaRtWecflwDrW42aQsORtrYSnfwnoZsBFYKvCUGMIwEOU1-uXeR1zPF3MGoYSprhfe8Agy1AXLkIb1teBzU9PeKYMw3ufBc0gJSrj6/w124-h200/les%20hommes%20aussi%20ont%20la%20chair%20de%20poule.jpg" width="124" /></a></div></div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2019/04/toutes-les-couleurs-de-la-nuit-karine.html" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="636" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4CpUlStS0_vU55ZPSn76YbnE3zn8wRLigNoKtju1k5Y6By_9CX6IfBG-k81boGEoznwbprlx-N1Tfz2No6j2M8o1uVwgaJDjyWIwltkSIyRyddyZRxu5Dw_d3vX2zwi8FoU1KlRUesqCsL2_01O-ubNBOFyYcLpDW1qUvi_QlV8y2E1T4wnJRc48vQyfe/w126-h200/Toutes-les-couleurs-de-la-nuit.jpg" width="126" /></a></div><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2023/12/ta-promesse-la-meuse-karine-lambert.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="1654" data-original-width="1181" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMwuD6oUAc9kwFdy28kCASE1RcDhITvuXhhFpZqcoBRUKQUzqqfDR0hqmnVskP02QD4B77Q6oVZVK_nAzfK4ZIH2GzWXSlXu7azji0qbaPqj5Mpn_VzFyBEftECeBZ-HbbuStGcuL9yiKabMJDh7cugbE1jklYPRcbx8oWA7P3zGAbkkqzys0tFMV12YI_/w143-h200/ta%20promesse%20%C3%A0%20la%20Meuse.webp" width="143" /></a><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijganTM4gLWscgHoEVC6sQzFF5ikcOsb0X8BVLQ2DUlkMg7WUGi0CZLNqibaxY6arsbRbT0b9-hzy3hB-zX8JzKRWMDVBRktG-fQ8JrN4NbeHvFEzx71Y_5SR9tce5K3ZPVSIepifp9EmyLaXfhrWIP6OFmx0Y-GDOO8bWsyxIE0J3eMO32VGmlX3wTGTe/s398/made%20in%20belgium.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijganTM4gLWscgHoEVC6sQzFF5ikcOsb0X8BVLQ2DUlkMg7WUGi0CZLNqibaxY6arsbRbT0b9-hzy3hB-zX8JzKRWMDVBRktG-fQ8JrN4NbeHvFEzx71Y_5SR9tce5K3ZPVSIepifp9EmyLaXfhrWIP6OFmx0Y-GDOO8bWsyxIE0J3eMO32VGmlX3wTGTe/w400-h161/made%20in%20belgium.jpg" width="400" /></a></div><br /><div><br /><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-62205382614180079092024-03-16T17:35:00.002+01:002024-03-16T17:35:58.938+01:00Ils ont rejoint mon Himalaya à lire<p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Ils ont rejoint mon Himalaya à lire.</i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjY8eDWuv7ve8PnjREivkliYA9y_PRxjW7TEBZPUdF6RsyZak1H8NkaF7ZNpE1vk0iPsc6W2y9faPkYfiWv4Yr3Sx3dfoFZtoC9whwxsb7VDhKEa43FmM6cJO8SQqVjFNR1NW0syyHjEe0iL4OdllpvSklAEB9nHKVnWdc684L5wgG8ATckrANE_8r_DgK/s1806/pal%20new.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1806" data-original-width="1715" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjY8eDWuv7ve8PnjREivkliYA9y_PRxjW7TEBZPUdF6RsyZak1H8NkaF7ZNpE1vk0iPsc6W2y9faPkYfiWv4Yr3Sx3dfoFZtoC9whwxsb7VDhKEa43FmM6cJO8SQqVjFNR1NW0syyHjEe0iL4OdllpvSklAEB9nHKVnWdc684L5wgG8ATckrANE_8r_DgK/w380-h400/pal%20new.jpg" width="380" /></a></b></span></div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p><br /></p><p><br /></p><p>Quand il n'y en a plus, il y en a encore. De belles arrivées de la part de Murmure des Soirs que je remercie. Ce sont des parutions en avril ce qui me laisse un peu de temps.</p><p><br /></p><p> <span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le maître des rêves - Christian Lauwers</i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIbwycmEy-gDrDbGkbcontOnckRTQwRyVdlF1RpPDogmvSQ4yhmsUxJ3wIhsq6OIlDbqlrCWkiEFKhqg-wVw0YkFRBG2oc2wHMnl4vSc2AlG7jgKgrI4mmEN9d4tAD7yZWjr3aNIlXzjOdfewnp1XE85yFjXhov8XLpCCSjpWUa2HtW9LGamWHx5WrsA0f/s1157/le%20ma%C3%AEtre%20des%20r%C3%AAves.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1157" data-original-width="827" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIbwycmEy-gDrDbGkbcontOnckRTQwRyVdlF1RpPDogmvSQ4yhmsUxJ3wIhsq6OIlDbqlrCWkiEFKhqg-wVw0YkFRBG2oc2wHMnl4vSc2AlG7jgKgrI4mmEN9d4tAD7yZWjr3aNIlXzjOdfewnp1XE85yFjXhov8XLpCCSjpWUa2HtW9LGamWHx5WrsA0f/w286-h400/le%20ma%C3%AEtre%20des%20r%C3%AAves.jpg" width="286" /></a></b></span></div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b></b></span></p><br /><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p>Murmure des soirs<div>Parution : avril 2024</div><div>Pages : 261</div><div>Isbn : 9782931235164</div><div>Prix : 20 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Plongez en 1989, à Londres, dans une enquête trépidante aux côtés de l'inspecteur Reich et du détective Sigmund Holmes. Ensemble, et avec l'aide du docteur Yungson, ils traquent un malfaiteur jusqu'aux profondeurs du royaume des rêves. Une enquête au rythme endiablé qui les conduira du British Museum à Ostende.<br /><br /><br /><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le chant du chardonneret - Carine Mestdag</i></b></span><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQ8cUEnfEu-Fkn1U1ruvyKhw8qVbXytNtJNb4auNhIpYeJgTKf90GU8_mN_8mrlR6db84LEAfjQYuZ0zROIzSX99UQLx5_-Q6EVFhMf8Z2pMu889BTWj_V5OJViYyO5Set_yG8myTegfg4NAel_jcnvuc6a9yuFcTOk5F3E2KGAT9Az8hhN0X6HADGUHk8/s466/le%20chant%20du%20chardonneret.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="466" data-original-width="333" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQ8cUEnfEu-Fkn1U1ruvyKhw8qVbXytNtJNb4auNhIpYeJgTKf90GU8_mN_8mrlR6db84LEAfjQYuZ0zROIzSX99UQLx5_-Q6EVFhMf8Z2pMu889BTWj_V5OJViYyO5Set_yG8myTegfg4NAel_jcnvuc6a9yuFcTOk5F3E2KGAT9Az8hhN0X6HADGUHk8/w286-h400/le%20chant%20du%20chardonneret.jpg" width="286" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span><br /><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Murmure des soirs</div><div>Parution : avril 2024</div><div>Pages : 163</div><div>Isbn : 9782931235140</div><div>Prix : 20 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>L'autrice nous offre une leçon de sagesse et de philosophie de l'existence. Empli de retenue, de délicatesse, de grâce, de légèreté, de douce mélancolie, de profondeur des choses infimes, ce roman est arrimé aux grands textes de la poésie française et nippone. Parcourez l’histoire d’un écrivain japonais, accompagnez ses rencontres, sa quête et ses douleurs. Evoluez avec lui vers une lumineuse ouverture de conscience.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'instant du silence - Luc Dellisse</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBA_4TKwiuUZ8uA3UNEDDXvar2RXH5xxq08mYLgVX19gwsLjOpiKQdIKbDRtDhIrnj7-6G7AC1rS8RyWdIyCfAOTlT18Ff9pnZcPfM6YdDRmSvUkJYDMdP4-cAqmLw7JexqUmT3Rhuc5MgFZUHB296vKtoFbdSCJfYu5iXL7ikao_GTp_0wmggR2YNpYRE/s466/l'instant%20du%20silence.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="466" data-original-width="341" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBA_4TKwiuUZ8uA3UNEDDXvar2RXH5xxq08mYLgVX19gwsLjOpiKQdIKbDRtDhIrnj7-6G7AC1rS8RyWdIyCfAOTlT18Ff9pnZcPfM6YdDRmSvUkJYDMdP4-cAqmLw7JexqUmT3Rhuc5MgFZUHB296vKtoFbdSCJfYu5iXL7ikao_GTp_0wmggR2YNpYRE/w293-h400/l'instant%20du%20silence.jpg" width="293" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Murmure des soirs<div>Parution : avril 2024</div><div>Pages : 202</div><div>Isbn : 9782931235119</div><div>Prix : 20 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Transportez votre esprit dans un univers étrange et dangereux. Voyagez au cœur de seize histoires remplies de mystères, de secrets ou de drames. Mais “malgré leur part de tragique, tous ces récits créent une impression de plaisir : celle de l’action, celle de la chance. Et celle de l’espoir, qui domine tout le reste – le temps, la peur, l’éternité”.<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'itoi - Jean-Marc Rigaux</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHqUk6Kiov8lH2qVFuIP1xMYAi_y8EgCx8RZTzIwFoBp8yM6BXgo1cUUc9_U5olgzVgr1twoqtxqZ5MuFUf6mSiSLV5cj0GYSNJsgFtAeQbls2NXtff8hiw49TxndlxTLi637sAfznSo_xokT9JdVa1fmbg6gRWqc7qTJeu5ZskbHlhP9Ola-lg8ZciYDk/s1157/l'itoi.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1157" data-original-width="827" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHqUk6Kiov8lH2qVFuIP1xMYAi_y8EgCx8RZTzIwFoBp8yM6BXgo1cUUc9_U5olgzVgr1twoqtxqZ5MuFUf6mSiSLV5cj0GYSNJsgFtAeQbls2NXtff8hiw49TxndlxTLi637sAfznSo_xokT9JdVa1fmbg6gRWqc7qTJeu5ZskbHlhP9Ola-lg8ZciYDk/s320/l'itoi.jpg" width="229" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span>Murmure des Soirs</span></div><div><span>Parution : 1er avril 2024</span></div><div><span>Pages : 234</span></div><div><span>Isbn : </span>978-2931235188</div><div>Prix : 22 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Dans des mondes aussi féroces que le noyau familial d’où tout est parti, découvrez une fratrie éclatée, dans laquelle chacun espère trouver ailleurs son équilibre ou de quoi réaliser ses ambitions. Une véritable quête identitaire et culturelle. De l’Inde au Mexique, de l’Ouganda au Rwanda sans oublier la Belgique, cet ouvrage vous emmène aux quatre coins du monde.<div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Suis vraiment impatiente de retrouver la plume de Kenan Görgün</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Oublie que je t'ai tuée</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0flwUDQwA1Sse0zSWqvm7TrNL9PiKiutq8qyDtNrRU04eyXLLC1gLVhewjEU-yWhmErn8CeYvykP-fRhHVoVvGmqa5Q2pIY4wK-WHWUruiQJJieYjLJ4orFdb7rncPuX2_LCLsS1bqQPHioVexHZnNJWGaTdk_uT1iQ00WScyWYrpCuUteX4orDhi7_2w/s565/oublie%20que%20je%20t'ai%20tu%C3%A9e.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="565" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0flwUDQwA1Sse0zSWqvm7TrNL9PiKiutq8qyDtNrRU04eyXLLC1gLVhewjEU-yWhmErn8CeYvykP-fRhHVoVvGmqa5Q2pIY4wK-WHWUruiQJJieYjLJ4orFdb7rncPuX2_LCLsS1bqQPHioVexHZnNJWGaTdk_uT1iQ00WScyWYrpCuUteX4orDhi7_2w/w284-h400/oublie%20que%20je%20t'ai%20tu%C3%A9e.jpg" width="284" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span>L'atalante</span></div><div><span>Collection : Fusion</span></div><div><span>Parution : 21 mars 2024</span></div>Pages : 288<br />Ean : 9791036001802<br />Prix : 19.90 €<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Le soir de la Saint-Valentin dans un quartier huppé de New York.<br />Stan attend sa femme Susannah pour un dîner aux chandelles. S’agit-il de lui faire plaisir, de raviver la flamme dans leur couple ? Non : le projet est de la tuer. Stanley, écrivain raté, fera-t-il meilleure carrière dans le crime ?<br /><br />À travers cette comédie noire, Kenan Görgün fait le portrait d’un homme prisonnier d’un complexe d’infériorité, face à une femme qui a réussi. Oublie que je t’ai tuée est un « polamour » fleur bleue électrique.<br /><br /><br /><div><b><i><span style="color: #2b00fe;">Chez Futuropolis un graphique</span></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Au pied des étoiles - Baudoin et Lepage</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVgw1W_vGm1b1cCsTW44KxwHysVNhttpNt1pynIu6BZb2dMWkWsOl2NKUYqqzVlMBTLdoazGrGYYL0cXQxrP8eTrJfv25TmKdG9A8Zf903bW2TkDYcMzSs4O1MOsTgSxTxfLVsDVnbzB8y0lczxocr4wm0ZQebDoB9UQE9EyAB4vL319thqOepRrTK2egC/s3511/au%20pied%20des%20%C3%A9toiles.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3511" data-original-width="2567" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVgw1W_vGm1b1cCsTW44KxwHysVNhttpNt1pynIu6BZb2dMWkWsOl2NKUYqqzVlMBTLdoazGrGYYL0cXQxrP8eTrJfv25TmKdG9A8Zf903bW2TkDYcMzSs4O1MOsTgSxTxfLVsDVnbzB8y0lczxocr4wm0ZQebDoB9UQE9EyAB4vL319thqOepRrTK2egC/w293-h400/au%20pied%20des%20%C3%A9toiles.jpg" width="293" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><span>Futuropolis</span></div><div><span>Parution : 06/03/24</span></div><div>Pages : 264</div><div>Isbn : 9782754835657</div><div>Prix : 28 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><br /><br />Un professeur de physique dans un lycée de Grenoble, José Olivares, avait un rêve : emmener ses élèves voir les étoiles dans le désert d’Atacama, au Chili. Là où se trouvent les plus grands observatoires sur terre. Il avait imaginé que deux auteurs de bande dessinée racontent en images cette expédition. Le voyage était prévu en avril 2020, mais rien ne s’est passé comme prévu. Alors que le monde est confiné pour cause de pandémie, on découvre chez Emmanuel Lepage une tumeur maligne. Plus question de partir.<br />Un premier voyage aura finalement lieu en décembre 2021, sans les lycéens, faute d’argent, mais avec le professeur et les deux auteurs. C’est le moment de l’élection présidentielle au Chili, qui devra départager un candidat d’extrême droite et le jeune candidat de la gauche unie, Gabriel Boric. Dans cette effervescence du résultat de l’élection, où se joue l’avenir du Chili, les deux auteurs se mêlent au peuple qui afflue en masse vers la place d’Italie...<br /><br />Depuis ses débuts, l’aîné, Edmond Baudoin, s’est tourné vers une bande dessinée autobiographique, tandis que le cadet, Emmanuel Lepage, a choisi de s’exprimer dans la fiction, pendant vingt ans, avant de se permettre de dire « je » dans ses livres. Mais ce qui les réunit est bien plus fort que ce qui les sépare : le voyage d’abord, leur amour de l’art et du beau ensuite, leur engagement passionné pour l’humain enfin. Témoin, ce livre de non-fiction magnifique, singulier, foisonnant, riche de leurs échanges, écrit et dessiné à quatre mains. Il raconte leur voyage au Chili en décembre 2021, les étoiles du désert d’Atacama, le dessin, l’amour, les rencontres, la nécessité de transmettre, la beauté des êtres et des choses, et toujours, toujours, la vie.<br /><br /><br /><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Un petit tour au marché de la poésie de Virton et en voilà un de plus....</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Transparences - Jean-Michel Aubevert</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp4CwE39oaD58jvGvsBJJb-tdWL8tRa2VvRLKb3yqsCGktyz-qOVfL19Sqtl4Ib5xfnbYcdkERqqyCuh4im2KBNz4V373XgihQNPg8GosLZYLiS6kcXKo6j7Vp3VVfDZAJdbc5me63R4bOo8sk_025hNp9p8H0wq6ZlmcjEa3t2DyYD2BRFlfDF8-9ZTdb/s915/transparences.jpeg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="915" data-original-width="640" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp4CwE39oaD58jvGvsBJJb-tdWL8tRa2VvRLKb3yqsCGktyz-qOVfL19Sqtl4Ib5xfnbYcdkERqqyCuh4im2KBNz4V373XgihQNPg8GosLZYLiS6kcXKo6j7Vp3VVfDZAJdbc5me63R4bOo8sk_025hNp9p8H0wq6ZlmcjEa3t2DyYD2BRFlfDF8-9ZTdb/w280-h400/transparences.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Le coudrier</div><div>Parution : 2022</div><div>Pages : 67</div><div>Illustrations : Joëlle Aubevert</div><div>Isbn : 9782390520368</div><div>Prix : 16 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Le poème qui fait chanter les mots sur le thème des Je t’aime fait les enchantés sur les ailes du cœur.<br />C’est un bonheur qui nous est conté, dont reposent les heures au puits des regards qui ont vu se féconder leurs eaux, de vive voix, la résonance des peaux au lit des beaux yeux.<br /><br />Extrait<br /><br />Sous l’écho des branches<br />C’était à l’encre blanche<br />Que versait la lumière,<br />Madame, nos dimanches.<br /><br />Écrirais-je un « tombeau »<br />Sur le lit des eaux ?<br />La rivière du temps,<br />Le passé, le présent.<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Merci aux éditions Lamiroy pour la réception de son mensuel littéraire belge L'article</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">L'article de Véronique Bergen - Marguerite Yourcenar</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghv-qili1nmNWdOH6rL_iqg-WbAmNRRyfLjb4VYfTa52Z1PTe66si8BWz40TU_tkar3KUNooeh9xBhGnTlEG1I-BWqVyRFpMM4SJEsM-Re_Hn24Wc8IfsdL81qfQSFXn0WdUkHoT_qtP4BEJMkM3HJ5vI8wugOBm6QiVxXpSi7aeV_kKLAaRIWmbp12RyN/s1654/l'article%20marguerite%20yourcenar.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1654" data-original-width="1181" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghv-qili1nmNWdOH6rL_iqg-WbAmNRRyfLjb4VYfTa52Z1PTe66si8BWz40TU_tkar3KUNooeh9xBhGnTlEG1I-BWqVyRFpMM4SJEsM-Re_Hn24Wc8IfsdL81qfQSFXn0WdUkHoT_qtP4BEJMkM3HJ5vI8wugOBm6QiVxXpSi7aeV_kKLAaRIWmbp12RyN/w285-h400/l'article%20marguerite%20yourcenar.webp" width="285" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>Lamiroy<div>L'article</div><div>Parution : 01/03/24</div><div>Pages : 46</div>ISBN : 978-2-87595-904-1<div>Prix : 5 €</div><div><br /></div><div><br /><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><br /><br />La nuit est tombée. En haut d’une colline, à l’entrée d’une grotte deux figures sombres nous attendent. Nous montons vers elles avec des bougies. Arrivés à leur hauteur, un grand souffle de vent éteint nos lumières. « Elles ne sont pas nécessaires », disent en chœur les deux gardes du temple. « Michèle marchera devant vous, moi je marcherai derrière et ma voix vous guidera. » Dès lors, nous entrons dans la grotte et la pleine obscurité. Nous serpentons parmi des parois qui suintent, qui respirent. Une odeur moite d’un vivant qui semble à la fois se putréfier et déborder d’énergie. Parfois, quelques pierres précieuses illuminent ce monde souterrain. « Elles ont été ciselées par la grande prêtresse », nous dit Véronique. Nous ne descendons pas, nous sommes toujours en train de monter.<br />Quand arriverons-nous à l’air libre, au sommet du rocher ? Véronique poursuit son récit, les images de nombreuses époques, de nombreux êtres humains se mêlent dans notre esprit, y prennent racine et s’y développent. Notre conscience transmute dans ce voyage. Tout ce que nous mettions dehors devient le dedans. Nous allons enfin pouvoir communier, être initiés aux mystères de la grande prêtresse. Michèle s’arrête. Sommes-nous arrivés ? Une voix profonde emplit l’espace, fait vibrer nos poitrines. Une voix qui nous emplit d’une force éternelle, l’Aiôn. Nous aspirons, nous entrons en contact avec cette puissance unique. Mais le plafond se met à craquer… des fissures apparaissent et la lueur de la Lune pénètre dans ce monde préservé. « Ne craignez rien, il tente à nouveau de nous détruire », dit la grande prêtresse, Marguerite Yourcenar. « Qui ça ? Quel est le nom de notre ennemi ? » Nous attendons la dernière révélation. « Il n’est pas notre ennemi, il est celui qui veut réguler toute chose. L’Apeiron se tient prêt à nous engloutir, comme il est prêt à nous recracher. Sa puissance est opaque et informe, elle n’a pas la vitalité et la précision de l’Aiôn. Elle est inintellectuelle, inorganique et froide. Elle n’en demeure pas moins une force qui frappe notre univers.<br />Soyez courageux, chers initiés. Soyez passionnés et vivez l’existence en incorporant le dehors dans le dedans. Alors, vous ne mourrez pas vainqueurs mais vous aurez combattu. »<div><br /><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>La foire du livre de Bruxelles approche à grands pas , le prix du roman noir de cette année</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Les traîtres - Mimosa EFFE</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiumDnGcHzFBT9kVhYAhs55p06t3Iwm6tXQEIu0JvJsmFMbb4I1F6WdccPKvQEVd0nj8CcxtW8gV6N3sZmFDW4rI5oBE0yASua4Vzgo6dRBZw78-zhCvzN-s_pci0X9-rZ9HVuA6H9HeDBzykJeS13HYmCMCj8bKs0xZekMIH14a5oeEI2GMQnwCn3lEIc5/s500/Les%20tra%C3%AEtres.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="333" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiumDnGcHzFBT9kVhYAhs55p06t3Iwm6tXQEIu0JvJsmFMbb4I1F6WdccPKvQEVd0nj8CcxtW8gV6N3sZmFDW4rI5oBE0yASua4Vzgo6dRBZw78-zhCvzN-s_pci0X9-rZ9HVuA6H9HeDBzykJeS13HYmCMCj8bKs0xZekMIH14a5oeEI2GMQnwCn3lEIc5/w266-h400/Les%20tra%C3%AEtres.webp" width="266" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Ker éditions</div><div>Tranches de vie</div><div>Parution : 03/04/24</div><div>Pages : 228</div><div>Ean : 9782875864727</div><div>Prix : 18 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Un matin de juin, le corps de Marie Declercq est repêché dans le canal Saint-Martin, crâne rasé. L'enquête conduit la commissaire Kateb sur la piste de l'extrême droite flamande, mais sans témoins, l'affaire tourne à l'impasse. Six ans plus tard, le suicide de la dernière compagne de Marie provoque la réouverture de l'enquête. De Paris à Bruxelles, Kateb se heurte aux hautes sphères de l'Etat et à des militants antifascistes.<br />Tous s'acharnent à saboter ses recherches...<br /><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Il y a un nouveau Harold Cobert publié ches "Les escales" que je remercie, une plume que j'aime beaucoup</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Le rouge et le blanc - Harold Cobert</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><div class="separator" style="clear: both; font-style: italic; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhO1juqk_r6M77e5YDPEH2aMHaqZeE57zqRV26rEFLGMwpgx0fwpmFaidKJTECWUfXSXd_BLEHgvLKFXVlhVSyKG3rXP5WU5vR0ThKJGGRWmApGqO7UGbj7O6Fh7prdW6MBBsvZBQhZ4wEJkzf78Heb5Ezaulez1capecFKPwbELZxKu04KT__ciPnvb6uR/s564/le%20rouge%20et%20le%20blanc.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="564" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhO1juqk_r6M77e5YDPEH2aMHaqZeE57zqRV26rEFLGMwpgx0fwpmFaidKJTECWUfXSXd_BLEHgvLKFXVlhVSyKG3rXP5WU5vR0ThKJGGRWmApGqO7UGbj7O6Fh7prdW6MBBsvZBQhZ4wEJkzf78Heb5Ezaulez1capecFKPwbELZxKu04KT__ciPnvb6uR/w249-h400/le%20rouge%20et%20le%20blanc.jpg" width="249" /></a></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div>Les escales<br />Parution : 07/03/2024<br />Pages : 528<br />Ean : 9782365698504<br />Prix : 22 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Une fresque historique magnifique qui raconte le destin tragique de deux frères désunis par l’Histoire mais liés par l’amour d’une femme.<br />Russie, 1914. Tout oppose Alexeï et Ivan Narychkine, deux frères issus de l’aristocratie. Alexeï, l’aîné, a hérité de leur père son tempérament déterminé et réfléchi. Libéral, il prône la modernisation et la démocratisation de la Russie. Ivan, lui, ressemble à leur mère : d’un naturel tourmenté et exalté, il épouse volontiers les pensées anarchistes et marxistes.<br /><br />Mais les deux jeunes hommes ont quelque chose en commun : leur amour pour Natalia, leur sœur de lait, fille de leur gouvernante et de l’administrateur des terres familiales.<br /><br />Quand, en 1917, la Révolution éclate, tous se déchirent et chacun choisit son camp, au risque de devoir un jour s’affronter…<br /><br />À travers les parcours d’Alexeï, d’Ivan et de Natalia, Harold Cobert livre une épopée passionnante de près d’un siècle, portée par des personnages inoubliables.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Chez L'Iconoclaste plusieurs autrices nous parlent de la complexité des vies de femme.</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Être mère </span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiPC30YJUIjQ9gr2Oqz7MVGLT9C7ePMG57_Ir1oN-M0rnJgRquPqakjbAGU2bbZQ1pwUVwzxPo8UP7iwk9KZ0XPhufIFd2U4AWcm3i_biRk8fxpo1YR_tpJAYrziGik1xvLmgschx-k0ADH3bF6G4G9ARCsYsvTw8XnOWL2i2alWE5C5tNdKCdyZQVjywN/s340/%C3%AAtre%20m%C3%A8re.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="340" data-original-width="340" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiPC30YJUIjQ9gr2Oqz7MVGLT9C7ePMG57_Ir1oN-M0rnJgRquPqakjbAGU2bbZQ1pwUVwzxPo8UP7iwk9KZ0XPhufIFd2U4AWcm3i_biRk8fxpo1YR_tpJAYrziGik1xvLmgschx-k0ADH3bF6G4G9ARCsYsvTw8XnOWL2i2alWE5C5tNdKCdyZQVjywN/w400-h400/%C3%AAtre%20m%C3%A8re.jpg" width="400" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div>L'iconoclaste<br />Collectif<br />Parution : 04/04/24<br />Pages : 176<br />Isbn : 9782378804329<br />Prix : 18 €<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Nous ne sommes peut-être que la moitié de l'humanité, mais nous l'avons créée tout entière.<br /><br />" Nous ne sommes peut-être que la moitié de l'humanité, mais nous l'avons créée tout entière ; donc nos peurs, nos réflexions, nos déchirures ont droit de cité au sein des livres. En nous efforçant<br />de faire entrer la maternité en littérature, nous lui donnons, j'espère, la place qu'elle mérite. "<br />Avec leur style, leur langue, le rythme propre à chacune, sept autrices d'aujourd'hui nous plongent au coeur de la puissance et des tempêtes de la maternité.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Un magnifique album graphique chez Casterman</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Il y a longtemps que je t'aime - Marie Spénale</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwOzlH8IvFMV6ZV-BMZjmyBvWQNC3jJKRd-3CEifoa-kRO9rrcIomYyOL7pelappOlW3WYzJ88IaIZVhtVmotqsNe2Gb2pIGQzDIcwlmjygYsMZOsDTbxsnqAoLCxetlx4Gv8RaUYbr8apim1yubOjUYgVqVriIxt_j7zAIcRDuCZmyQ5Gnhyphenhyphen-fwSZvBhH/s456/il%20y%20a%20longtemps%20que%20je%20t'aime.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="342" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwOzlH8IvFMV6ZV-BMZjmyBvWQNC3jJKRd-3CEifoa-kRO9rrcIomYyOL7pelappOlW3WYzJ88IaIZVhtVmotqsNe2Gb2pIGQzDIcwlmjygYsMZOsDTbxsnqAoLCxetlx4Gv8RaUYbr8apim1yubOjUYgVqVriIxt_j7zAIcRDuCZmyQ5Gnhyphenhyphen-fwSZvBhH/w300-h400/il%20y%20a%20longtemps%20que%20je%20t'aime.jpg" width="300" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div>Casterman<br />Parution 13/03/2024<br />Pages : 128<br />Isbn : 9782203276505<div>Prix : 24 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br />L’aventure à la fois introspective et sensorielle d’une Robinson Crusoé au féminin !<br /><br /><br />Partie en croisière avec Alain, son mari de longue date, Annie se réveille sur une île déserte après un violent naufrage.<br />Malgré ses peurs, elle survit comme elle peut, seule dans la nature. Face à elle-même, elle commence à questionner le rôle qu'elle s'est assigné dans sa propre vie, et celui qu'elle a laissé son mari jouer.<br />Qui est-elle vraiment, de quoi a-t-elle vraiment envie ? La rencontre inattendue avec un indigène, loin des conventions sociales, va accentuer sa découverte d’elle-même et lui permettre de réinventer son désir.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Un dernier livre qui sera vite lu je pense car il parle de la condition des femmes emprisonnées en Iran, c'est celui de Narges Mohammadi , Prix Nobel de la Paix, toujours emprisonnée à ce jour.</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Torture blanche - Narges Mohammadi</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhW1aBX7xWZh7SJ-QMJjzZXosAAPcoEsqe8Mn7EagjSLxVdvUWEIRU4iWKM2f24UxVs2w8G-FGMf6fvW17ArBl55N8st_1n1IoZoMhlr-STL1UA3itMe4h695U_w_ExbkAQYSLGDh7pRU1KdUFhyphenhyphenctVBoYXQAfkOeH01_zbVneGLTk2HaGf6u0nPdSopqT6/s800/torture%20blanche.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="516" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhW1aBX7xWZh7SJ-QMJjzZXosAAPcoEsqe8Mn7EagjSLxVdvUWEIRU4iWKM2f24UxVs2w8G-FGMf6fvW17ArBl55N8st_1n1IoZoMhlr-STL1UA3itMe4h695U_w_ExbkAQYSLGDh7pRU1KdUFhyphenhyphenctVBoYXQAfkOeH01_zbVneGLTk2HaGf6u0nPdSopqT6/w258-h400/torture%20blanche.jpg" width="258" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div>Albin Michel<div>Parution : 06 mars 2024</div>Préface de : <a href="https://www.albin-michel.fr/shirin-ebadi">Shirin Ebadi</a><br />Traducteur : <a href="https://www.albin-michel.fr/didier-ausan">Didier Ausan</a><br />Postface de : <a href="https://www.albin-michel.fr/shannon-woodcock">Shannon Woodcock</a><br />Pages : 288<br />EAN : 9782226492678<br /><div>Prix : 20.90 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />« Le 16 novembre 2021, pour la douzième fois de ma vie, j'ai été arrêtée et pour la quatrième fois condamnée à être placée en cellule d'isolement. Cette fois, mon chef d'accusation, vous le tenez entre vos mains : c'est ce livre, Torture blanche. On m'enfermera encore. Mais je continuerai de me battre jusqu'à ce que les droits humains et la justice règnent dans mon pays. » Narges Mohammadi<br /><br />Infatigable militante des droits humains, Narges Mohammadi, prix Nobel de la Paix 2023, livre depuis la prison de Zanjan où elle est incarcérée le tableau terrifiant du traitement infligé par la République islamique d'Iran aux prisonnières politiques et aux militantes, soumises à la « torture blanche », une peine d'isolement total. Les entretiens qu'elle a menés, dans des conditions particulièrement dangereuses, avec treize détenues constituent un témoignage de résistance unique et un acte de courage qui s'inscrit dans le sillage du mouvement « Femme, vie, liberté »<div><br /></div><div><br /></div><div>Belles lectures.</div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-57865897213424239022024-03-15T20:01:00.012+01:002024-03-15T21:40:13.640+01:00Loire - Etienne Davodeau *****<span style="color: red; font-size: large;"><i><b>Loire - Etienne Davodeau ♥ *****</b></i></span><br /><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh48kdomzqP5X1BHQJQWsuO-Wfgu6FBvetN4ww-BtOh0npJ_Foy5ungRv6O0W7mJFLOPWn0patIKmO_CJxmkmn3oAY8IK-bM85dsZxsQwMRoNA5Qok_e3CBrW87BcEYIQukknTxyAJTlkKtSnQK4aD42hs59OAxTilLQh2wWi69BJ6P4tnMEwPJNYZHrRJV/s595/loire.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh48kdomzqP5X1BHQJQWsuO-Wfgu6FBvetN4ww-BtOh0npJ_Foy5ungRv6O0W7mJFLOPWn0patIKmO_CJxmkmn3oAY8IK-bM85dsZxsQwMRoNA5Qok_e3CBrW87BcEYIQukknTxyAJTlkKtSnQK4aD42hs59OAxTilLQh2wWi69BJ6P4tnMEwPJNYZHrRJV/w296-h400/loire.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Futuropolis<br />Parution : 04/10/2023<div>Pages : 104<br />ISBN : 9782754835572<br />Prix : 20 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br />Quand Louis reçoit cette invitation d’Agathe, il est un peu ému. Et intrigué. Il y a si longtemps. Même si elle ne lui avait plus jamais donné de nouvelles, il ne l’avait jamais oubliée. Des quelques années qu’il a passées avec elle au bord de la Loire, Louis garde un souvenir ébloui. Alors il ne résiste pas à l’idée de prendre quelques jours pour revenir dans la lumière du fleuve.<br />Il décide de marcher vers le lieu de rendez-vous qu’Agathe lui a donné par mail. C’est le soir. Il fait chaud. Louis longe le fleuve avec plaisir et sur une plage décide de se rafraîchir avant d’arriver. Il se fiche à poil et entre dans l’eau. Erreur. Il perd pied et se met à dériver. Il ne panique pas et se laisse flotter sans lutter. Malgré le danger, il se sent bien. Le problème, c’est qu’il commence à faire sombre et que le courant a déposé Louis sur l’autre rive. Le voilà nu, devant parcourir quelques kilomètres à pied pour rejoindre le pont et revenir de l’autre côté. Il attend la nuit noire et entame cette longue balade finalement assez drôle, et qu’il décrira plus tard comme magique. Il arrive à l’aube. Agathe n’est pas là. La maison semble vide. À ce moment-là, il ne sait rien de ce qui va suivre. Il ne sait rien de la surprise qu’Agathe a réservée aux gens qui l’ont aimée...<br /><br />Après Lulu femme nue, voici un portrait de femme qui est aussi celui d’une région, sur les rives de la Loire.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'auteur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhv0fDlkr9mTsCjBttkDN0yCwwwQMdI6JqlJ8cPuFlNHsJq36wSL1OuOp8YuunjQjGnA9xR5YiJpNY28LO87tJKreCTVIGZkPuU5PUtJBxWuVdn3Hcagc8PDZ-r2h1jHtjA0WtdNMvRmv2W1USIGtjO7Mwa69SbRdfh4tP3q2KaQ6DhogvLIvjC5XhUMzTo/s494/davodeau.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="494" data-original-width="330" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhv0fDlkr9mTsCjBttkDN0yCwwwQMdI6JqlJ8cPuFlNHsJq36wSL1OuOp8YuunjQjGnA9xR5YiJpNY28LO87tJKreCTVIGZkPuU5PUtJBxWuVdn3Hcagc8PDZ-r2h1jHtjA0WtdNMvRmv2W1USIGtjO7Mwa69SbRdfh4tP3q2KaQ6DhogvLIvjC5XhUMzTo/s320/davodeau.jpg" width="214" /></a></div></b></span><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="font-size: x-small;">© Alain Bujak * éditions Futuroplis</span></div><div><span style="font-size: x-small;"><br /></span></div><div><span style="font-size: x-small;"><br /></span></div><div><span style="font-size: x-small;"><br /></span></div><div><br /></div>Étienne Davodeau est né en 1965 et vit en Anjou.<br />En 1985, après des études d'arts plastiques à Rennes, et la création du studio BD Psurde, il publie chez Dargaud la trilogie Les Amis de Saltiel, puis Le Constat. Puis, chez Delcourt, Quelques Jours avec un menteur, Le Réflexe de survie, et trois polars : La Gloire d'Albert, Anticyclone et Ceux qui t'aiment.<br />En 2001 il réalise Rural !, véritable reportage, où il confirme son choix — peu fréquent en bande dessinée — d'inscrire le monde réel au cœur de son travail.<br />Il s'intéresse aussi à la bande dessinée pour enfants (il scénarise Les Aventures de Max & Zoé, dessin de Joub). Il réalise, avec David Prudhomme au dessin, l'adaptation en bande dessinée de l'unique et méconnu roman de Georges Brassens, La Tour des miracles.<br />Après avoir publié dans la collection “Aire Libre” Chute de vélo (Prix des libraires spécialisés 2005), il revient au reportage-documentaire avec Les Mauvaises Gens, qui reçoit le Grand prix 2005 de la critique, le Prix France Info, puis à Angoulême le Prix du Scénario et le Prix du Public. Enfin, avec Kris, il met en images dans Un homme est mort les manifestations ouvrières à Brest en 1950, qui obtient le Prix France Info.<br />2011: Parution des Ignorants. Grand prix de la ville de Saint-Denis, festival Cyclone BD de l'Île de la Réunion.<br />2013: Grand Boum, festival BD Boum de Blois.<br />2014: Lulu femme nue est adapté au cinéma par Solveig Anspach, avec Karine Viard dans le rôle titre.<br />2015 : Grand prix du jury Diagonale-Le Soir pour l'ensemble de son œuvre.<br /><br /><br /><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span>C'est un bien beau voyage auquel nous convie Etienne Davodeau avec "Loire". J'ai aimé me laisser emporter dans ses jolies aquarelles tout en douceur, portée au fil de l'eau comme au fil de la vie et du temps qui passe à suivre cette bien belle histoire.</span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Louis la soixantaine a reçu une invitation d'Agathe, un ancien amour. Intrigué il revient sur les traces de son passé, dans cet endroit qu'il aimait tant. Il décide de la côtoyer à pied, puis de se baigner, de se laisser emporter au fil des flots de cette Loire qu'il a aimé. </span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Il s'y plonge nu, sans filtre et emporté par le courant symbolisant le temps qui passe, se souvient. C'est Agathe avec qui il a fait un bout de chemin qui l'a convié à revenir dans sa petite maison qui jadis servait de gîte de passage. Il arrive enfin au rendez-vous mais Agathe n'est plus. Elle qui avait l'habitude des surprises, leur en a fait une dernière, elle a réunit ceux et celles qui ont partagé un bout de sa vie.</span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Des inconnus entre eux qui redonneront vie à Agathe mais aussi à ce fleuve magnifique au bord duquel elle a passé sa vie.</span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Davodeau nous donne un sompteux album et donne réflexion entre le rapport à la nature et au fleuve. Les souvenirs, le temps qui passe comme la vie qui passe et s'en va.</span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Les dessins sont magnifiques tout en douceur et délicatesse. Des ocres terreux en passant par le jaune sable et le bleu. Des ombres délicates, magnifique paysage.</span></div><div><span><br /></span></div><div><span>C'est poétique, magique, on se laisse emporter comme par la vie.</span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Ma note : *****</span></div><div><span><br /></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Du même auteur j'ai lu</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span>Cliquez sur la photo pour avoir accès à l'article</span></div><div><span><br /></span></div><div><span><br /></span></div><div><span><br /></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2022/01/le-droit-du-sol-etienne-davodeau.html" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="399" data-original-width="294" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTgbM13qfld5Pu5dHBiNnfaa8KvrqkXr610jWXWAi5Twu33phPrFaYRGetBll23K1QLyg_nTCWGeUyDARW6Lx8MyLksi9z-okgelSf8CXcB3hv_c1I5sRvQWd4jFZQoy9iHJfWEPNS12wCQQaJJP-BwiGS6qKqZbzQSMmLHh5WKmzGl70iXKrdDC8u7QTq/w148-h200/le%20droit%20du%20sol.jpg" width="148" /></a></div><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2019/12/les-couloirs-aeriens.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="543" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgwikJheVQ85niTyOCpVoiJzzuid2imj8B8THlpuKn0jlk_3o76s92b1s8tsEtZfPvE4t3vP6EcG2_0E7ZTylIc8Xeu_me7FFimgAnu1caJuHgVLIDg_DJ2l6ZOwuG-0U-0i-upRbyvFUfHjs0gMChgzThIPnSYKCvHexU504fIhO23qpTHbtcl1d_j7ah/w148-h200/les%20couloirs%20a%C3%A9riens.jpg" width="148" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmi5cNGHif7Jiq31TZ5_UVIoDYHkjfHwHh27R9qOpMf41dF-QLQVobtiXSvKu8NmgJQUq0KxEWNNnhTXZXu2jwyLorkvPP71D9FdBhUJo6g2Q_GgZWMpj8VbXiPxHBAeH32mhfHYXB24O1wBFXdkqn44PXUyxm_s-Fd2zxURltrnWaF2I2GmaX0ITQf4Qo/s320/BD.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmi5cNGHif7Jiq31TZ5_UVIoDYHkjfHwHh27R9qOpMf41dF-QLQVobtiXSvKu8NmgJQUq0KxEWNNnhTXZXu2jwyLorkvPP71D9FdBhUJo6g2Q_GgZWMpj8VbXiPxHBAeH32mhfHYXB24O1wBFXdkqn44PXUyxm_s-Fd2zxURltrnWaF2I2GmaX0ITQf4Qo/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><span><br /></span></div></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-73999625759908265742024-03-10T11:00:00.002+01:002024-03-10T11:00:00.135+01:00Les piliers de la terre 1. Le rêveur des cathédrales - Ken Follett-Didier Alcante-Steven Dupré<i><b><span style="color: red; font-size: large;">Les piliers de la terre 1. Le rêveur des cathédrales <br />Ken Follett-Didier Alcante-Steven Dupré<br /></span></b></i><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaenmWA7WjRqdr6_vZPXv8MsfZHermDLgIPe_K1VNQv7wXwUmCI1du4v9-yslI-PaHgKFXzNQ0VetEuIPyXxdNBrm94F5dHy_Q_wfDTyjjhH5-v5kf9O53mD29_G25wOztPEjUThxD9HYFwynH7bvlsZcGlu9wR3yNYnf4Q5YxRVaI3LN2cUfwQF8sCx4x/s480/les%20pilliers%20de%20la%20terre%201.jpeg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaenmWA7WjRqdr6_vZPXv8MsfZHermDLgIPe_K1VNQv7wXwUmCI1du4v9-yslI-PaHgKFXzNQ0VetEuIPyXxdNBrm94F5dHy_Q_wfDTyjjhH5-v5kf9O53mD29_G25wOztPEjUThxD9HYFwynH7bvlsZcGlu9wR3yNYnf4Q5YxRVaI3LN2cUfwQF8sCx4x/w300-h400/les%20pilliers%20de%20la%20terre%201.jpeg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Glénat - Robert Laffont<br />Parution : 11/10/2023<br />Scénario : Didier Alcante<br />Dessin : Steven Dupré<br />Pages : 104<br />Isbn : 9782344043271<br />Prix : 19 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br /><br />Au temps des bâtisseurs de cathédrales : redécouvrez la fresque monumentale de Ken Follett dans une saga épique en bande dessinée.<br /><br />Angleterre, XIIe siècle. Dans un royaume en perdition, morcelé par la guerre et affaibli par la famine, Tom, modeste maître bâtisseur, rêve de construire, un jour, la plus grandiose des cathédrales… Après avoir perdu son épouse et son nouveau-né durant un hiver des plus rudes, il échappe de peu à une mort certaine grâce à la troublante Ellen. Cette jeune femme rebelle et solitaire, vivant repliée dans la forêt avec son fils Jack, deviendra sa compagne. Ensemble, ils prendront la route, bravant le froid et la misère. Pendant ce temps, le nourrisson abandonné est recueilli par une communauté de moines en proie à une véritable crise religieuse…<br /><br />Didier Alcante (La Bombe, XIII Mystery) et Steven Dupré (Kaamelott, aux éditions Casterman) inaugurent avec ce premier album une adaptation magistrale du célébrissime roman historique de Ken Follett, prévue pour se décliner en une série ambitieuse de six volumes ! Il n’en faudra pas moins pour se (re)plonger dans l’univers de cette saga médiévale épique consacrée aux premiers bâtisseurs de cathédrales. Une histoire aux multiples rebondissements déjà déclinée en série télévisée sous la houlette de Ridley Scott, en jeu vidéo, et même en comédie musicale ! Il ne manquait qu’au Neuvième Art de s’emparer de la destinée de ces personnages tant aimés du grand public : le prieur Philip, la jeune chatelaine Aliena, l’archidiacre Waleran ou encore l’infâme William… Admirateur inconditionnel de Ken Follett, Didier Alcante adapte avec passion et une redoutable efficacité cette épopée monumentale au langage de la bande dessinée, que Steven Dupré enrichit grâce à sa science de la mise en scène et sa générosité dans les détails. L’album se fonde aussi sur un travail documentaire extrêmement précis et rigoureux supervisé par le Docteur en Histoire de l’Université de Namur Nicolas Ruffini-Ronzani.<br />Un premier tome à la hauteur du chantier colossal que représente cette adaptation littéraire, qui a reçu l’approbation enthousiaste de Ken Follett lui-même, auteur d’une préface inédite exceptionnelle pour l’occasion.<br /><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Quel bonheur de retrouver ce très beau roman lu il y a tant d'années. Ce succès interplanétaire de Ken Follett, lu, vu en feuilleton, décliné aussi en jeu vidéo, le voici maintenant enfin en bd pour notre plus grand plaisir.<br /><br />Ce premier tome plante le décor. Nous sommes en Angleterre au 12ème siècle, dans un royaume en perdition, on se dispute le trône, la guerre et la famine sévissent.<div><br />On découvre Tom le bâtisseur dont le rêve est de bâtir une cathédrale. La réalité est tout autre, il parcourt le pays à la recherche de travail, la situation est compliquée, la famine règne. Il va perdre sa femme en couches, abandonner son fils à cause de la misère, celui-ci sera recueilli par des moines. En chemin, il va rencontrer Ellen qui vit recluse dans la forêt avec son fils Jack.<br /><br />On découvre également Aliena la jeune châtelaine qui a refusé la main de l'infâme seigneur William.<br /><br />Côté église, on fait la connaissance avec le prieur Philip, l'archidiacre Waleran.<br /><br />Les choses se mettent en place dans la cité de Kingsbride.<br /><br />Je suis entrée très vite dans cette belle histoire. Le dessin est beau, le scénario se met en place. Hâte de découvrir la suite.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9yBlJlzaEipMji70igOSdOkt_BvK7bbnTBWkMcyLhhRhn73bi4XIcBPmn5dpknM_JRq-gqzYpdbGNEJ7RYxUqAyWHUKwVI4il-eWJ2SLLOxXWXKiufRqgdxncNPNemvH6koNASsx8xHJU9dDFuCnMXCNhaMRxuA1wtY9Wc5jvktcI8_zImr55_033R1c7/s320/BD.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9yBlJlzaEipMji70igOSdOkt_BvK7bbnTBWkMcyLhhRhn73bi4XIcBPmn5dpknM_JRq-gqzYpdbGNEJ7RYxUqAyWHUKwVI4il-eWJ2SLLOxXWXKiufRqgdxncNPNemvH6koNASsx8xHJU9dDFuCnMXCNhaMRxuA1wtY9Wc5jvktcI8_zImr55_033R1c7/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-49957763374810348582024-03-08T14:42:00.001+01:002024-03-08T14:42:27.493+01:00Les vivants sont des rois - Floriane Joseph<p> <b><i><span style="color: red; font-size: large;">Les vivants sont des rois - Floriane Joseph</span></i></b></p><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhX5fMGGpgxe4xykUV-2xmGsfYno3erUuwpWvdJ95zxZmX7dlsBl5tVN4uPV96w98Dv6q-Hv5_OBawjm4biAXE1Wg1WZhtpzs-pYbEUG9Vj-IPWXVDoMZlQfybAObJz1f4routgIyXPXUpsN8pJP0dRd5Cd4CnucUiCoL4RDxYpI6F3yhcFfROi0Fa3utG7/s603/les%20vivants%20sont%20des%20rois.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="603" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhX5fMGGpgxe4xykUV-2xmGsfYno3erUuwpWvdJ95zxZmX7dlsBl5tVN4uPV96w98Dv6q-Hv5_OBawjm4biAXE1Wg1WZhtpzs-pYbEUG9Vj-IPWXVDoMZlQfybAObJz1f4routgIyXPXUpsN8pJP0dRd5Cd4CnucUiCoL4RDxYpI6F3yhcFfROi0Fa3utG7/w265-h400/les%20vivants%20sont%20des%20rois.jpg" width="265" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div>Michel Lafon<br />Parution : 11/04/2024<br />Pages : 192<br />Isbn : 9782749952383<br />Prix : 17.95 €<div><br /></div><div><br /></div><div><br /><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><br /></div><br />Le talent de Floriane Joseph, nouvelle voix de la littérature française, qui signe un roman générationnel, poétique et profond. Une magnifique réflexion sur l'existence.<br /><br />Six amis d'enfance se retrouvent, le temps d'une soirée. Joris, Katia, Mathieu, Line, Calypso et Hector ne se sont pas revus depuis la Tragédie. Mais cette nuit, à l'aube de tous les possibles, ils décident de tout oublier – passé, remords, regrets, absence – et de laisser l'ivresse les emporter, leurs liens se révéler, se nouer, ou se défaire comme un adieu à l'enfance qui, déjà, s'enfuit. Car ceux qui sont bel et bien là ont le devoir de régner sur la vie en rois...</div><div><br /></div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Floriane Joseph</span></i></b></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEOCKix8MrDBpMxGtHW9hPXkE3YgOhyKGjR0_qZNuqezergoz9Y0XB2Jlcg5XNhcPkRR2AEFh7bH6gMSh2GVSkktFBqC1PPo_zDiwy0t4oLL6HxH8qv9BLNw627EdTm_Oo-1z3WNY1ybLHeORtThI7b_71AQAX8zPYXC-9wrrmG5c9Zl3KjwxBX9Lw39Pb/s1870/floriane%20joseph.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1870" data-original-width="1132" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEOCKix8MrDBpMxGtHW9hPXkE3YgOhyKGjR0_qZNuqezergoz9Y0XB2Jlcg5XNhcPkRR2AEFh7bH6gMSh2GVSkktFBqC1PPo_zDiwy0t4oLL6HxH8qv9BLNw627EdTm_Oo-1z3WNY1ybLHeORtThI7b_71AQAX8zPYXC-9wrrmG5c9Zl3KjwxBX9Lw39Pb/s320/floriane%20joseph.jpg" width="194" /></a></div><br /><div><div><br /></div><div><br /></div>Jeune romancière et poétesse, Floriane Joseph est professeure d’anglais. Talent émergent de la scène littéraire, elle dévoile d’une plume aussi délicate qu’acérée la puissance des émotions et la poésie de l’existence.<br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Ils sont six à se retrouver le temps d'une soirée. Trois garçons : Joris, Mathieu, Hector, trois filles : Katia, Line et Calypso. D'emblée ce qui surprend c'est la narration à la première personne, une septième personne qui nous présente les amis réunis autour d'une jacqueline pour s'ennivrer, se désinhiber, se révéler. Ils ont étudiants et unis par une Tragédie qui nous sera livrée dans la seconde partie du roman.</div><div><br /></div><div>J'avoue ne pas avoir très bien compris où Floriane Joseph voulait nous mener au départ, mais emportée par l'écriture fluide et intense bouleversante de justessse, je me suis laissée happée. Et soudain tout s'illumine, l'un des protagonistes craque, les digues s'affaisent et ces jeunes quittent l'adolescence et grandissent, la parole est libérée, l'émotion surgit.</div><div><br /></div><div>La construction est originale et vraiment trèsintelligente, le terme de "tragédie" prend un double sens. C'est fort, puissant, bien mené. Une belle découverte.</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Les jolies phrases</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Les vivants ne sont pas coupables de n’avoir pas sauvé leurs morts. Ils sont la seule raison pour laquelle leurs morts sont restés vivants si longtemps.<br /><br /><br />A cet instant tout commence, une répétition comme un rituel de survivants. C'est là, la lumière, les émotions, ce qui se meut sous la peau des êtres, l'écorce de la vie. La soirée vous emporte.<br />Je voudrais capter de vous la beauté infinie pour vous dire que vous êtes des rois. Et dans le mouvement qui s'étire, je vous regarde bousculer les secondes en rois, brisés et vivants.<br /><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-50575116051238892572024-03-05T22:33:00.001+01:002024-03-05T22:33:34.842+01:00 Storyville - L'école du plaisir - Lauriane Chapeau et Loïc Verdier<i><b><span style="color: red; font-size: large;">Storyville - L'école du plaisir - Lauriane Chapeau et Loïc Verdier</span></b></i><br /><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgq83dDMJEaa5LF-ZMT7XO9P0sGSYdYKMDmyeluoCGd5LvgAc7-1K6b0G6DXFDOVK8jiIw7QxXh-LaZd-OeuIT-UFMTLcQgViBzohKHRwme8TKi-TNMGfwbsU2bCKBQZzqHot1UPrG4uyGiWEPWkWnIGxtU0nGoeZ_-jQpnQ3M2ysduuSB5MInOAQ-7knlz/s817/storyville.jpeg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgq83dDMJEaa5LF-ZMT7XO9P0sGSYdYKMDmyeluoCGd5LvgAc7-1K6b0G6DXFDOVK8jiIw7QxXh-LaZd-OeuIT-UFMTLcQgViBzohKHRwme8TKi-TNMGfwbsU2bCKBQZzqHot1UPrG4uyGiWEPWkWnIGxtU0nGoeZ_-jQpnQ3M2ysduuSB5MInOAQ-7knlz/w294-h400/storyville.jpeg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Glénat<br />Parution : 27/09/2023<br />Scénario : Lauriane Chapeau<br />Dessin : Loïc Verdier<br />Pages : 104<br />Isbn : 9782344046890<br />Prix : 19.90 €<br /><br /><br /><i><b><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur<br /></span></b></i><br /><br /><br />Quoi de mieux qu’une maison close pour s’ouvrir aux plaisirs ?<br /><br />La Nouvelle-Orléans, 1917. Santa Maria Del Sol, une fougueuse jeune femme de 17 ans, vit avec sa mère et ses deux frères. Petits trafiquants d’alcool, ces derniers ont l’habitude de fréquenter Storyville, le quartier rouge, et en particulier l'un de ses fleurons : la maison close tenue par l’imposante Madame Lala, le « Make love to me baby » ! À entendre ce nom, Santa, encore vierge bien qu’en pleine exploration de ses sens, frémit d’envie. Intriguée par ce monde qu’elle imagine voluptueux, elle se met à rêver de prostituées comme d’autres rêvent de princesses. Que se passe-t-il aux étages, comment les filles s’y prennent-elles ? Amenée par un drame à pousser les portes du bordel, elle va connaître la désillusion… Car ce qu’elle s’imaginait être l’antre du plaisir n’a finalement pas grand-chose à voir avec celui des femmes mêmes qui le prodiguent. Pour y remédier, Santa va donc décider d’y créer la première école du savoir-jouir ! Sans le savoir, vient-elle de révolutionner les pratiques et d’ouvrir la voie à l’émancipation féminine ?<br />Avec ses personnages féminins forts, Storyville est une fable truculente qui aborde de manière libre et joyeuse la question du plaisir féminin. Imaginé avec passion par Lauriane Chapeau, ce récit enjoué et délicieusement dialogué s’anime sous le trait vif et expressif de Loïc Verdier. Deux nouveaux talents du catalogue qui nous donneraient presque envie de tenter de nouvelles expériences…<br /><br />Loïc Verdier a reçu une aide de la Direction régionale des affaires culturelles de la région Nouvelle-Aquitaine.<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'avis de mon mari</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />La Nouvelle Orléans, 1917. La ville de tous les vices. Santa Maria, une jeune femme issue d’une famille très catholique, apprend que ses deux frères sont des clients habituels du MakeLoveToMe, le bordel du coin. C’est Lala une femme d’âge mûr et d’expérience qui dirige la maison close. Les frères de Santa Maria attrapent la vérole et en meurent. Santa en rend Lala responsable et veut se venger. Son ami Trevor dont elle est amoureuse va se porter volontaire pour se rendre au MakeLoveToMe et venger Santa Maria. Mais tout ne va pas se passer comme prévu…. <div><br /></div><div>S’ajoute à cela le personnage assez mystérieux de Monsieur Williams qui rôde autour de Santa Maria. Celle-ci réussit à se faire engager comme femme à tout faire dans le bordel et va se mettre en tête de promulguer des cours d’éducation sexuelle et de plaisir aux prostituées, aux clients et…aux épouses des clients. <br /><br />Très belle réussite que cette BD. L’atmosphère de New Orleans est très bien rendue, de l’action, du mystère et des passages quelque peu salaces tiennent le/la lecteur.rice en haleine.</div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFW4-yKWEJPjE0AJ4ERnJj31L4HqVBpWqb_ELdMxtJjTcEG72qSR4ipV5LCuiTXZgZ0_x8S6ivPn7-xtWWYFhzVoWIXn0QKnBXaIWTgC6ZmfeuCJ6KINol5QpaEkVvLxFc5X54RUEFrjiLi1Idfp4HiHXdoABNNvrtTjYaevRqx7VFPxqKNANimuCJYmKA/s320/BD.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFW4-yKWEJPjE0AJ4ERnJj31L4HqVBpWqb_ELdMxtJjTcEG72qSR4ipV5LCuiTXZgZ0_x8S6ivPn7-xtWWYFhzVoWIXn0QKnBXaIWTgC6ZmfeuCJ6KINol5QpaEkVvLxFc5X54RUEFrjiLi1Idfp4HiHXdoABNNvrtTjYaevRqx7VFPxqKNANimuCJYmKA/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /><br /><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-31068377308969988032024-03-03T12:12:00.003+01:002024-03-03T14:45:25.066+01:00Bilan de lecture de février 2024<p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Bilan de lecture de février 2024</i></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFfgxO8CmTzBKOLiOvcZv7J7_Cs-BgimV19i1cYFGbdU08Z-w3045Xl3NBRYvUsufSMToLp654__tvNOq_ho-v8OvaFwpovHMX5veMbKoGXUwGHhdZOLHgEC52m-gzaVMa-otsb-BBTKksiJ7tsi9BOmSH2DeQV4-uOYbgJT6PCCigA6JhzcRjsE9BJUsN/s1918/pal.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1470" data-original-width="1918" height="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFfgxO8CmTzBKOLiOvcZv7J7_Cs-BgimV19i1cYFGbdU08Z-w3045Xl3NBRYvUsufSMToLp654__tvNOq_ho-v8OvaFwpovHMX5veMbKoGXUwGHhdZOLHgEC52m-gzaVMa-otsb-BBTKksiJ7tsi9BOmSH2DeQV4-uOYbgJT6PCCigA6JhzcRjsE9BJUsN/w400-h306/pal.jpg" width="400" /></a></div><br /><p><br /></p><p> Un mois de février bien occupé avec la préparation et la réalisation du tout premier Walivres.</p><p> Merci d'être venus si nombreux et d'avoir récompensé notre travail, c'était intense, riche grâce à vous.</p><p>Il y avait aussi la préparation du café littéraire avec Lize Spit ce 28 février, merci d'être venus si nombreux.ses, merci à Lize c'était vraiment un moment suspendu.</p><p>Je pensais avoir lu moins mais au final je suis dans ma moyenne, et les volumes sont plus gros qu'à l'habitude. ☺</p><p><br /></p><p>La relecture toujours aussi intense de la jolie plume de Lize Spit.</p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2023/11/je-ne-suis-pas-la-lize-spit.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1021" data-original-width="617" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE9365buMPLSiT_TG8G_Ov2EFL80x9M-HDMckCoRFipw8L98PAnMu8sJBeaEwe4zmpSLFgpqgDdpGm5Y4K15mBH3DG4khz-uWrEMAKYar_KsrN-1yobwRQH71smwCPRxWKkabpik-H3hteOz2okMEyI324sNiElj6ph0f6k1AW2x7c5L9TqjHz3Qzh4AwA/s320/je%20ne%20suis%20pas%20l%C3%A0.jpg" width="193" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div>Une belle découverte qui aborde le monde de la peinture et de l'art. Un livre made in Belgium à découvrir d'urgence.<div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhr6jQdvotlnkRLI_oQ1KqeWELZG-Mwyit3J30uNKh6J_VY2c_WUqbBTMpGlbH-fVQ4qVMUCHwiC_1tftsrQunOeqJHPGCwB25JEXPvKFpPWkFoDN7hjJZne_XmFoG1rHWI5D3dMkjb7hcV8x8gOW-BpsGNK6eVFLt8IyozEUUPeVykbWfAp4CIff83XrDC/s1195/le%20t%C3%A9moin%20silencieux.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1195" data-original-width="768" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhr6jQdvotlnkRLI_oQ1KqeWELZG-Mwyit3J30uNKh6J_VY2c_WUqbBTMpGlbH-fVQ4qVMUCHwiC_1tftsrQunOeqJHPGCwB25JEXPvKFpPWkFoDN7hjJZne_XmFoG1rHWI5D3dMkjb7hcV8x8gOW-BpsGNK6eVFLt8IyozEUUPeVykbWfAp4CIff83XrDC/s320/le%20t%C3%A9moin%20silencieux.jpg" width="206" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div>Je suis restée dans le monde de l'art avec Camille de Peretti, un très gros coup de coeur ♥ Au départ d'une toile de Klimt, un vrai récit romanesque.<br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2024/02/linconnue-au-portrait-camille-de-peretti.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="466" data-original-width="293" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUZGo2IS122vIISjWz0Axf2iswG93YxEaYcdAQkLrj_ddqF954cV0G4QWGoAYO4SKxmPW_TeZDuNoqWaa6jEm5qixomEaIsCVjxlqpcaenVLAo648u517TNQ-S3ObnZQ8f61CMtB2W7byylmcxAgYDQjC-NflLkZKtDsjQHyDYvncoLslSBCzxKlIZXd_N/s320/l'inconnue%20au%20portrait.jpg" width="201" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div>Si vous aimez l'art ou si vous avez envie de le découvrir, ce livre est fait pour vous, 52 oeuvres à découvrir en même temps que l'histoire de l'art. Topissime dans le genre.</div><div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhni80M55DfyExtXfg3812G7sMRRlPaVZc_qwlhAAt5c2G21oH_bwK82D9wMESGZDQYNa2C8hDcgRopzA4vz5ZXZ8Hlg0NvkmHTUs3yes3bkiGFUBRiG16y_TZTHYejUJGUlr1rAp0KKozpYCFv7FbTxRHOUSJL5djQ0z-ZeLsqBC2-fH1hxQIc5vtPvcgO/s800/les%20yeux%20de%20mona.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="546" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhni80M55DfyExtXfg3812G7sMRRlPaVZc_qwlhAAt5c2G21oH_bwK82D9wMESGZDQYNa2C8hDcgRopzA4vz5ZXZ8Hlg0NvkmHTUs3yes3bkiGFUBRiG16y_TZTHYejUJGUlr1rAp0KKozpYCFv7FbTxRHOUSJL5djQ0z-ZeLsqBC2-fH1hxQIc5vtPvcgO/s320/les%20yeux%20de%20mona.jpg" width="218" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div>La vie d'Audrey Hepburn, celle de la femme qui se cache derrière l'actrice, un graphisme magnifique.</div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1T2v7DJtU0gZeab44AVzPfXtNhBZpBFbhjk1OE2_YqY8HGkQRUDCRMobot4DeWjvjjtTtNoIJc4v7-MyAf0RaC_Kj6kWorn58-luHAQoxzbdfx0eJ2T_35WDRD5H5fO6okIDnSVxamepdNzX2cmqlXs83wd6QNHUAKWICTioTPyc00U22L2wul9mfHkZa/s806/audrey%20hepburn.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="806" data-original-width="600" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1T2v7DJtU0gZeab44AVzPfXtNhBZpBFbhjk1OE2_YqY8HGkQRUDCRMobot4DeWjvjjtTtNoIJc4v7-MyAf0RaC_Kj6kWorn58-luHAQoxzbdfx0eJ2T_35WDRD5H5fO6okIDnSVxamepdNzX2cmqlXs83wd6QNHUAKWICTioTPyc00U22L2wul9mfHkZa/s320/audrey%20hepburn.jpeg" width="238" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Je suis fascinée par la photographe "Vivian Maier". Très beau roman graphique d'Emilie Plateau et Marzena Sowa.</div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEYCZUeeb3FFKOvdU1ABzOdv5zB1dl47xTu2YSTxAmEVtvDKkU3bzKg8QkA3tdRVdztirVWL2b3mcJwcW-1fAPTRSU-713kewb5kaT0ukzTvZ6duAAhLbSjcMHCSgoRFklmRxOvLyV58Oy0aBQ5akVk_HTfUr3f5MtjD-HtIpOuuZVYgy-TNi3YYrt2aFH/s3405/vivian%20maier%20claire%20obscure.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3405" data-original-width="2402" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEYCZUeeb3FFKOvdU1ABzOdv5zB1dl47xTu2YSTxAmEVtvDKkU3bzKg8QkA3tdRVdztirVWL2b3mcJwcW-1fAPTRSU-713kewb5kaT0ukzTvZ6duAAhLbSjcMHCSgoRFklmRxOvLyV58Oy0aBQ5akVk_HTfUr3f5MtjD-HtIpOuuZVYgy-TNi3YYrt2aFH/s320/vivian%20maier%20claire%20obscure.jpg" width="226" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Un audacieux roman à découvrir, celui de Floriane Joseph.</div><div><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgolH9EyXseibyMl0q39V63h5P9fhDhos_CFko7WzY5ivB6deQtK0uYW751UCNOPe0l2ZZI_8SV-jRijBbKNzIQxevkw2oC58lt-kOCqXuZsr9P0jmfjLUFabdfRs9odKH0tk547d-Z0Ockt_9H68kMKZphq9YGUlwwR9c814K2zX1i-3G4tsmDT6oXjnkE/s603/les%20vivants%20sont%20des%20rois.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="603" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgolH9EyXseibyMl0q39V63h5P9fhDhos_CFko7WzY5ivB6deQtK0uYW751UCNOPe0l2ZZI_8SV-jRijBbKNzIQxevkw2oC58lt-kOCqXuZsr9P0jmfjLUFabdfRs9odKH0tk547d-Z0Ockt_9H68kMKZphq9YGUlwwR9c814K2zX1i-3G4tsmDT6oXjnkE/s320/les%20vivants%20sont%20des%20rois.jpg" width="212" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div>J'ai vraiment dévoré le dernier roman de Joël Dicker que je vous conseille vivement.</div><div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2024/02/un-animal-sauvage-joel-dicker.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1161" data-original-width="800" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhtHZVTJ2Ier9O0RrgkyxzBkpJvLXiHnr_DRyzww34t516dDtyMMwjBaiRXhJY3oGrovkh_Y2NKydY6EyCp6ICnNr_M9leAbQ5Fs31HMCpZS5elvp2sBHR9_S9nxPio7v5RGnRWNlA7jtk1CugJzxz-CmM4pnZpy6rRX5q9LvPLngu5TesdiEWhS8SevQu3/s320/un%20animal%20sauvage.jpg" width="220" /></a></div><br /><p><br /></p><p>Comme à chaque fois, il suffit de cliquer sur la couverture pour avoir accès à ma chronique si elle a été publiée.</p><p><br /></p><p>J'actualise chaque mois cette rubrique.</p><p><br /></p><p>Belles lectures, belles découvertes !</p><p><br /></p></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-26597274264923978232024-03-02T14:47:00.001+01:002024-03-02T14:47:09.259+01:00L'île Louvre - Florent Chavouet<b><i><span style="color: red; font-size: large;">L'île Louvre - Florent Chavouet</span></i></b><br /><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhey0anI4K_YuHjAdxZAYJjDkYmJNibcqsYcR83VS5Sk0cTQHJUdQhQbkAG43JcnakBaSapf_Qv5s-_83t0eef8Ip05usuEXFzwf7LOiLjWJM1ApUdKwAJ9kjQofYoi7PJ19B6bJhg6i9yZ_YgQX0LZXHYQWuueW9hQT9YBQ3P1uH-UAEocd49w0DY-BqSj/s605/l" ile="" louvre.jpg=""><img border="0" ile="" louvre.jpg="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhey0anI4K_YuHjAdxZAYJjDkYmJNibcqsYcR83VS5Sk0cTQHJUdQhQbkAG43JcnakBaSapf_Qv5s-_83t0eef8Ip05usuEXFzwf7LOiLjWJM1ApUdKwAJ9kjQofYoi7PJ19B6bJhg6i9yZ_YgQX0LZXHYQWuueW9hQT9YBQ3P1uH-UAEocd49w0DY-BqSj/w291-h400/l" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Futuropolis<br />Coédition : Le Louvre<br />Parution : 13/09/2023<div>Pages : 80<br />ISBN : 9782754842396<br />Prix : 22 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br />Cette nouvelle édition dans un format plus grand vient remplacer l’ancienne version, en rupture. Elle permet d’apprécier tout le talent graphique de l’auteur de Manabé Shima et Tokyo Sanpo et sa reconstitution minutieuse et drôle de la vie quotidienne du prestigieux musée !<br />Muni de son carnet de voyage et de ses crayons de couleurs, Florent Chavouet part à la rencontre de ses habitants (ceux qui travaillent dans l’institution), de ses visiteurs (les touristes du monde entier) et de ses paysages (l’ensemble des salles et des œuvres exposées) !<br /><br /><br />Prix Bd RTL 2023et Prix Bd du Festival de Cognac<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Florent Chavouet</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Florent Chavouet est né en 1980.<br /><br />Titulaire d’un master d’Arts plastiques, il séjourne régulièrement au Japon à partir de 2004, et tire de ces séjours deux carnets de voyages remarqués, publiés par les éditions Philippe Picquier : Tokyo Sanpo en 2009 et Manabé Shima, en 2010. Sa première bande dessinée, Petites coupures à Shioguni obtient le Prix Essentiel Polar SNCF 2015 à Angoulême. L’île Louvre, en coédition avec le Musée du Louvre est sa première publication chez Futuropolis.<br /><br />Pour en savoir plus sur l’auteur : <a href="http://florentchavouet.blogspot.com/">http://florentchavouet.blogspot.com/</a><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>C'est un album paru initialement en 2015 dans un format plus petit, en rupture Futuropolis et les éditions du Louvre le rééditent pour notre plus grand plaisir.</div><div><br /></div><div>Imaginez que le musée est aujourd'hui devenu une île. Pour y accéder et pouvoir y travailler Florent Chavouet a d'abord dû demander un passeport, un sauf-conduit qui lui permet de se promener partout dans Le Louvre, on va donc découvrir des endroits inhabituels, comme le sous-sol. Avec Florent on va vraiment faire une immersion dans le musée, dans l'entrée sous la pyramide, les préoccupations des visiteurs.</div><div><br /></div><div>On va suivre les petits vieux, participer à une petite visite guidée, grimper et descendre des multitudes d'escaliers. Participer au service des gardiens, leurs poses favorites, les petites anecdotes glanées par eux. Savez-vous que les quatre questions les plus fréquentes sont : où se trouvent La Joconde, la Vénus de Milo, la Victoire de Samottrace et les toilettes ? Cocasse la représentation qui condense tout cela. </div><div><br /></div><div>On va détailler des figures, des tableaux, graphiquement c'est super sympa car original, peu conventionnel , cela fourmille de détails, les cadrages sont aussi particuliers. Le dessin est somptueux. On visualise bien les salles, les oeuvres représentées. Beaucoup de talent et en bonus au centre un méga plan qui s'ouvre et se détache. </div><div><br /></div><div>J'ai vraiment passé un bon moment, une visite originale de l'endroit.</div><div><br /></div><div>Ma note : 9/10</div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjs8mRaAC77O-WjxewcL52iwmiIFY55lKyVSjGs1Ogr4FZ99Z03LGyhNq9IE5wj7WfwYYtBnqKlytI6ETn0dvlMVOdS-ESvluQqSGFJMEUMC5i6GLa4l_BQXXE1szQiXvHUYws3Ha_ka5jxpJ2kIkdZDYO8TdT-RJy7nHHRZVVBf0DWSDSlUJ7REmjm9DEc/s320/BD.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjs8mRaAC77O-WjxewcL52iwmiIFY55lKyVSjGs1Ogr4FZ99Z03LGyhNq9IE5wj7WfwYYtBnqKlytI6ETn0dvlMVOdS-ESvluQqSGFJMEUMC5i6GLa4l_BQXXE1szQiXvHUYws3Ha_ka5jxpJ2kIkdZDYO8TdT-RJy7nHHRZVVBf0DWSDSlUJ7REmjm9DEc/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-53698702344645441652024-02-29T19:18:00.005+01:002024-02-29T19:18:36.616+01:00Un animal sauvage - Joël Dicker ♥♥♥♥♥<p> <b><i><span style="color: red; font-size: large;">Un animal sauvage - Joël Dicker ♥♥♥♥♥</span></i></b></p><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUAx0Z0cP_o8_qMDW9qti_LmI8FMn0eCoo78_jcBRH_1I9ny2fn9hIuUzcXodzv8wPyxBNs6MEkyoI8LUYOLV41KgSEWNWlFK9GSX4HWI1hr9G-r2Dwi-JXLSBaqlcSLa-5G-IBjjazY-ljf45N4geU2NoemVybPbBD0XviZyHagArsoATK2jZNbk8WzeV/s1161/un%20animal%20sauvage.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUAx0Z0cP_o8_qMDW9qti_LmI8FMn0eCoo78_jcBRH_1I9ny2fn9hIuUzcXodzv8wPyxBNs6MEkyoI8LUYOLV41KgSEWNWlFK9GSX4HWI1hr9G-r2Dwi-JXLSBaqlcSLa-5G-IBjjazY-ljf45N4geU2NoemVybPbBD0XviZyHagArsoATK2jZNbk8WzeV/w275-h400/un%20animal%20sauvage.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Rosie Wolfe<br />Parution : 27/02/24<br />Pages : 416<br />Isbn : 9782889730476<br />Prix : 23 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br />Braquage à Genève<br /><br />2 juillet 2022, deux malfaiteurs sont sur le point de dévaliser une grande bijouterie de Genève. Mais ce braquage est loin d'être un banal fait divers...<br /><br />Vingt jours plus tôt, dans une banlieue cossue des rives du lac Léman, Sophie Braun s'apprête à fêter ses quarante ans. La vie lui sourit. Elle habite avec sa famille dans une magnifique villa bordée par la forêt. Mais son monde idyllique commence à vaciller.<br /><br />Son mari est empêtré dans ses petits arrangements.<br /><br />Son voisin, un policier pourtant réputé irréprochable, est fasciné par elle jusqu'à l'obsession et l'épie dans sa vie la plus intime.<br /><br />Et un mystérieux rôdeur lui offre, le jour de son anniversaire, un cadeau qui va la bouleverser.<br /><br />Il faudra de nombreux allers-retours dans le passé, loin de Genève, pour remonter à l'origine de cette intrigue diabolique dont personne ne sortira indemne. Pas même le lecteur.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Joël Dicker</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYTMV5xZHpvnbVfd5N_1jLKv7TsPziXYCMNs_Z9pM_NO3LQHfNfqynawir0ympMYU6sfE7M6epdV2-_GgsW8vdMsCM7sM_9I0wbSRSmHFoh_wUGYM1m6puIzcRrzpDnV4QAMeK38Kt8ltDURNbW1CeIfxMBgym4mq0TECUBvGZaVUt9RaFMwdnt7aqc1ZD/s1694/joel%20dicker.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1694" data-original-width="1128" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYTMV5xZHpvnbVfd5N_1jLKv7TsPziXYCMNs_Z9pM_NO3LQHfNfqynawir0ympMYU6sfE7M6epdV2-_GgsW8vdMsCM7sM_9I0wbSRSmHFoh_wUGYM1m6puIzcRrzpDnV4QAMeK38Kt8ltDURNbW1CeIfxMBgym4mq0TECUBvGZaVUt9RaFMwdnt7aqc1ZD/w133-h200/joel%20dicker.jpg" width="133" /></a></div></b></span></div><div>Joël Dicker est né en 1985 à Genève où il vit toujours. Il est l'auteur de six romans traduits en 40 langues qui se sont vendus à 15 millions d'exemplaires.</div><br />Son roman La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert a été le roman francophone le plus vendu de la dernière décennie dans l'édition française. En 2018, il publie La Disparition de Stéphanie Mailer, roman qui sera également le livre le plus vendu en France en 2018, tous genres confondus. En 2021, son roman L'Énigme de la Chambre 622 se vend lui aussi à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires et se classera N°1 des ventes en France et dans plusieurs pays d'Europe pendant de nombreuses semaines, il sera lui aussi le livre le plus vendu en France cette année-là. Et son dernier roman, L’Affaire Alaska Sanders, paru en 2022, sera le plus vendu dans la catégorie Littérature/Romans.<br /><br />Son œuvre a été primée dans de nombreux pays. En France, il a reçu le prix Erwan Bergot pour Les Derniers Jours de nos pères, puis le Prix de la vocation Bleustein- Blanchet, le Grand Prix du roman de l'Académie française et le Prix Goncourt des Lycéens pour La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert. Ce dernier roman a aussi été élu parmi « les 101 romans préférés des lecteurs du Monde » et a été adapté en série télévisée par Jean-Jacques Annaud avec Patrick Dempsey dans le rôle principal.<div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Mon avis</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div>J'avais envie de savoir si Joël Dicker allait me procurer les mêmes sensations de lecture que pour son premier succès "La vérité sur l'affaire Harry Québert". C'est le seul que j'ai lu de l'auteur et j'en garde un souvenir particulier, une véritable addiction, l'envie dès que quelques minutes libres étaient présentes de lire quelques pages, entièrement habitée par les personnages. Un livre que l'on ne sait abandonner, captivée par la plume et le récit.</div><div><br /></div><div>Verdict : mission accomplie, j'ai vraiment retrouvé toutes ces sensations. Ce livre, je l'ai dévoré, commencé un dimanche vers 16h, terminé le lendemain après ma journée de travail. Une plume qui m'a véritablement happée. Impossible de poser le livre avant la fin. </div><div><br /></div><div>Le secret ? </div><div><br /></div><div>Je pense le mécanisme de narration, deux temporalités : le jour du braquage et les 20 jours qui le précèdent, agrémenté de flash back pour comprendre. De courts, très courts chapitres donnant du rythme.</div><div><br /></div><div>On parle d'un bracage, de deux couples en miroir, un qui a super bien réussi qui vit dans les beaux quartiers, la Maison de verre d'une part, splendide maison à l'orée de la forêt, et la Verrue de l'autre, une maison dans un quartier modeste de Cologny en banlieue de Genève, une erreur urbanistique car il n'y a que de très grosses villas partout ailleurs.</div><div><br /></div><div>Arpad et Sophie Braun sont riches, tout leur a réussi, Il est banquier privé, elle est avocate, une maison magnifique, un train de vie élevé. Sophie va fêter ses 40 ans. </div><div><br /></div><div>Karine et Greg sont d'un milieu modeste, elle est vendeuse dans un magasin de mode, lui est flic dit irréprochable dans une brigade d'intervention spéciale. Un point commun : des enfants qui fréquentent le même club de foot. Ce sont deux mondes différents qui se croisent. Greg est fasciné par Sophie, Karine aussi par ce luxe, elle veut être à la hauteur de l'amitié que lui accorde Sophie.</div><div><br /></div><div>Tout semble parfait et pourtant il ne faut pas se fier aux apparences. </div><div><br /></div><div>Oui mais ce roman c'est aussi l'histoire d'un bracage. Quel lien entre tout cela?</div><div><br /></div><div>Vous le saurez en lisant ce roman qui est vraiment incroyable. Joël Dicker est vraiment très fort pour faire monter le suspens, nous sommes dans un polar mais aussi un thriller psychologique de très haut vol.</div><div><br /></div><div>Même si un moment j'ai cru voir venir des choses, j'étais loin de m'imaginer jusqu'où Joël Dicker allait nous emmener. </div><div><br /></div><div>Lisez c'est de la bombe !</div><div><br /></div><div>C'est un très joli coup de coeur.</div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;">Les jolies phrases</span></b></i></div><div><br /></div><div>Je n'aime pas les regrets, ils sont une trahison de soi-même.</div><div><br /></div><div>Le couple, c'est ce qu'on a de plus important, au fond. Les enfants occupent moins d'espace que ce que l'on pense. On s'en rend compte lorsqu'ils quittent le nid.</div><div><br /></div><div>Les criminels en puissance sont d'abord des types sans histoires. </div><div><br /></div><div>Les animaux sauvages sont comme les hommes. On peut les amadouer, les grimer, les déguiser. On peut les nourrir d'amour et d'espoir. Mais on ne peut pas changer leur nature.</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Du même auteur j'ai lu</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Cliquez sur la couverture du livre pour accéder à ma chronique</div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2012/12/la-verite-sur-laffaire-harry-quebert.html" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="403" data-original-width="277" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7BydVEwRCDOTZfdsJjTRchE2oLNJ6u04b1zeQZ3d6A3WpI5tuvKZCAvUeGqDj_RB5mU9O5nJ68seo-Q20X6vEIJAkomO5xiyGEmDPJycbAhwnbtc9xgl3y4kSOTlib9wBKJNKCDBTBP4M1WbBm1QYHP9q01RwHNQjK_tqvAwWMiDQgderLb8N27Bhcmd6/w138-h200/la%20v%C3%A9rit%C3%A9%20sur%20l'affaire%20Harry%20Qu%C3%A9bert.jpg" width="138" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-77646321666291922552024-02-29T09:50:00.001+01:002024-02-29T09:50:28.885+01:00Les bijoux de la Castafiore - Hergé <i><b><span style="color: red; font-size: large;">Les bijoux de la Castafiore - Hergé</span></b></i><br /><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjm3gx6y5pE-1JRirfVvyD68lZFqVntS179UMYn8bGXHlWA5h3PJY72_jH1Sb7kww-mQ1F9AY1YkV-bX9ZstwOwuou0XeyK5BUfz-BKFR-6YEZXiJccVSlUhyphenhyphenSlc-oEsALDWxoINOm8tF86Ow6YOeCzn_iSCr8voReeod8YNQK6arUgfTGBlpThneKwf1v5/s340/Les-Bijoux-de-la-Castafiore.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjm3gx6y5pE-1JRirfVvyD68lZFqVntS179UMYn8bGXHlWA5h3PJY72_jH1Sb7kww-mQ1F9AY1YkV-bX9ZstwOwuou0XeyK5BUfz-BKFR-6YEZXiJccVSlUhyphenhyphenSlc-oEsALDWxoINOm8tF86Ow6YOeCzn_iSCr8voReeod8YNQK6arUgfTGBlpThneKwf1v5/w400-h400/Les-Bijoux-de-la-Castafiore.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Casterman<br />Collection Fac-Simile Noir & Blanc<br />Parution : 04/10/2023<br />Pages : 60<br />Ean : 9782203254404<br />Prix : 16.95 €<br /><br /><br /><i><b><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></b></i><br /><br />Au début des années 1960, Hergé est un homme à la fois épanoui (dans sa vie intime) et accompli (dans l'exercice de son art). C'est ainsi qu'il livre, avec " Les Bijoux de la Castafiore ", une sorte de dynamitage des codes de l'aventure classique sous la forme d'une comédie décapante. Les originaux de la version originale, initialement publiée dans le journal " Tintin ", étaient conservées dans les archives de Tintinimaginatio depuis 60 ans. Restaurés avec soin et minutie, ces documents nous permettent aujourd'hui de donner un nouvel éclat au récit des " Bijoux ".<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Casterman nous propose une réédition, une excellente façon de redécouvrir cet album.<div><br /></div><div>Cette édition est la version originale telle que publiée dans le journal Tintin entre 1961 et 1962. Les originaux dormaient dans les archives, ils ont été restaurés avec soin. Ils étaient publiés semaine après semaine avec une petite phrase récapitulative en exergue.<br /><div><br /></div><div>Un dossier documenté précède cette réédition originale et permet de comprendre comment est venue l'idée de cet album. C'est en réalité, Sophia Loren et un camp de gens du voyage à proximité de chez lui qui sont en partie sources d'inspiration de cet album qui est le plus hors du commun de la série. </div><div><br /></div><div>Un huis clos à Moulinsart, une intrigue policière où s'enchainent pour notre plus grand plaisir les quiproquos et malentendus les plus drôles.</div><div><br />J'ai pris beaucoup de plaisir à la relecture de cet album que j'ai vraiment redécouvert.<br /><br />Une chouette initiative de Casterman.</div></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMAf1GQn7_2ghi-doryv3uiiE2sEe9iTLdg3zvlJF07ZGmvdBOST5NxQBk-NrksGMiArsOd58MNzRrTJheIHtsN95waFEqqIaUSGO4dh050LJfUgCpTB91F15644k9iEdbC2pVYnxJY17xcseMYVMqbp0NaOqNsaxfywWgW7ZiTjHUT4WpwUFMgzcjzMbK/s320/BD.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMAf1GQn7_2ghi-doryv3uiiE2sEe9iTLdg3zvlJF07ZGmvdBOST5NxQBk-NrksGMiArsOd58MNzRrTJheIHtsN95waFEqqIaUSGO4dh050LJfUgCpTB91F15644k9iEdbC2pVYnxJY17xcseMYVMqbp0NaOqNsaxfywWgW7ZiTjHUT4WpwUFMgzcjzMbK/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqauQ2F0FL-ULwcaB3WD2XjGkgU2SwDVltO89yDWSoC4h1w4C8FnoIHfDdrcqs1oQEKgmR_6xRlLTzWbAj0vFVPw56chxpvo61mlLwAHOL3Ayn7_Md28ExSej2Op-r6P12dqVmuQO-kU7QIip32gi7k40IUXdZ9dfwPd1SIsEIVntyBhPOiSgBctVyIRRo/s398/made%20in%20belgium.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="129" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqauQ2F0FL-ULwcaB3WD2XjGkgU2SwDVltO89yDWSoC4h1w4C8FnoIHfDdrcqs1oQEKgmR_6xRlLTzWbAj0vFVPw56chxpvo61mlLwAHOL3Ayn7_Md28ExSej2Op-r6P12dqVmuQO-kU7QIip32gi7k40IUXdZ9dfwPd1SIsEIVntyBhPOiSgBctVyIRRo/s320/made%20in%20belgium.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-8436648443416777082024-02-26T17:26:00.001+01:002024-02-26T17:26:02.666+01:00L'expert - Jennifer Daniel<p> <i><b><span style="color: red; font-size: large;">L'expert - Jennifer Daniel</span></b></i></p><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjrFE7MNfNG89VrYsj1XeL07ztodLbnn5cNbXuKsvuuusxozw6OuaStSMQOL_VDh4UPuWiWUPZbGQbwVH0e9C-K8TLVEQAFasM1S9vNnrtx1-b9dfVuc0WmYmKBKnBGn-re-t9Uvy6cNvyznv8xl6jyy5CjJxor_dUwVZoeRFQL6OqTcsTmvUYLR2SvDoL/s456/l'expert.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="327" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjrFE7MNfNG89VrYsj1XeL07ztodLbnn5cNbXuKsvuuusxozw6OuaStSMQOL_VDh4UPuWiWUPZbGQbwVH0e9C-K8TLVEQAFasM1S9vNnrtx1-b9dfVuc0WmYmKBKnBGn-re-t9Uvy6cNvyznv8xl6jyy5CjJxor_dUwVZoeRFQL6OqTcsTmvUYLR2SvDoL/w286-h400/l'expert.jpg" width="286" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div><span>Casterman</span></div><div><span>Parution : 10/01/24</span></div><div>Traduit de l'allemand par Paul Derouet</div><div><span>Pages : 200</span></div><div><span>Isbn : 9782203280809</span></div><div><span>Prix : 25 €</span></div><div><span><br /></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><br /><br /><b><i>Un accident et tout bascule ! Un polar dans l’Allemagne des années 70.</i></b><br /><br /><br />1977, sur une route de campagne à proximité de Bonn, alors capitale de la RFA, l’Allemagne de l’Ouest, un accident de voiture entraîne la mort d’une jeune femme et de son enfant. Ce drame bouleverse un vieil employé de la morgue locale, dont le traumatisme de la guerre ressurgit lorsqu’il est confronté aux corps des victimes de cet accident. Il décide de se lancer à la recherche du responsable de l’accident, qui a pris la fuite.<div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Bonn, RFA, été 1977, Karl Martin se rend à son travail à l'Institut Médico Légal, il est assistant photographe. Nous sommes en Allemagne de l'Ouest, son chef le professeur Friederich Erhart, est invité à la fête de la Chancellerie où il cotoiera le secrétaire Général du parti gouvernemental, la classe dirigeante.</div><div><br /></div><div>A côté de cela, Miriam essaie de caser son fils Marek, elle cotoie elle d'autres jeunes, militants réclamant la liberté des opposants de la Fraction Rouge (RAF). Souvenez-vous du contexte terroriste de l'époque, de ce que l'on appellera un peu plus tard, la bande à Baader. C'était une période de tensions entre les classes dirigeantes et les jeunes membres de la RAF.</div><div><br /></div><div>Ironie de la BD, Friederich Erhart donne des conférences parlant de l'alcoolémie, de ses méfaits, de la perte de contrôle sous influence de l'alcool et nous sommes dans une époque très alcoolisée.</div><div><br /></div><div>Karl ne fait pas exception à la règle. En rentrant d'une partie de cartes un peu arrosée, il est témoin d'un accident, une jeune femme et son fils viennent de périr dans un accident de la route avec délit de fuite. En voyant ce corps, le lendemain à la morgue, remontent son passé sur le front et son sentiment de culpabilité.</div><div><br /></div><div>Il va mener l'enquête, découvrir la vérité et devoir faire face à ses choix. </div><div><br /></div><div>Une enquête policière qui met en avant la société allemande de l'époque, qui confronte son passé et la conséquence de certains actes sur le présent. L'envie de réparer et de faire émerger au grand jour des faits et vérités de la société allemande. </div><div><br /></div><div>J'ai beaucoup aimé le graphisme dans un style aquarelle et les couleurs choisies illustrant bien la fin des années 70.</div><div><br /></div><div>Un album qui comporte pour moi différents niveaux de lecture. Sujets abordés : la<span> culpabilité, le sens de la justice, l'alcoolémie, les choix et conflits de générations et le contexte historique et le poids du passé. </span></div><div><span><br /></span></div><div><span>Plaisir de lecture : 9/10</span></div><div><span><br /></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipThcgkdvBgpMwRmQPx0S-qiCm-1Go4h4Wsg_TSF0sfHlc3Uo9Gw4n_4DW-k6fJ1AOacO-f5TUiK4rEbASeU8ayiw1iOW8LJs1WWNhFPxpzIXo5n8Q30N-2CbUTrrsLDmQACKC6jxBl3JnsapBRvPv867wZRJYPIjqLxRQIKsc9Lt5xGoL1O4ehCBRfTSk/s320/BD.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipThcgkdvBgpMwRmQPx0S-qiCm-1Go4h4Wsg_TSF0sfHlc3Uo9Gw4n_4DW-k6fJ1AOacO-f5TUiK4rEbASeU8ayiw1iOW8LJs1WWNhFPxpzIXo5n8Q30N-2CbUTrrsLDmQACKC6jxBl3JnsapBRvPv867wZRJYPIjqLxRQIKsc9Lt5xGoL1O4ehCBRfTSk/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /><span><br /></span></div><div><br /></div><div><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-38213149599304429942024-02-24T15:16:00.001+01:002024-02-24T15:16:34.501+01:00Ils ont rejoint mon Himalaya à lire<p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Ils ont rejoint mon Himalaya à lire</i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs4GiiVdhLrP_lbc-wSa3oMPfFM5TW4dl5qVvr8cOtrX7W_j6pzF13rGgBXuBUXX_fKIUv-LDFcbSbZC6nxcYKqpdVgpnTwJe8vUXbMyveGBukgG9eN4PASLIDjnFwJRaGOYW0OHfJiJKAlOubgAIbDfsPMfO8PoQVpNq12J3uUEcIYTkkF6yfVvtvOZM5/s1649/pal.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1649" data-original-width="953" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs4GiiVdhLrP_lbc-wSa3oMPfFM5TW4dl5qVvr8cOtrX7W_j6pzF13rGgBXuBUXX_fKIUv-LDFcbSbZC6nxcYKqpdVgpnTwJe8vUXbMyveGBukgG9eN4PASLIDjnFwJRaGOYW0OHfJiJKAlOubgAIbDfsPMfO8PoQVpNq12J3uUEcIYTkkF6yfVvtvOZM5/w370-h640/pal.jpg" width="370" /></a></div><br /><p><br /></p><p>La préparation de Walivres m'avait un peu éloignée du blog, les presques dernières réceptions sont nombreuses, il faudra de la patience car beaucoup de sorties culturelles en perspective.... et je ne lis que le soir après ma journée de travail. Patience donc ! Il y en a tant qui me tentent.</p><p>Et vous quelle titre vous tente ?</p><p><br /></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon coeur a déménagé - Michel Bussi</i></b></span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdsrOMByF1kEDalBT5Mq9aCgVVryCcoURAi-EHzsod6TzdRdYQdOnRaR9Y5Y2pw8fLRShXC81tIniLb1vOA6KQGXXu_wfHNyxX8JB5dVSW2Bx6sgcHF5vVji7rxih6PybOGxVoMxblgy4kKTzi95r-gmpGUlDAMcVhTCRQjCSMBqeXDmOs600DYgxum_iX/s564/mon%20coeur%20a%20d%C3%A9m%C3%A9nag%C3%A9.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="564" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdsrOMByF1kEDalBT5Mq9aCgVVryCcoURAi-EHzsod6TzdRdYQdOnRaR9Y5Y2pw8fLRShXC81tIniLb1vOA6KQGXXu_wfHNyxX8JB5dVSW2Bx6sgcHF5vVji7rxih6PybOGxVoMxblgy4kKTzi95r-gmpGUlDAMcVhTCRQjCSMBqeXDmOs600DYgxum_iX/w249-h400/mon%20coeur%20a%20d%C3%A9m%C3%A9nag%C3%A9.jpg" width="249" /></a></div><br /> <p></p><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Les Presses de la cité</div><div>Parution : 11/01/2024</div><div>Pages : 400</div>Ean : 9782258208407<br />Prix : 22.90 €<div><br /></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><b>Mon coeur a déménagé : le nouveau livre de Michel Bussi, maître du thriller français. La vengeance est au cœur de ce roman policier qui nous replonge dans les années 1990.</b> <div><br />«Papa a tué maman.» Rouen, avril 1983. Ophélie a – presque – tout vu, du haut de ses sept ans. Mais son père n’est pas le seul coupable. Un autre homme aurait pu sauver sa mère. Dès lors, Ophélie n’aura plus qu’un but : retrouver les témoins, rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu’à la vérité. Et, patiemment, accomplir sa vengeance… Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité, chaque étape de la vie d’Ophélie sera marquée par sa quête obsessionnelle et bouleversante.</div><div><br />Dans une intrigue qui mêle roman d’amour et d’amitiés, récit initiatique et manipulations, Michel Bussi dessine aussi une fresque sociale inédite des années 1990 avec ce nouveau thriller.<br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Un rattrapage avec un des mes auteurs préférés</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">L'insolence des miracles - Didier van Cauwelaert</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh58sRed2QlfPTHvnQ8spiV_EQ_dBc-jg2m2S2FqNcDaWIWIpyhANYRC-ked05Q8NGyXV06gSqjR6Pa54OD6FN_xiPbOnMsy_YXRjb3ohsku4FuE1JP2Q2zij6rnBjk4ej7dHgfjbVKSwK0-MVMuCkOTGBNkSggfcnS8uC-0Bnv5DLAQfkjBOHKgqZTx6bV/s563/l'insolence%20des%20miracles.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="563" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh58sRed2QlfPTHvnQ8spiV_EQ_dBc-jg2m2S2FqNcDaWIWIpyhANYRC-ked05Q8NGyXV06gSqjR6Pa54OD6FN_xiPbOnMsy_YXRjb3ohsku4FuE1JP2Q2zij6rnBjk4ej7dHgfjbVKSwK0-MVMuCkOTGBNkSggfcnS8uC-0Bnv5DLAQfkjBOHKgqZTx6bV/w250-h400/l'insolence%20des%20miracles.jpg" width="250" /></a></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div></i></b>Plon</div><div>Parution : 05/10/2023</div><div>Pages : 192</div>Ean : 9782259315272<br />Prix : 21.90 €<br /><br /><br /><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Le meilleur moyen d’explorer ce qui nous dépasse n’est-il pas de réconcilier l’esprit critique et la faculté d’émerveillement ? Regarder le miracle en face, c’est réfléchir sur soi. C’est remettre en question nos limites. Et si nous étions tous capables d’accomplir des prodiges ?<br /><br />Rien n’est plus insolent qu’un miracle. Il se rit des lois communes, défie les autorités religieuses, provoque les sceptiques… Quand Émile Zola, voulant démystifier le sanctuaire de Lourdes, choisit sur place deux tuberculeuses mourantes pour en faire les personnages de son roman et assiste, ébahi, à leur guérison instantanée, quand le bouillonnant Padre Pio, suspendu par le Vatican pour imposture mystique, donne la vue à une enfant née sans pupilles, quand une héroïne de la Résistance porte secours à un navire bombardé alors même que la Gestapo la torture dans une prison parisienne, quand une hostie se met à léviter en direct durant une messe télévisée ou prend la forme d’un muscle cardiaque en présence du futur pape François, la raison est en droit de s’offusquer.<br /><br />Et pourtant, tous ces cas ont été authentifiés par des témoins, des scientifiques, des historiens, des instruments de contrôle. Mais relèvent-ils de l’intervention divine ou des capacités secrètes de l’être humain ? À l’heure où la foi paraît s’incliner devant la peur, Didier van Cauwelaert nous offre, avec cet ouvrage hautement documenté à l’humour percutant, une profonde réflexion et un formidable message d’espoir.<br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Une plume que j'ai envie de découvrir</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">La fantaisie - Murielle Magellan</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT48zHTFrNOMscvv-4pbM97bQAouN37g34aluwAe8iWIvx8rlfCB_7b3emLVM74htnUMaaea-Ci8dKZwunk6_ejb6k1TqH5_kWcLgFsUem_cv_5TujqRZA_SHZdGTcgeR82ud0q2ZR0vNx-CRtQhYd05h5aGmUWbLlXWOv8yolcmkJKTyLNky7UD9jDYsO/s631/la%20fantaisie.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="631" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT48zHTFrNOMscvv-4pbM97bQAouN37g34aluwAe8iWIvx8rlfCB_7b3emLVM74htnUMaaea-Ci8dKZwunk6_ejb6k1TqH5_kWcLgFsUem_cv_5TujqRZA_SHZdGTcgeR82ud0q2ZR0vNx-CRtQhYd05h5aGmUWbLlXWOv8yolcmkJKTyLNky7UD9jDYsO/w254-h400/la%20fantaisie.png" width="254" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Mialet Barrault</div><div>Parution : 03/01/24</div><div>Pages : 266</div><div>Isbn : 9782080292773</div><div>Prix : 20 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Sortant d’une cruelle et longue dépression où elle a failli perdre tout ce qu’elle aime, Mona tente de se reconstruire en s’installant dans un minuscule appartement d’une tour de banlieue parisienne. Les marches de l’escalier qui conduit au lit-mezzanine sont astucieusement aménagées en casier de rangement mais l’un d’entre eux est scellé. À l’intérieur, elle découvre le manuscrit qu’un jeune homme a enfoui là vingt ans plus tôt. Insolent et drôle, le texte lui donne envie de retrouver l’auteur. Mais que reste-t-il des jeunes gens audacieux après vingt ans de vie ordinaire ? Où ont disparu les désirs, les énergies, les fantasmes ? Où se sont perdus les éclats de rire et la rage de vivre ? Peut-on réinventer la fantaisie ?<br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Je suis en joie, le nouveau roman de Joël Dicker arrive le 27 février</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Un animal sauvage - Joël Dicker</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUAx0Z0cP_o8_qMDW9qti_LmI8FMn0eCoo78_jcBRH_1I9ny2fn9hIuUzcXodzv8wPyxBNs6MEkyoI8LUYOLV41KgSEWNWlFK9GSX4HWI1hr9G-r2Dwi-JXLSBaqlcSLa-5G-IBjjazY-ljf45N4geU2NoemVybPbBD0XviZyHagArsoATK2jZNbk8WzeV/s1161/un%20animal%20sauvage.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1161" data-original-width="800" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUAx0Z0cP_o8_qMDW9qti_LmI8FMn0eCoo78_jcBRH_1I9ny2fn9hIuUzcXodzv8wPyxBNs6MEkyoI8LUYOLV41KgSEWNWlFK9GSX4HWI1hr9G-r2Dwi-JXLSBaqlcSLa-5G-IBjjazY-ljf45N4geU2NoemVybPbBD0XviZyHagArsoATK2jZNbk8WzeV/w275-h400/un%20animal%20sauvage.jpg" width="275" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Rosie Wolfe</div><div>Parution : 27/02/24</div><div>Pages : 416</div><div>Isbn : 9782889730476</div><div>Prix : 23 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Braquage à Genève<br /><br />2 juillet 2022, deux malfaiteurs sont sur le point de dévaliser une grande bijouterie de Genève. Mais ce braquage est loin d'être un banal fait divers...<br /><br />Vingt jours plus tôt, dans une banlieue cossue des rives du lac Léman, Sophie Braun s'apprête à fêter ses quarante ans. La vie lui sourit. Elle habite avec sa famille dans une magnifique villa bordée par la forêt. Mais son monde idyllique commence à vaciller.<br /><br />Son mari est empêtré dans ses petits arrangements.<br /><br />Son voisin, un policier pourtant réputé irréprochable, est fasciné par elle jusqu'à l'obsession et l'épie dans sa vie la plus intime.<br /><br />Et un mystérieux rôdeur lui offre, le jour de son anniversaire, un cadeau qui va la bouleverser.<br /><br />Il faudra de nombreux allers-retours dans le passé, loin de Genève, pour remonter à l'origine de cette intrigue diabolique dont personne ne sortira indemne. Pas même le lecteur.<br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Du belge enfin, merci Sarah pour cette primeur, le nouveau roman D'Armel Job</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Le passager d'Amercoeur - Armel Job</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhu_HbQzxoXmVvOTdVnKNuT-zNeAcibicJsHBmznkqBr-J3YzsRqRb9R545gr3tvS23RC-JDWW-txFKJCE3H2iLdwR-Av_2AQc_2LwwTeHtnqDmCeM_n2HxfMCB8OycHMpcUINSWPR4yBgm_LFpc3k5iC8Pwfvgyv8P0j7vVvMeyJqyjGvDOTER0nA_uVEl/s560/le%20passager%20d'amercoeur.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="560" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhu_HbQzxoXmVvOTdVnKNuT-zNeAcibicJsHBmznkqBr-J3YzsRqRb9R545gr3tvS23RC-JDWW-txFKJCE3H2iLdwR-Av_2AQc_2LwwTeHtnqDmCeM_n2HxfMCB8OycHMpcUINSWPR4yBgm_LFpc3k5iC8Pwfvgyv8P0j7vVvMeyJqyjGvDOTER0nA_uVEl/w251-h400/le%20passager%20d'amercoeur.jpg" width="251" /></a></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div></i></b>Robert Laffont</div><div>Parution : 15/02/2024</div>Pages : 272<br />EAN : 9782221273456<br />Prix : 19 €<br /><div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><br /><br />Automne 1988, vallée de l’Aisne.</div><div><br />Le corps sans vie de Grâce Modave est retrouvé dans une falaise, où elle semble avoir chuté depuis sa villa perdue dans le taillis. La défunte est l’épouse de Maurice Modave, dit Momo, ancienne star du football local et riche propriétaire d’un magasin de chaussures à Liège. Si les gendarmes concluent rapidement au suicide, des zones d’ombre persistent autour de cette mort aussi soudaine que mystérieuse. Une aura de mystère se crée autour de Momo et de ses agissements emmêlés, en toile de fond, à sa relation fusionnelle avec sa mère. Touche par touche, dans la veine de ses romans psychologiques, Armel Job brosse ici le portrait particulièrement sensible d’un homme, objet et sujet de terribles passions contradictoires.</div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Une nouvelle plume à découvrir !!</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">L'horloger - Jérémie Claes</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSGLxhy3SGZI9yVi78SpPaY2ic35-j91t54JaxOILspENvyjIaPYDZyouTp7jRQWkJU10cON3tIGKDZb946hOsBN8E1am69wXwXqsOM-nUyB5zm2NkSZo-6ME2mS5Jv1UG5mRJxOBZwRUyQqPDncI5WNjujPuwzWzG0TTIHtBxklejoqdeDbyCsyvKtUqT/s515/l'horloger.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="515" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSGLxhy3SGZI9yVi78SpPaY2ic35-j91t54JaxOILspENvyjIaPYDZyouTp7jRQWkJU10cON3tIGKDZb946hOsBN8E1am69wXwXqsOM-nUyB5zm2NkSZo-6ME2mS5Jv1UG5mRJxOBZwRUyQqPDncI5WNjujPuwzWzG0TTIHtBxklejoqdeDbyCsyvKtUqT/w273-h400/l'horloger.jpg" width="273" /></a></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div></i></b>Héloïse d'Ormesson<br />Parution : 08/02/24<br />Pages : 460</div><div>Isbn : 9782350879291</div><div>Prix : 22.90 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>La tête de Jacob Dreyfus est mise à prix depuis qu'il a participé au démantèlement d'une milice suprémaciste sévissant jusqu'au Capitole. Mais c'est sa femme qui est prise pour cible. Après cet assassinat, Jacob est exfiltré sous une nouvelle identité dans un petit village de Provence, où il tente de se reconstruire. Dix ans plus tard, alors qu'il coule enfin des jours apaisés dans une bastide des gorges du Loup, son passé le rattrape. La seule vengeance peut-elle expliquer la chasse à l'homme acharnée dont il est la proie ? En compagnie de Solane, le vieux flic français chargé de sa protection, Jacob se lance dans une traque obsessionnelle de la vérité.<br /><br />Thriller étourdissant qui nous entraîne de la Louisiane à Bruxelles, de la Patagonie à Paris, L'Horloger est une mécanique implacable qui révèle la part la plus sombre de l'humanité mais aussi la plus lumineuse.<br /><br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Autre compatriote qui publie au Seuil</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Quand Cécile - Philippe Marczewski</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNkonYSJ8CvA191A8tTpql8oPwUARENn0A-LKNXiI3jcpHt6tO5i08pErGyiv7VR7RGekPcogfOCTY8r9-zvHGPcWsmhSCPKSrZzl0h0E7JcTsrQdnA4v0pnvABJkiXw7x2kKZ6YDh_QJdegU5Q8jTb2U5RPK82wUWpt8CFvZfUs7CdIkpHB2RjiW5Eq1e/s2000/quand%20cecile.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2000" data-original-width="1366" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNkonYSJ8CvA191A8tTpql8oPwUARENn0A-LKNXiI3jcpHt6tO5i08pErGyiv7VR7RGekPcogfOCTY8r9-zvHGPcWsmhSCPKSrZzl0h0E7JcTsrQdnA4v0pnvABJkiXw7x2kKZ6YDh_QJdegU5Q8jTb2U5RPK82wUWpt8CFvZfUs7CdIkpHB2RjiW5Eq1e/w274-h400/quand%20cecile.jpg" width="274" /></a></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div></i></b>Seuil<br />Cadre Rouge<br />Parution : 01/03/24<br />Pages : 144<br />Ean : 9782021538083<br />Prix : 17.50 €<br /><br /><br /><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Cécile est morte à vingt-sept ans dans un accident d’avion. Le personnage principal de ce récit a eu avec elle une brève relation de jeunesse. Cette mort hante sa mémoire, non de façon traumatique, comme on pourrait s’y attendre, mais d’une manière incertaine, fuyante, presque douce. Et peu à peu, c’est le souvenir lui-même qui s’étiole.<br />Un jour pourtant, le double de Cécile lui apparaît dans la rue. Il se met à suivre cette femme : si c’était elle, qui lui serait rendue par une sorte de faille spatiotemporelle ? L’absence fait place à une obsession hallucinatoire, où il imagine les mille vies potentielles que Cécile aurait pu avoir.<br />Quelle place faisons-nous, en nous, à ceux que nous avons aimés, ceux qui sont partis, ceux qui ont disparu ? Avec une grande délicatesse, Philippe Marczewski raconte les rapports entre la mémoire et l’oubli : l’expérience vécue donne ici corps à une<br />langue qui la sublime, pour dire les présences et les absences qui tissent nos histoires.<br /><br />Philippe Marczewski est né en 1974. Il vit et travaille à Liège. Son précédent roman, Un corps tropical (éditions Inculte), a remporté le prix Rossel en 2021.<br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Jolie surprise des éditions Rouergue Noir , un de mes auteurs préférés </i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Tempête sur Kinlochleven - Peter May</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggC07QwsGHq7_PL3mPSoxs574rqeBcbm80bTAP5ZlKQBmBUVNw9j37MM7c_9my1TATujoSWNi5dpb6BsbjJ1Na1PI7HQcZeZeklcyC4oB3eki4lHmvImsebSA1KSJ8ksISyARjcecVnLdeXSW9JNsuFH9CfjgoiVZJP2tPXTyHizyLZOJOdCGYJPnQhNa_/s586/Tempete-sur-Kinlochleven.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="586" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggC07QwsGHq7_PL3mPSoxs574rqeBcbm80bTAP5ZlKQBmBUVNw9j37MM7c_9my1TATujoSWNi5dpb6BsbjJ1Na1PI7HQcZeZeklcyC4oB3eki4lHmvImsebSA1KSJ8ksISyARjcecVnLdeXSW9JNsuFH9CfjgoiVZJP2tPXTyHizyLZOJOdCGYJPnQhNa_/w273-h400/Tempete-sur-Kinlochleven.jpg" width="273" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /></span></i></b>Rouergue noir<br /></div><div>Parution : 27/03/24</div><div>Pages : 352</div><div>Traduite de l'anglais par Ariane Bataille</div>Isbn : 978-2-8126-2573-2<br />Prix : 22.80 €<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Cameron Brodie est un flic de Glasgow. Un veuf solitaire qui, comme tout le monde, endure les effets du changement climatique?: avec la perturbation des courants océaniques, l’Écosse est devenue en ce milieu du vingt et unième siècle une terre quasi polaire. Quand son chef lui demande de se rendre dans les Highlands où le corps d’un journaliste d’investigation a été retrouvé dans un tunnel de glace, Brodie décide d’accepter cette improbable mission. C’est que son médecin vient de lui annoncer qu’il ne lui reste que six mois à vivre et qu’aller à Kinlochleven est son unique chance de revoir Addie, sa fille unique, avec laquelle il n’a plus aucun contact depuis dix ans. Et c’est justement Addie qui a découvert la dépouille de Charles Younger.<br />Dans ce passionnant roman qui dépeint un futur proche terriblement vraisemblable, Peter May nous immerge dans des paysages aussi grandioses qu’inquiétants. Quels dangereux secrets recèlent ces montagnes lointaines et inhospitalières, qui ont conduit au meurtre d’un homme atteint d’étranges lésions pulmonaires ? Quel dialogue un père et une fille séparés par des années d’incompréhension vont-ils parvenir à nouer ? Avec maestria, Peter May emporte son lecteur dans un maelstrom de rebondissements et d’émotions.<br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Dans la collection La Brune toujours chez Rouergue</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Traverser les forêts - Caroline Hinault</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhzzgbENQQK10x73ns8gCOIAgV_BLRY4dSk3kz8GAS_yOMbTkMlPGX2SgmKtJvxii0TCxByK9sIvkFfIY3PRww7YDfPjhcCc0QhezMmGxs_ZSUaTqqDDlVu00NhUfCauc32-fAd-Frb-HBmqeyud9Akj3q7NLQK3oqmgTFYmkECjdYTxsxWaRS5OP6OieLr/s542/traverser%20les%20for%C3%AAts.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="542" data-original-width="370" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhzzgbENQQK10x73ns8gCOIAgV_BLRY4dSk3kz8GAS_yOMbTkMlPGX2SgmKtJvxii0TCxByK9sIvkFfIY3PRww7YDfPjhcCc0QhezMmGxs_ZSUaTqqDDlVu00NhUfCauc32-fAd-Frb-HBmqeyud9Akj3q7NLQK3oqmgTFYmkECjdYTxsxWaRS5OP6OieLr/w273-h400/traverser%20les%20for%C3%AAts.jpg" width="273" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /></span></i></b>Rouergue <br />La Brune<br />Parution : mars 2024<br />Pages : 192<br />Isbn : 978-2-8126-2559-6</div><div>Prix : 20 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Trois femmes, une forêt.<br />La forêt c’est la dernière forêt primaire d’Europe, aux confins de la Pologne. Un sanctuaire sauvage peuplé d’une grande faune disparue ailleurs.<br />C’est là que vit Véra, journaliste biélorusse exilée depuis le printemps au milieu des arbres et des bêtes.<br />C’est là qu’est revenue s’installer Nina, elle qui a rêvé que sa beauté lui ouvrirait les portes de l’Occident mais qui, remâchant ses illusions perdues, occupe avec son fils l’ancienne maison forestière de ses parents.<br />C’est là, enfin, dans cette « zone rouge » où patrouillent désormais les militaires, qu’Alma tente de franchir la frontière.<br />Sans qu’elles le sachent, la forêt va entremêler le destin de ces trois femmes. Mais comment traverser ce labyrinthe ? Quelle direction prendre ?<br />Révélée par son formidable Solak, couronné de plusieurs prix littéraires, Caroline Hinault signe ici, sur les traces de la Divine Comédie de Dante, un magnifique deuxième roman inspiré d’événements ayant eu lieu à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie à l’automne 2021. Ses trois héroïnes, plongées au cœur de la forêt primaire, y explorent chacune une part de nos peurs et de nos désirs les plus profonds, et la façon dont le langage peut chercher à se faire contre-frontière poétique.<br /><br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>On termine avec un roman graphique que j'ai hâte de découvrir sur un personnage qui me fascine </i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Vivian Maier Claire-Obscure - Emilie Plateau et Marzena Sowa</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSQOkEOZt_I5FZMW-PGqcq2jSB6OS5-hiSTvxwo9YPn0y7YRPoI7Y02bbZhMWQQlk_SuxHyhA1AFu-M_pHYonoSfTVXjYo7Jl2Cz4cr2K5EopI56ArXruy6ZBIQHe2SMbYtCkkW43F28n1B7gTNxK2d6y2gEafPHvtHjn9H3LdzauwB0qex05ujk9xl4NM/s3405/vivian%20maier%20claire%20obscure.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3405" data-original-width="2402" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSQOkEOZt_I5FZMW-PGqcq2jSB6OS5-hiSTvxwo9YPn0y7YRPoI7Y02bbZhMWQQlk_SuxHyhA1AFu-M_pHYonoSfTVXjYo7Jl2Cz4cr2K5EopI56ArXruy6ZBIQHe2SMbYtCkkW43F28n1B7gTNxK2d6y2gEafPHvtHjn9H3LdzauwB0qex05ujk9xl4NM/w283-h400/vivian%20maier%20claire%20obscure.jpg" width="283" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /></span></i></b>Dargaud</div><div>Parution : 26/01/2024</div><div>Scénario : Sowa</div><div>Dessin : Emilie Plateau</div><div>Pages : 136</div><div>Isbn : 9782205088939</div><div>Prix : 19.95 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Qui était Vivian Maier, cette « nounou pas comme les autres » dont on découvrit à titre posthume le talent immense de photographe ? Vivian Maier décède en 2009, à 83 ans, dans le plus grand anonymat. On redécouvre ses photos pleines d'humanité et d'attention envers les démunis et les perdants du rêve américain par hasard dans des cartons oubliés au fond d'un garde-meuble de la banlieue de Chicago. Personnalité complexe et parfois déroutante, femme libre dont le destin s'est écrit entre la France et l'Amérique, elle avait choisi de vivre les yeux grands ouverts. Vivian Maier claire obscure est le portrait par Émilie Plateau et Marzena Sowa de cette invisible photographe de génie.<br /><br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Il était présent à Walivres</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Comme des bêtes - Goum /Lapuss</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs_fzkEFyhavVK_sz0GP_NYpRtybPOl9qyb3qdlpsq_dqx6R84ghyphenhyphenZyA0GAOor0yWOAw6cWVTXuxU7jdpRfwsQyE_y_Sb9zbQsuNXOCl-_-U5ahxQ4yeHlYutMN-2O0P0CbsmBDCi6rIzsdoJ55I7w_gKY-TYEzJD3-HkYYXwSUtr_fmDhYlB8oDrY0qKw/s550/comme%20des%20b%C3%AAtes.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgs_fzkEFyhavVK_sz0GP_NYpRtybPOl9qyb3qdlpsq_dqx6R84ghyphenhyphenZyA0GAOor0yWOAw6cWVTXuxU7jdpRfwsQyE_y_Sb9zbQsuNXOCl-_-U5ahxQ4yeHlYutMN-2O0P0CbsmBDCi6rIzsdoJ55I7w_gKY-TYEzJD3-HkYYXwSUtr_fmDhYlB8oDrY0qKw/w291-h400/comme%20des%20b%C3%AAtes.jpg" width="291" /></a></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div></b></span>Dupuis</div><div>Parution : 28/06/2019</div><div>Scénario : Stéphane Lapuss</div><div>Dessin : Goum</div><div>Pages : 48</div><div>Prix : 8.99 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></div>Si chaque jour votre humain de maître s'absentait pour ne revenir que le soir, que feriez-vous ? Bien sûr, dans un premier temps, vous attendriez peut-être sagement. Puis vous auriez envie d'explorer le contenu du frigidaire. Vous inviteriez peut-être quelques copains chiens, chats, hamsters ou lapins pour faire la fête et profiter de l'appartement vide. Et puis finalement vous finiriez par profiter pleinement de ces heures de liberté pour explorer le vaste monde ! Déjà célèbres grâce au premier film de "Comme des bêtes" ("The Secret Life of Pets"), produit par Universal Pictures et Illumination Entertainment, on retrouve ici Max, Duke, Mel, Gidget, Pompon, Chloé, Ozone et les autres, dans une série de gags en une ou deux pages les mettant en scène.<br /><br /><span style="color: #2b00fe;"><b><i>On reste dans les graphiques, chez Casterman</i></b></span><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Les royaumes de Tiketone - Mélissa Morin</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnYva_ZhE2u6rzyp0-nv1HLWSPJvkegOSTpexkDrLWKxwgrsrLsurNuQ5djs_yO1yXs0v-iMYMsC2rz7VyQHj8OiJShmtbTiuFguvp2pdIrX2jzKF8FWQDPWyPstiGkc9IlLh7yHTkPBpVCGzpwj6zSn3IYH8WWvkC0HhBYs7Xxcucc_SAc3lZN6n0AsUf/s456/les%20royaumes%20de%20tiketone.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="325" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnYva_ZhE2u6rzyp0-nv1HLWSPJvkegOSTpexkDrLWKxwgrsrLsurNuQ5djs_yO1yXs0v-iMYMsC2rz7VyQHj8OiJShmtbTiuFguvp2pdIrX2jzKF8FWQDPWyPstiGkc9IlLh7yHTkPBpVCGzpwj6zSn3IYH8WWvkC0HhBYs7Xxcucc_SAc3lZN6n0AsUf/w285-h400/les%20royaumes%20de%20tiketone.jpg" width="285" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Casterman</div><div>Parution : 06/03/24</div><div>Pages : 192</div><div>Isbn : 9782203254983</div><div>Prix : 19 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><b>Le premier tome d’une aventure fantastique digne des grands romans du genre<br /></b><br /><br />Sorti miraculeusement indemne d’un dramatique accident, Thomas est placé dans un foyer où il fait la connaissance d’Eliott, Florian, Marianne, Robin et Virgile.<br />Porteur d’un mystérieux savoir hérité de sa soeur disparue, Thomas entraîne la bande dans sa quête de 5 reliques censées leur ouvrir les portes d’un monde invisible.<br />De défis en épreuves, ces cabossés de la vie vont apprendre à maîtriser leurs peurs, leur souffle et leur colère, et mutualiser leurs forces pour accéder au monde mystérieux de Tiketone !</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Dans un autre registre</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Sang neuf - Jean-Christophe Chauzy</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdFYvSKAsn4cajAk7fyutvmTnRfnHqnNLHWMfNw8S30PcWQY9XZK6ExvtdtWK83YN57GH-Is-Fsr9y8U8gOyxxMy7yg7f8OKZkbF0UtmuqzQvRtxgEBoo14zUajvlN5jlzexP3IL7WJUVtslQjOsuEq7wjnG6kes5lHk1ZVMQ1NyZcMEHrWpJeccxtAeL-/s456/sang%20neuf.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="345" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdFYvSKAsn4cajAk7fyutvmTnRfnHqnNLHWMfNw8S30PcWQY9XZK6ExvtdtWK83YN57GH-Is-Fsr9y8U8gOyxxMy7yg7f8OKZkbF0UtmuqzQvRtxgEBoo14zUajvlN5jlzexP3IL7WJUVtslQjOsuEq7wjnG6kes5lHk1ZVMQ1NyZcMEHrWpJeccxtAeL-/w303-h400/sang%20neuf.jpg" width="303" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><br /><br /></div></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Casterman</div><div>Parution : 06/03/24</div><div>Pages : 256</div><div>Isbn : 9782203250994</div><div>Prix : 26.90 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><b>Un témoignage d’une rare intensité d’un combat pour la vie</b><br /><br /><br />En 2020, alors que le monde se confine, Jean-Christophe Chauzy, lui, est placé en chambre stérile. On vient de lui diagnostiquer une myélofibrose : sa moelle osseuse ne produit plus de plaquettes. Le pronostic vital est engagé, une greffe va être tentée, sa sœur Corinne sera la donneuse.<br />S’engage alors un violent combat contre la maladie. Jean-Christophe doit composer avec la lourdeur des soins, le découragement, la peur de mourir. Et quand il n’est pas le malade, comment réussir à être un mari, un père, un fils, un ami alors qu’il ne se sent plus que l’ombre de lui-même ?<br />Cru et intense, Sang Neuf est un témoignage. Le récit bouleversant et sans concession de son combat pour la vie, mais aussi un vibrant hommage à toutes celles et tous ceux qui ont œuvré, avec générosité, à sa guérison.<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>C'est un orfèvre des mots et chaque livre est un enchantement</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Billets de contrebande (inédits ) Alain Cadeo</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"> </span></i></b></div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFv3mlFcnUteCc9EtMMoJgCH7fMI1YxnZ6KAzTcD6n4bdcieBsqSofG6idcOj6qAsbT80AwUs60Bw8LIaqs5Y0SamIB2hXFULJ8Mtfu9emiHrJ9XrubMtOdl0nmbs_DlBnhQKmfA6Ob6CKKNDXsmNFWakO0-_zd-4b1ewmjnNrdPv2R4N0lOy4AWFwhqw4/s543/billets%20de%20contrebande%202.jpg" style="clear: left; display: inline; font-style: italic; font-weight: bold; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="543" data-original-width="404" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFv3mlFcnUteCc9EtMMoJgCH7fMI1YxnZ6KAzTcD6n4bdcieBsqSofG6idcOj6qAsbT80AwUs60Bw8LIaqs5Y0SamIB2hXFULJ8Mtfu9emiHrJ9XrubMtOdl0nmbs_DlBnhQKmfA6Ob6CKKNDXsmNFWakO0-_zd-4b1ewmjnNrdPv2R4N0lOy4AWFwhqw4/w298-h400/billets%20de%20contrebande%202.jpg" width="298" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div>La trace</div><div>Parution : février 2024</div><div>Pages : 310</div><div>Isbn : 9782487261082</div><div>Prix : 16 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><br /></div><br />« L’écriture, c’est de la résine pure,<br />la sève de nos rêves et le miracle chaque fois d’un sang<br />coagulé sur les pages du vent. »<br /><br /><br />Ces billets d’Alain Cadéo sont l’expression lyrique,<br /><br />flamboyante, profonde de sa relation passionnée,<br /><br />charnelle avec les mots et la littérature...<br /><br /><br />Après le succès des Mots de Contrebande (2018),<br /><br />Alain Cadéo renouvelle l’expérience singulière de textes intenses,<br /><br />Billets lumineux autour de sa passion des mots et des hommes.<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Le suivant me tente énormément </i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Dans le ventre de Klara - Régis Jauffret</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-5KJytxSyWSNRihtvIPkuEcIwn1XghlaqGJ-IxaUUx5DP821C8RtqKOSDa7hqqDCgQ7YYSalg3tPWj8mh7jOtdgn6v6BaG9unGcaIoqxdXPHrlwgq6GPgatHK2UzHACXiKIhp-n4ZrVhiOfuAjEy74tYwFDP_fphPRCzk8sDzmmQfvDUfH-3CPt2CJoFZ/s513/dans%20le%20ventre%20de%20klara.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="513" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-5KJytxSyWSNRihtvIPkuEcIwn1XghlaqGJ-IxaUUx5DP821C8RtqKOSDa7hqqDCgQ7YYSalg3tPWj8mh7jOtdgn6v6BaG9unGcaIoqxdXPHrlwgq6GPgatHK2UzHACXiKIhp-n4ZrVhiOfuAjEy74tYwFDP_fphPRCzk8sDzmmQfvDUfH-3CPt2CJoFZ/w274-h400/dans%20le%20ventre%20de%20klara.jpg" width="274" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div></div>Récamier<div>Parution : 04/01/24</div><div>Pages : 256</div>Isbn : EAN : 9782385770570<br />Prix : 21.90 €<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><b>"Ce roman est constitué de faits et d'imaginaire comme un corps de chair et d'os." - Régis Jauffret</b><div><b><br /></b></div><div><b><br /></b>De juillet 1888 à avril 1889, Klara Hitler porte dans son ventre celui qui est destiné à devenir l'incarnation du mal absolu. Pour la première fois, la mère du monstre prend la parole sous la plume magistrale de Régis Jauffret, et nous confie le récit de sa grossesse funeste.</div><div> <br />Neuf mois de violence et de religiosité étouffante, desquels naîtra celui qui incarnera le nazisme et la Shoah. Neuf mois durant lesquels Klara est traversée, habitée, possédée déjà par l'innommable, partagée entre l'amour pour son enfant à venir et les visions qu'elle reçoit malgré elle des crimes que ce fœtus, une fois devenu homme, commettra contre l'humanité tout entière.<br /><br />Peu d'auteurs ont su explorer l'indicible avec le génie narratif dont fait preuve Régis Jauffret. Lui seul pouvait faire ce voyage dans les abysses, avec la conscienceque seule la littérature peut explorer profondément l'âme humaine.</div><div><br />Un roman sombre, violent et magnifique. </div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Des auteurs belges au programme, on commence avec Lilys éditions </i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le testament de Shakespeare - Claude Rappe</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmwOhR1m0nvy2ifqCq-bHnhV76nWWRjO4A0deK8z16VezFYgntoaeN9bEcGHQlpp80HyjwHgxfbDmBCYG4zKz9wHcsHTrGjsvgC4lY-zj2odQ7Bit1gsHo8cjAc6xcrezvK7HJfMplHpOphU1GEIs-nBgV3Fs5a7hS5Dei-Ekw5TFEeYEQv5CbfIUzFFxA/s947/le%20testament%20de%20shakeseare.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="947" data-original-width="636" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmwOhR1m0nvy2ifqCq-bHnhV76nWWRjO4A0deK8z16VezFYgntoaeN9bEcGHQlpp80HyjwHgxfbDmBCYG4zKz9wHcsHTrGjsvgC4lY-zj2odQ7Bit1gsHo8cjAc6xcrezvK7HJfMplHpOphU1GEIs-nBgV3Fs5a7hS5Dei-Ekw5TFEeYEQv5CbfIUzFFxA/w269-h400/le%20testament%20de%20shakeseare.webp" width="269" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Lilys éditions<br /><div>Parution : 01/12/2023</div><div>Pages : 470</div><div>Isbn : 9782390560319</div><div>Prix : 26 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Gilles et Catherine sont étudiants à la Sorbonne. Là, leur chemin croise celui de Jacqueline Vautrollier, une conférencière distinguée pré- tendant être une descendante de Shakespeare et se disant en possession d’un codex datant de 1623, ainsi que d’un testament signé par l’auteur.<br /><br />Soupçonneux, ceux-ci mèneront une enquête aux spectaculaires rebondissements pour tenter d’établir la vérité sur la double vie du dramaturge.<br /><br />Une fiction intemporelle aux accents de thrillers avec en toile de fond des amours passionnelles, et l’évolution du droit d’auteur depuis quatre cents ans.<br /><br />Ce livre est inspiré par l’histoire vraie de William Shakespeare.<br /><br />Un voyage dans le temps avec l’écrivain le plus célèbre que nous ayons connu.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Une nouvelle plume polar</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Mort du colibri - Bernadette Latour</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxUMrxKVozKhEy6p4h5lm0g8tnXiE-De2w2eH3ldZUrgRWzdGNRZRk4JtqCKxflkY4syH2jS6_Fhv10t62i7js7UOO-UtEUtWlmeGeklcqfcY_lO4Eyi0Z4cag3qBkMk5Dfg1J_UOtl5ibLh91vAbaNNd6uqNhQw6NgiBMVQbqUt2Tgg0HfRRA5A3IhxqG/s849/mort%20du%20colibri.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="849" data-original-width="600" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxUMrxKVozKhEy6p4h5lm0g8tnXiE-De2w2eH3ldZUrgRWzdGNRZRk4JtqCKxflkY4syH2jS6_Fhv10t62i7js7UOO-UtEUtWlmeGeklcqfcY_lO4Eyi0Z4cag3qBkMk5Dfg1J_UOtl5ibLh91vAbaNNd6uqNhQw6NgiBMVQbqUt2Tgg0HfRRA5A3IhxqG/w283-h400/mort%20du%20colibri.webp" width="283" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><span>Lilys éditions</span></div><div><span>Parution : 01/12/2023</span></div><div><span>Pages : 436</span></div><div><span>Isbn : 9782390560913</span></div><div><span>Prix : 25.50 €</span></div><div><span><br /></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Un scientifique renommé est retrouvé sans vie sous sa serre.<div><br />Très vite, les habitants de Montigny-le-tilleul sont incriminés : un vétérinaire sans liquidité, un promoteur sans scrupule, un antiquaire sans gêne, une pharmacienne sans sentier vicinal, une infirmière sans amants, un négociant en whisky sans Ecosse et une veuve sans villa.<br />Tous font l’objet d’une enquête judiciaire rocambolesque rythmée par l’actualité internationale, la formation d’un gouvernement belge, les catastrophes naturelles et l’arrivée du centre commercial… <br />Le pouvoir de l’argent et le consumérisme sont abordés avec humour et désinvolture au cours de cette enquête qui déstabilisera plus d’un lecteur, tant elle est un prétexte à décrire au vitriol notre société.<br />Pourquoi les inspecteurs Delbart et Ndongo éprouvent-ils tant de difficultés à clore cette affaire ? L’originalité demeure-t-elle le profil atypique de la victime ou bien le mobile inclassable du meurtrier ?</div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Une nouvelle recrue, une couverture magnifique qui donne envie</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Rêves - Kevin V</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHHyBs-BOXfg5e17NG9KtNNctagepvVCfZyXxDYtcK0DCPD5BYdQrP_XcJvtR-jo_mAynk5qTSUa3erWk_l59Goq_rgJk9C1nBJR1DopVTgF0K1QqQC-y8HA4IAkOIwZ69oMHo08lVU3gnAXDMDuz0VjiEB0CGsMqOEIW1nj-RkCKMvZyj6Ut9uO9nGE5u/s2167/r%C3%AAves.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2167" data-original-width="1500" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHHyBs-BOXfg5e17NG9KtNNctagepvVCfZyXxDYtcK0DCPD5BYdQrP_XcJvtR-jo_mAynk5qTSUa3erWk_l59Goq_rgJk9C1nBJR1DopVTgF0K1QqQC-y8HA4IAkOIwZ69oMHo08lVU3gnAXDMDuz0VjiEB0CGsMqOEIW1nj-RkCKMvZyj6Ut9uO9nGE5u/w278-h400/r%C3%AAves.webp" width="278" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b><br /><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Lilys éditions</div><div>Parution : le 01/12/23</div><div>Pages : 384</div><div>Isbn : 9782390560869</div><div>Prix : 24.50 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Et si le monde qui vous entoure était bien plus vaste que ce que vous ne l’imaginiez ?<br /><br />Que tout ce qui est invisible aux yeux des autres, vous pouviez le voir ?<br /><br />Et si vous déteniez des savoirs insoupçonnés enfouis en vous et que vos rêves en étaient la clé…<br /><br /><br /><br />Vous avez bien fait de fuir cet orphelinat qui vous retenait prisonnier de la vie que vous êtes censé vivre.<br /><br />Votre avenir ne dépend que de vous, mon cher ami. <br /><br />Alors, vivez !<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Une chouette rencontre à Walivres et un de plus dans ma PAL </i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">J'ai appris à me taire - Sylvie Roge</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><div class="separator" style="clear: both; font-style: italic; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyMmEYCafUsajEW8Sc5NLA7Z2kiFf2u5Wtu2HAcOvryCIzXoSfWURrdQ3hq9GWl23nZfarqtui9erunHJ2hANT5uKpHsZJl_9h7h4_t3TjL21hBVuXUa6XTptMus4tlurozhsfSi4YKi5qcDbyMelzYcWQm3HO5wzuVCdRG5DoywMu2IfaTgImmkNVdnki/s250/j'ai%20appris%20%C3%A0%20me%20taire.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="250" data-original-width="250" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyMmEYCafUsajEW8Sc5NLA7Z2kiFf2u5Wtu2HAcOvryCIzXoSfWURrdQ3hq9GWl23nZfarqtui9erunHJ2hANT5uKpHsZJl_9h7h4_t3TjL21hBVuXUa6XTptMus4tlurozhsfSi4YKi5qcDbyMelzYcWQm3HO5wzuVCdRG5DoywMu2IfaTgImmkNVdnki/w400-h400/j'ai%20appris%20%C3%A0%20me%20taire.jpg" width="400" /></a></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div>Editions F Deville</div><div>Collection :oeuvres au rouge</div><div>Parution : avril 2023</div><div>Pages : 204</div><div>Isbn : 9782875990716</div><div>Prix : 20 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Clémence n’a rien oublié de son enfance, de son adolescence et de la femme qu’elle a été. À l’hiver de sa vie, elle ressent encore le froid qu’a laissé Anna, sa sœur aînée, dans un foyer où chaque porte était fermée à clé, où rien ne pouvait jamais être laissé au hasard, pas même un pot d’épices ou de confiture.<br /><br />Aux souvenirs qui lui reviennent se mêle cette terrible inquiétude qu’une malédiction puisse s’être réincarnée sous les traits de sa petite-fille, Gladice, cette enfant qu’elle chérit et déteste tout autant. <br /><br />Clémence parviendra-t-elle à cacher indéfiniment ses tourments ?<br /><br />Ce drame psychologique retrace la vie d’une famille sur quatre générations de femmes dans un chassé-croisé entre le présent et le passé.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Il vient de paraître chez Academia</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">D'écailles et de plumes - Claire de Viron</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-gSUhqPZIrBmOIJaX8zp3pTA0U2D48-EBxSpptboHx4d0UwMABCWR7TC8oY2qjXgG8EgbvONWObZYh_tgCbzv2zuNCnZHmKqoUxZfOYB9HIXDbMbxH9h551aaefUFSiOjaC84OBMCHEGAlLdpq8mYAXhA8CluxjmPmOzaKdcAGk4HGza4eRhPWbvvJX0w/s463/d'%C3%A9cailles%20et%20de%20plumes.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="463" data-original-width="316" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-gSUhqPZIrBmOIJaX8zp3pTA0U2D48-EBxSpptboHx4d0UwMABCWR7TC8oY2qjXgG8EgbvONWObZYh_tgCbzv2zuNCnZHmKqoUxZfOYB9HIXDbMbxH9h551aaefUFSiOjaC84OBMCHEGAlLdpq8mYAXhA8CluxjmPmOzaKdcAGk4HGza4eRhPWbvvJX0w/w273-h400/d'%C3%A9cailles%20et%20de%20plumes.jpg" width="273" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div>Academia</div><div>Parution : 15/01/2024</div><div>Pages : 206</div>EAN : 9782806136794<div>Prix : 19 €</div><div><span style="font-size: large;"><br /></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div>Au fond de la vallée, une demeure. Coincées au milieu d’une fratrie, Mathi et Rachel dévoilent peu à peu leur personnalité : Mathi, assoiffée de liberté, fera sa mue. D’oiseau-singe, elle deviendra aigle royal tandis que Rachel, assoiffée de tendresse, gardera serrées ses écailles. Seul le génie du hêtre vert connaît le lourd héritage de ces deux sœurs qu’il va faire entrer dans un travail d’accouchement d’elles-mêmes pour que jaillisse tout leur potentiel.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Très envie de découvrir la plume d'Alain Lallemand</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Ce que le fleuve doit à sa plaine - Alain Lallemand</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6ZRf_YgNYa12M6GUZoXo7sniLLjBJqYY7Lq7qN_wzPnlPgnpTvzDS-xMJ8pWco_foCwhimEyHAmDwt3fjgarveoudYIr9slEQFqAP8sU1u6sGNxpiViImzttl_du7-D7P8XwjMGvjZE3r5GAT-qnrZpthzPQjYQlmgEqe14WpP96SvNsAGey1Lb16zNLY/s1106/ce%20que%20le%20feluve%20doit%20%C3%A0%20la%20plaine.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1106" data-original-width="1000" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6ZRf_YgNYa12M6GUZoXo7sniLLjBJqYY7Lq7qN_wzPnlPgnpTvzDS-xMJ8pWco_foCwhimEyHAmDwt3fjgarveoudYIr9slEQFqAP8sU1u6sGNxpiViImzttl_du7-D7P8XwjMGvjZE3r5GAT-qnrZpthzPQjYQlmgEqe14WpP96SvNsAGey1Lb16zNLY/w361-h400/ce%20que%20le%20feluve%20doit%20%C3%A0%20la%20plaine.jpg" width="361" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div>Weyrich<div>Plumes de Coq</div><div>Parution : 09/02/24</div><div>Pages : 420</div><div>Isbn : 9782874899322</div><div>Prix : 23.50 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Crimée, février 2014. De « petits hommes verts bien polis » prennent le contrôle du Parlement, encerclent les bases militaires, les aéroports. Les communications sont coupées. L’invasion russe aurait-elle commencé ? <br /><br />Les jeunes sœurs Roudakova ne s’inquiètent pas pour leur ferme, mais tremblent pour leurs amants. Cœur cosaque, Oleg va devoir combattre ses frères de sang ; Kash, l’ami Tatar, devine déjà que sa communauté connaîtra un nouvel exil. Dans l’ombre et la lumière, chacun se cherche des protecteurs. <br /><br />À l’aube de ce récit, un premier corps est retrouvé dans le fleuve Alma : un jeune Tatar…<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Caroline Lamarche publie chez Verdier</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Cher instant je te vois - Caroline Lamarche</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><div class="separator" style="clear: both; font-style: italic; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh59JxCIzetOUOiFuKs8_R9pR0Si_gW_gvkq5LftkhraUd-CljfJIoiIwLOHzCJ97_ZIKwaKmJUk3sZ1PfvM7xFMVVASxN7UQxlfsUz9Qa1FqiyRnahcc44IcFOOyfd-4c-0l47uR2WqCwQKChc3WQUlCl_O4yJPAUzILjyupqimjIuJwb3LTqRcf5wcbB9/s1179/cher%20instant%20je%20te%20vois.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1179" data-original-width="768" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh59JxCIzetOUOiFuKs8_R9pR0Si_gW_gvkq5LftkhraUd-CljfJIoiIwLOHzCJ97_ZIKwaKmJUk3sZ1PfvM7xFMVVASxN7UQxlfsUz9Qa1FqiyRnahcc44IcFOOyfd-4c-0l47uR2WqCwQKChc3WQUlCl_O4yJPAUzILjyupqimjIuJwb3LTqRcf5wcbB9/w260-h400/cher%20instant%20je%20te%20vois.jpg" width="260" /></a></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div><div style="font-style: italic; font-weight: bold;"><b><i><br /></i></b></div>Verdier</div><div>Collection jaune</div><div>Parution : mars 2024</div><div>Pages : 96</div><div>Isbn : 9782378561987</div><div>Prix : 15 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />C’est l’histoire d’une amitié conduite à son apogée par la proximité de la mort. Un abrégé de quelques mois vécus dans la radicalité du moment.<br /><br />Avec une lucidité éclatante, Margarida envoie des messages du front auxquels la narratrice répond en lui donnant chaque matin la voix qu’elle lui réclame. Peu à peu se construit une narration qui évoque l’enfance portugaise de Margarida, son amour des mots et des sons, les êtres qu’elle protège, les créations qu’elle mène, l’hôpital, la lutte, l’effroi. Mais aussi le souvenir d’un jardin, la fidélité d’un petit chien, Baudelaire et Jeanne Duval, les migrants devenus frères.<br /><br />Aiguillonnées par l’urgence, ces pages incandescentes respirent la passion éperdue de la vie. Une métaphore pour notre temps et de la bonté en éclairs pour conjurer notre nuit.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>On termine avec une parution en mars chez Lamiroy</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Clandestine - Véronique Bergen</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDlLVHkOYW9ZuMe22E4ixVtZF5oV0-KgBjgQqAM-_MjOcv7WZH9zA1_wQKCXz_0PiWl20WsRdIRvruyVxuiv-FFTMNelh0kktBfjpwOSkR54zYpRnR1rnLyiePaHiPfDMADVwTd7ux0rAg8RTGleRMvCUfyRWgwsP3RaroZ7Zs3gGIOMGKuEFANmtIDAB3/s2197/clandestine.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2197" data-original-width="1606" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDlLVHkOYW9ZuMe22E4ixVtZF5oV0-KgBjgQqAM-_MjOcv7WZH9zA1_wQKCXz_0PiWl20WsRdIRvruyVxuiv-FFTMNelh0kktBfjpwOSkR54zYpRnR1rnLyiePaHiPfDMADVwTd7ux0rAg8RTGleRMvCUfyRWgwsP3RaroZ7Zs3gGIOMGKuEFANmtIDAB3/w293-h400/clandestine.webp" width="293" /></a></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div><div><b><i><br /></i></b></div></i></b>Lamiroy<br /></div><div>Parution : 01/03/24</div><div>Pages : 291</div><div>Isbn : 978287959089</div><div>Prix : 25 €</div><div><span style="font-size: large;"><br /></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />A la croisée d’une histoire d’amour flamboyante et de l’insurrection du ghetto de Varsovie, le récit retrace la quête généalogique et amoureuse de Violette, ses retrouvailles avec Ishtar, sa découverte de carnets écrits par une aïeule rescapée de l’enfer du ghetto. Les deux quêtes n’en font qu’une.<br /><br /><br />Roman le plus personnel, le plus intime de Véronique Bergen, Clandestine plonge dans la violence de l’Histoire et dans la musique de la passion.nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-52696735496026760112024-02-23T15:04:00.001+01:002024-02-23T16:23:39.403+01:00L'inconnue du portrait - Camille de Peretti ♥♥♥♥♥<p> </p><h3 class="post-title entry-title" itemprop="name" style="font-family: Times, "Times New Roman", serif; font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-optical-sizing: auto; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; font-variant-position: normal; font-variation-settings: normal; line-height: normal; margin: 0px; position: relative;"><span style="color: #0067c6; font-size: 24px; font-weight: normal;"> </span><b style="color: red; font-size: x-large;"><i>L'inconnue du portrait - Camille de Peretti</i></b></h3><p><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzQWqaBLeQCfgPVdcBgdsUontZJBavtPVH6UKXQoyJCOKuklm3cOkUvUiNQEjhOfZvVN2UJXeRpWYFJxEyGnh7CcVabxA0dNpsJ8DS3iD-dty61NfykNpV7dk_drzxq7j_uQ8nmyf8imh1PfF00FEZ_3ORQ3-fyvp_pj5DURiAkQP4IMLAM0xC9-5nODfY/s1242/l'inconnu%20au%20portrait.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1242" data-original-width="780" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzQWqaBLeQCfgPVdcBgdsUontZJBavtPVH6UKXQoyJCOKuklm3cOkUvUiNQEjhOfZvVN2UJXeRpWYFJxEyGnh7CcVabxA0dNpsJ8DS3iD-dty61NfykNpV7dk_drzxq7j_uQ8nmyf8imh1PfF00FEZ_3ORQ3-fyvp_pj5DURiAkQP4IMLAM0xC9-5nODfY/w251-h400/l'inconnu%20au%20portrait.webp" width="251" /></a></b></span></div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><br />Calmann Levy<br />Pages : 350<br />Isbn : 9782702185179<br />Prix : 21.50 €<br />Parution : 03/01/24<div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>« La toile vibrait de beauté. Elle en avait le souffle coupé et se noyait dans l’œil bleu ciel piqueté de vert. Est-ce qu’elle était réellement le sosie de cette inconnue ? »<br /><br />Peint à Vienne en 1910, le tableau de Gustav Klimt Portrait d’une dame est acheté par un collectionneur anonyme en 1916, retouché par le maître un an plus tard, puis volé en 1997, avant de réapparaître en 2019 dans les jardins d’un musée d’art moderne en Italie.<br />Aucun expert en art, aucun conservateur de musée, aucun enquêteur de police ne sait qui était la jeune femme représentée sur le tableau, ni quels mystères entourent l’histoire mouvementée de son portrait.<br /><br />Des rues de Vienne en 1900 au Texas des années 1980, du Manhattan de la Grande Dépression à l’Italie contemporaine, Camille de Peretti imagine la destinée de cette jeune femme, ainsi que celles de ses descendants. Une fresque magistrale où se mêlent secrets de familles, succès éclatants, amours contrariées, disparitions et drames retentissants.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Camille de Peretti</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red;"><b><div class="separator" style="clear: both; font-size: x-large; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT-IRwZN7Oq5wqNmUNaf-v9ZRqROgJS4PdxQC-LeHklFgc9haRwSz5NJRCBPOuVwoEizooHoaiAjsdVyJH1VfpT-bs3VD7gmuNgF89Cni3jAF-JjhVB-vlWHYijcrw5TRmMBPOZDxI18T1PBo73iaCo5Xy9ObAS4B18p4Z78MR27aAW08ojT_1wXg50w49/s360/camille%20de%20peretti.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="360" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT-IRwZN7Oq5wqNmUNaf-v9ZRqROgJS4PdxQC-LeHklFgc9haRwSz5NJRCBPOuVwoEizooHoaiAjsdVyJH1VfpT-bs3VD7gmuNgF89Cni3jAF-JjhVB-vlWHYijcrw5TRmMBPOZDxI18T1PBo73iaCo5Xy9ObAS4B18p4Z78MR27aAW08ojT_1wXg50w49/s320/camille%20de%20peretti.webp" width="320" /></a></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span face="Barlow, sans-serif" style="background-color: white; color: black; font-weight: 400; letter-spacing: 0.3px;"><span style="font-size: xx-small;">© Nierszawer Leextra</span></span></div><div style="font-size: x-large;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div></b></span>Camille de Peretti est née en 1980 à Paris. Elle a effectué sa scolarité à l'École active bilingue Jeannine-Manuel. Après une hypokhâgne et une khâgne, elle intègre l’ESSEC. Apprentie analyste financière dans une banque d’affaires singapourienne, professeur de cuisine française à la télévision japonaise dans une émission intitulée « La Cuisine de Camille », une fois son diplôme en poche elle s'inscrit aux cours Florent et crée une entreprise d’événementiel.<br />Passionnée de peinture et de littérature, depuis 2005, elle se consacre à l’écriture.<br />Elle est l’autrice de neuf romans dont Thornytorinx, (Belfond, 2005 -prix du Premier roman de Chambéry), Le Sang des Mirabelles, (Calmann-Lévy, 2019) et L’Inconnue du portrait, (Calmann-Lévy, 2024)<br /><span style="color: red;"><b><br /><i style="font-size: x-large;">Mon avis</i></b></span></div><div><br /></div><div>Coup de coeur absolu pour ce livre et la plume romanesque de Camille de Peretti. C'est beau, intelligent, on voyage dans l'espace et dans le temps.</div><div><br /></div><div>Au départ de l'histoire vraie d'un tableau de Klimt, Camille de Peretti nous offre une fresque magistrale de 1900 à nos jours, secrets de familles, disparitions, drames, on voyage à Vienne, à New York, au Texas et en Italie. </div><div><br /></div><div>Tout commence près de Wall Street en 1928, nous faisons connaissance d'Isidore, il a 19 ans, il est cireur de chaussures, amoureux de la belle Lotte, fille d'un richissime industriel. Il s'intéresse à la bourse, va spéculer et son destin sera incroyable.</div><div><br /></div><div>On rencontre Martha chassée de chez les Brombeere, richissime famille de Vienne. Elle a 17 ans, est jeune maman, et refuse de retourner vivre sur les trottoirs de Vienne. </div><div><br /></div><div>Bien des années plus tard, au Texas, Michelle réclame un test ADN car elle veut confondre le père de sa fille Pearl, elle serait celle d'Isidore !</div><div><br /></div><div>On va suivre ces trois personnages en alternance à des époques différentes, c'est véritablement bien construit, les liens se tissent habilement retraçant l'Histoire, celle de la crise de 1929, du capitalisme mais aussi de ce mystérieux tableau de Klimt.</div><div><br /></div><div>Ce tableau dont l'histoire est incroyable, c'est celui de "la Jouvencelle" peint par Klimt en 1910, il représente une femme de trois quart, un chapeau sur la tête et un boa autour du cou, une représentation de femme légère. Ce tableau est le seul "repeint" de Klimt, car "Portrait d'une dame" illustrant la couverture du livre, est la même femme sans chapeau, un châle autour du cou, une femme cette fois à l'allure respectable. </div><div><br /></div><div>Pourquoi Klimt a-t-il agit ainsi ? C'est un mystère mais l'imaginaire de Camille de Peretti en fait une histoire magnifique, qui tient la route. Ce tableau retouché en 1916 a été acheté en 1927 par la Galleria Ricci Oddi d’Art moderne, à Piacenza. Il a été volé en 1997 avant de réapparaître intact en 2019 dans les jardins du musée où il se trouve aujourd'hui. </div><div><br /></div><div>Un magnifique voyage vous attend, l'écriture est fluide. Les chapitres courts bien ficelés sont captivants, peu à peu les liens se tissent. Un grand roman.</div><div><br /></div><div>Ma note : ♥♥♥♥♥</div><div><br /><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUfNyXfM0lgT_MdeJwUy-cgZJm_CWHa-1mB6sQdXhDFDLV-9ZeKZ03mRbe0kmKhwFW2PVzOcbnR6fnDKJ2gQuus2BMzFmwvbUFB5sZj0zbnmqsxygws-uzmA-bx1fdH6uAE8seh61_dd1WqpfrQncwF7_vFb2jLsThpNxL1QM9Nsdppvs_TsbJbtE5djdF/s1182/klimt.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1182" data-original-width="930" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUfNyXfM0lgT_MdeJwUy-cgZJm_CWHa-1mB6sQdXhDFDLV-9ZeKZ03mRbe0kmKhwFW2PVzOcbnR6fnDKJ2gQuus2BMzFmwvbUFB5sZj0zbnmqsxygws-uzmA-bx1fdH6uAE8seh61_dd1WqpfrQncwF7_vFb2jLsThpNxL1QM9Nsdppvs_TsbJbtE5djdF/w315-h400/klimt.jpg" width="315" /></a></div><br /><div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><i><b>Les jolies phras</b><b>es</b></i></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><i><b><br /></b></i></span></div><div>Il était le colosse aux pieds d'argile, il était le volcan en éruption de souffrance.</div><div><br /></div><div>La vérité et le mensonge sont comme l'eau et l'huile, on imagine pouvoir les mélanger, mais l'huile finit toujours par remonter à la surface. Un bon mensonge agirait comme le vinaigre blanc, il saurait changer le goût de l'eau sans en changer la couleur.</div><div><br /></div><div>C'était peut-être ça l'amour, une décharge qui vous extrayait de l'espace-temps car elle vous faisait éprouver l'absolu dans l'instant présent.</div><div><br /></div><div>La peur habitait son ventre et lui nouait les boyaux depuis des années, mais toute peur est chevillée à un espoir, celui d'en réchapper.</div><div><br /></div><div>On se souvient facilement des premières fois de la vie, mais les dernières fois ont cela de terrible qu'elles ne s'annoncent pas. </div><div><br /></div><div><br /></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-54632183672787016532024-02-22T18:12:00.004+01:002024-02-22T18:12:57.870+01:00Walivres première édition MERCI<p> <span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Walivres Première édition : un immense merci.</i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEGfhnfDrdV_JJlF6z67JLTD_l6JVPVAJI8bdacKXtTiPCXMO3-jzPs1r6Z_LTaAAyT0kackkKTllDw1m6lE0rS9CxTeb9BfPVcwDocHTEtj1Y9bW7cyNag2dcDCvZ7dAvvKJ8wghD_QlBuX7gELQ98XuTJE5lthxfltMgQDoH8vJubSCPe3L3Qa5vikhH/s2016/parrain%20marraine%202024.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEGfhnfDrdV_JJlF6z67JLTD_l6JVPVAJI8bdacKXtTiPCXMO3-jzPs1r6Z_LTaAAyT0kackkKTllDw1m6lE0rS9CxTeb9BfPVcwDocHTEtj1Y9bW7cyNag2dcDCvZ7dAvvKJ8wghD_QlBuX7gELQ98XuTJE5lthxfltMgQDoH8vJubSCPe3L3Qa5vikhH/s320/parrain%20marraine%202024.jpg" width="156" /></a></b></span></div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjfyV-gTN2W-XOL9PaKwVOMd8IBUYGovUaVy5qSirg11eWHUnUsWtstRTgaIE6G4nOToB0DI-vQNMP6w4VOEfYYROPDCWls9eeMB_EccGyLnUXVJxECatChoZDvvEtJpByRxxLbdKrUMeKElGOKpXqf1cjhkjnTYn98Q08LTYErMUvfV6OC7vUla8OlUCO/s2016/walivres.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="980" data-original-width="2016" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjfyV-gTN2W-XOL9PaKwVOMd8IBUYGovUaVy5qSirg11eWHUnUsWtstRTgaIE6G4nOToB0DI-vQNMP6w4VOEfYYROPDCWls9eeMB_EccGyLnUXVJxECatChoZDvvEtJpByRxxLbdKrUMeKElGOKpXqf1cjhkjnTYn98Q08LTYErMUvfV6OC7vUla8OlUCO/s320/walivres.jpg" width="320" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p>C'était de la folie, en trois petits mois , rejoindre Michel K Simon pour la réalisation de ce premier salon mettant à l'honneur les auteurs de mon pays : "Nos belges plumes", mais nous l'avons fait. </p><p>Quelle expérience magnifique, le public était au rendez-vous, vous n'imaginez pas comme cela nous a fait chaud au coeur.</p><p>Merci à Valérie Cohen et Patrick Delperdange de nous avoir accompagnés dans cette aventure. Désolée pour ceux qui voulaient voir notre parrain Bd, Dani malheureusement souffrant. Vous pourrez le rencontrer chez Jaune 2 notre partenaire BD pour une séance dédicace à fixer, nous vous tiendrons bien évidemment au courant via le site Walivres. </p><p>Merci Julie, Sabine, Josiane, Apolline, Léon, Eliane, Angélique, Alysson, Alain, Thomas, Nicolas, nos bénévoles fidèles au poste serviables et souriants.</p><p>Merci aux librairies Claudine et Jaune 2 de nous avoir fait confiance.</p><p>Merci aux 180 auteurs présents sur le week-end, aux maisons d'éditions. Mention speciale à Abdel de Bruxelles, Baudouin Deville, Goum, Jérôme Colin et Geneviève Damas d'avoir donné un peu de leur temps pour Walivres.</p><p><br /></p><p>C'était un moment convivial, d'échanges, de rencontres, de découvertes. </p><p>Tout n'était sans doute pas parfait mais nous n'avons pas à rougir car l'organisation était au top, ce sont les propos des auteurs présents. Nous savons qu'il y a des choses à améliorer, nous allons analyser, nous améliorer, trouver notre orientation pour l'an prochain car notre souhait à Michel et à moi est de faire de ce salon un rendez-vous annuel permettant de soutenir les auteurs belges.</p><p><br /></p><p>Nous vous donnons déjà rendez-vous l'an prochain les 15 et 16 février 2025 pour la deuxième édition.</p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjLicWbW8NbaqwuxA8Ycan3vUObpMdW-DpCEucbWCIfZoftP1caafkbW4NBBFGdigkbRkYJT2M4LMRQEuaHBr0wJZrETmtuWdlpEdZTWzEdlTm52iyTiCwQAg1RJN2qL_Bmhnvb5WqU9tyUAJWVI5HHl4zXEGOJPTKFFxR4jhGClQsYGN4WxyrwRdDIcvGZ/s2016/rencontre%20bb.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="980" data-original-width="2016" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjLicWbW8NbaqwuxA8Ycan3vUObpMdW-DpCEucbWCIfZoftP1caafkbW4NBBFGdigkbRkYJT2M4LMRQEuaHBr0wJZrETmtuWdlpEdZTWzEdlTm52iyTiCwQAg1RJN2qL_Bmhnvb5WqU9tyUAJWVI5HHl4zXEGOJPTKFFxR4jhGClQsYGN4WxyrwRdDIcvGZ/s320/rencontre%20bb.jpg" width="320" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrn1TqM7UUyhswcx7gXqG9hH_0TUL68WCVOsqG_lTR_sQndOMSnOjuhYAAk3Lbj_g19sbOC9VRMO_EYNi2vJeigY3oXlQV3ubdwFwn6GDIaz2nPGEzW6hx8MQA_VzVZotR8pnPPJdX5qCmnQWqlDLU8U4Z3d2Fw5pI8xkjSmhYiGXtIHgjcHFAaIH8vPhC/s2016/abdel%20de%20bxl.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrn1TqM7UUyhswcx7gXqG9hH_0TUL68WCVOsqG_lTR_sQndOMSnOjuhYAAk3Lbj_g19sbOC9VRMO_EYNi2vJeigY3oXlQV3ubdwFwn6GDIaz2nPGEzW6hx8MQA_VzVZotR8pnPPJdX5qCmnQWqlDLU8U4Z3d2Fw5pI8xkjSmhYiGXtIHgjcHFAaIH8vPhC/s320/abdel%20de%20bxl.jpg" width="156" /></a></div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkihxjxLad5zpy-aljGsPr0WDwkEr3Qeor1iov8I4HrKAZwwUzmVbOMdJk6s-O4VT347YTY4YhnMqRpQrTY_DigFycgcf-_4PTu1KQSPyxldHAhOcxSX3TzM9wXPCA_qQg0K6k4Lrn9cXY2UkXooorEisb3ix3Q3WpIO39ik0QNyg4L1YGER4kNF1tiT86/s2016/animation.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkihxjxLad5zpy-aljGsPr0WDwkEr3Qeor1iov8I4HrKAZwwUzmVbOMdJk6s-O4VT347YTY4YhnMqRpQrTY_DigFycgcf-_4PTu1KQSPyxldHAhOcxSX3TzM9wXPCA_qQg0K6k4Lrn9cXY2UkXooorEisb3ix3Q3WpIO39ik0QNyg4L1YGER4kNF1tiT86/s320/animation.jpg" width="156" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWhUJKY3bEg94PCjBx42jXcZMfg1lOMnKW4JRu8az_FsbNsoikYrmC_swMv0GVsKYuGB1jUs-1TezA2qN9C_a-ja6KDB3K9xA8BYoIZL0fvh0gidlsg96VYqvkMZ7o-nZiWH3mOB2e3NiaAv93ZFzN2JB8Hvgl4Yr2hoNHNuLFRhvb-6IzP10wqK8TrAmL/s2016/stephanie%20delville.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWhUJKY3bEg94PCjBx42jXcZMfg1lOMnKW4JRu8az_FsbNsoikYrmC_swMv0GVsKYuGB1jUs-1TezA2qN9C_a-ja6KDB3K9xA8BYoIZL0fvh0gidlsg96VYqvkMZ7o-nZiWH3mOB2e3NiaAv93ZFzN2JB8Hvgl4Yr2hoNHNuLFRhvb-6IzP10wqK8TrAmL/s320/stephanie%20delville.jpg" width="156" /></a><br /><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyqO3LbeMD0o-O-Gf_ALnwjc5689ZHEyxPwhUQlkpcyxbL3Vas8IjfHU_rYcZLZdjg7904QHomVFc4msFc0aS93XcP-ZmrGF24gTt6vtV9YAhLkZwJM2W-usG7r9emjULs3IDm-9zyxXlK4VDwo-XF-ViR1h1UhYGjhDelDg5uBZaiqEYzRcyaUwQMjlZr/s2016/lorenzo%20genevieve%20valerie.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="980" data-original-width="2016" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyqO3LbeMD0o-O-Gf_ALnwjc5689ZHEyxPwhUQlkpcyxbL3Vas8IjfHU_rYcZLZdjg7904QHomVFc4msFc0aS93XcP-ZmrGF24gTt6vtV9YAhLkZwJM2W-usG7r9emjULs3IDm-9zyxXlK4VDwo-XF-ViR1h1UhYGjhDelDg5uBZaiqEYzRcyaUwQMjlZr/s320/lorenzo%20genevieve%20valerie.jpg" width="320" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiemCiD52FmiMTz2k-kiJLRBdCXt0XLDa9X4c439xCCDtC8hFgCBABMi5gc3qWVea6Ksdg87IeAITRZVUTmiiGVEBRI_2dxN06yW01goOcF4z7LhuMsiiUyCFSpvAs10R5lrU-al61GGwH1O2vF2hbaW8Gm3axa8kCPOfJM8CwCBo_SjyQFaOq_K2XzUje5/s2016/goum%202.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiemCiD52FmiMTz2k-kiJLRBdCXt0XLDa9X4c439xCCDtC8hFgCBABMi5gc3qWVea6Ksdg87IeAITRZVUTmiiGVEBRI_2dxN06yW01goOcF4z7LhuMsiiUyCFSpvAs10R5lrU-al61GGwH1O2vF2hbaW8Gm3axa8kCPOfJM8CwCBo_SjyQFaOq_K2XzUje5/s320/goum%202.jpg" width="156" /></a></div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXs_kdiY1B3JL6UDS-HU6211teutwYmg7M9vJhDS-JlpibROBHd4O4GpWjUagGtLvIrLERqUpEwAhbzTv8dCwtVQCblXQMWzgWYkF74vofx-yl13WdJAm8TTTYoS9XuoRRpUSIQ4beLSdBzKFtaU1RGWHqezKy7zYVBAOpy9EcAdJRqu1wNItXFUbIjJN5/s2016/baudouin%20deville.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXs_kdiY1B3JL6UDS-HU6211teutwYmg7M9vJhDS-JlpibROBHd4O4GpWjUagGtLvIrLERqUpEwAhbzTv8dCwtVQCblXQMWzgWYkF74vofx-yl13WdJAm8TTTYoS9XuoRRpUSIQ4beLSdBzKFtaU1RGWHqezKy7zYVBAOpy9EcAdJRqu1wNItXFUbIjJN5/s320/baudouin%20deville.jpg" width="156" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_FDjk4WmGPcWpPCBimhZ4ZQrEBsaa6dDIzz9WLuBnMaNDjQ3j7ocErGTPeqbBIHsoEebkVyvNkEZRNMAZcDJsi7Xf8ydM2upiDMv6ZZ_iRiJ0alUro6PAsrSYdqz2iow7Cm3xE3hyphenhyphenuSy8daLzbSf_GfTr8K8kgetJrgjinbhdpZuyj6Rx6hNciCpjVxFJ/s2016/abdel%20de%20bxl.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_FDjk4WmGPcWpPCBimhZ4ZQrEBsaa6dDIzz9WLuBnMaNDjQ3j7ocErGTPeqbBIHsoEebkVyvNkEZRNMAZcDJsi7Xf8ydM2upiDMv6ZZ_iRiJ0alUro6PAsrSYdqz2iow7Cm3xE3hyphenhyphenuSy8daLzbSf_GfTr8K8kgetJrgjinbhdpZuyj6Rx6hNciCpjVxFJ/s320/abdel%20de%20bxl.jpg" width="156" /></a><br /><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKOI9Wb_NIruE-OgONoIpgijOFdBhRvDLMBEZIH2uhxfFyUYQr4SDiycK2gRROzKH2Z4xndmnMlQBS6Qc05M1p8jflU49zgrFvtAxvL23ykNw2LxdLyNO02e75mY4GjaHiAvh7uKkSQIR_EBQVDDU34NPNOUV8XUbdLRvXCW5zQdzb8YSASqDa2kxc3a5o/s2016/jerome%20collin.jpg" style="clear: left; display: inline; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKOI9Wb_NIruE-OgONoIpgijOFdBhRvDLMBEZIH2uhxfFyUYQr4SDiycK2gRROzKH2Z4xndmnMlQBS6Qc05M1p8jflU49zgrFvtAxvL23ykNw2LxdLyNO02e75mY4GjaHiAvh7uKkSQIR_EBQVDDU34NPNOUV8XUbdLRvXCW5zQdzb8YSASqDa2kxc3a5o/s320/jerome%20collin.jpg" width="156" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg19-6EBwn2mOuIuaTt_KdYwL_kRIAgxAi7dkf-yag4CmaGZOYWqql5tWlaXdKXBWdFRY7LDSl3IUU1yFF_BC6lGVD2uriTfA3hlyylnFHZs0NCFgL7q2fbA6Dt6sOwIf5eGXFOCmjfyxkAqHmJ8s3AgtbQmD2DFNVCkuEDLdt8iNgWExgrfQPzUNrxVzKk/s2016/valerie%20noelle.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg19-6EBwn2mOuIuaTt_KdYwL_kRIAgxAi7dkf-yag4CmaGZOYWqql5tWlaXdKXBWdFRY7LDSl3IUU1yFF_BC6lGVD2uriTfA3hlyylnFHZs0NCFgL7q2fbA6Dt6sOwIf5eGXFOCmjfyxkAqHmJ8s3AgtbQmD2DFNVCkuEDLdt8iNgWExgrfQPzUNrxVzKk/s320/valerie%20noelle.jpg" width="156" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyJvcztHaEOOE_HOrLIewRJvZWP-Qx5DqgcMR1dUWcjSfK1cJp9Y4cm5xkusc1qNRiwqX_1sUqB0lSV6o2j05eH7EINZkyeog_zGlYLitIJxihcjaKgH41T4ZAhN4cx6YvjYal947YYMHFnk6I2s3atx1bERo5dqiKtoxm9AIWS14HYWt3uOlHhPzlWn4d/s2016/arnaud%20nihoul.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyJvcztHaEOOE_HOrLIewRJvZWP-Qx5DqgcMR1dUWcjSfK1cJp9Y4cm5xkusc1qNRiwqX_1sUqB0lSV6o2j05eH7EINZkyeog_zGlYLitIJxihcjaKgH41T4ZAhN4cx6YvjYal947YYMHFnk6I2s3atx1bERo5dqiKtoxm9AIWS14HYWt3uOlHhPzlWn4d/s320/arnaud%20nihoul.jpg" width="156" /></a> </div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSjB6pr5BfYTLrUIi33gVDdov3IqGMji6UiKVQPGE5uFBj1OdOvl7Ke8RR-kRypX3ac7j_3frCwMSotnuNbs76RR8hoJrHwaMXqORGJsn55PiUOOtonjQ6LdL-T3P8MQyZM4Z3bnxuawuI-zjNOjnBgF-Hcmr9wcjq5iwSZdHiN3n_0vm28yxomjdLdORg/s2016/ambiance.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="980" data-original-width="2016" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSjB6pr5BfYTLrUIi33gVDdov3IqGMji6UiKVQPGE5uFBj1OdOvl7Ke8RR-kRypX3ac7j_3frCwMSotnuNbs76RR8hoJrHwaMXqORGJsn55PiUOOtonjQ6LdL-T3P8MQyZM4Z3bnxuawuI-zjNOjnBgF-Hcmr9wcjq5iwSZdHiN3n_0vm28yxomjdLdORg/s320/ambiance.jpg" width="320" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrOcfTh_L9PfKA2GLCvesQobjgTN5l8rHS42RNq112nMSoN0rQQqxt7nArlbM7odWT76ACWnhX09hgESfon9BcTNCY2NFVaH-rW04K4UiWgriRIMkDp8y9d33dN4tk5Z9qx6Uhdo_dNtaE2pz8TOxVXjoB9sMVsVR287GqkCvEksDbcgfi2jWp499XTFTE/s220/walivres.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="101" data-original-width="220" height="184" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrOcfTh_L9PfKA2GLCvesQobjgTN5l8rHS42RNq112nMSoN0rQQqxt7nArlbM7odWT76ACWnhX09hgESfon9BcTNCY2NFVaH-rW04K4UiWgriRIMkDp8y9d33dN4tk5Z9qx6Uhdo_dNtaE2pz8TOxVXjoB9sMVsVR287GqkCvEksDbcgfi2jWp499XTFTE/w400-h184/walivres.png" width="400" /></a></div><br /><p><br /></p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqPNrl6QIY-QWZi6OYIMY3Bl5zfBdgKOpk0HBkUtBR2Fvr8mY480kQZwKQLXtkJ9UPtXMN_ESJ9tf0wfFJntaSSmcsIchwX8oYiDGO9PgkEGG4xcpcDyO71pC3_N1CefqvvN5ecNRDoi2yav8uChb07OxySaw8b4csdrGHo-bE7UzgbZA6yjWyt6EtgOh3/s398/made%20in%20belgium.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqPNrl6QIY-QWZi6OYIMY3Bl5zfBdgKOpk0HBkUtBR2Fvr8mY480kQZwKQLXtkJ9UPtXMN_ESJ9tf0wfFJntaSSmcsIchwX8oYiDGO9PgkEGG4xcpcDyO71pC3_N1CefqvvN5ecNRDoi2yav8uChb07OxySaw8b4csdrGHo-bE7UzgbZA6yjWyt6EtgOh3/w400-h161/made%20in%20belgium.jpg" width="400" /></a></div><p></p><p><br /></p>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-84441153598607019742024-02-12T16:04:00.002+01:002024-02-12T16:10:26.574+01:00 3 minutes 25 de bonheur - François Morel<i><b><span style="color: red; font-size: large;">3 minutes 25 de bonheur - François Morel</span></b></i><br /><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiExcm5mu0LtcV0gpQmbnoJcDqW7iXI1KrmokMkyUD7u-kqWq84Y99tupg__z9NqgTPLW4PknLILBwbo26HadTZA4POy8D03xkXtTBBnwi07a9FZv-F6ryBmnoTwJOXlefcWY4wizF7l1c1XVkjj7NQBsURpBfEH0JZo6al5SPf-OpYHgqINIVlRUmT7ZLu/s286/3%20minutes%2025%20de%20bonheur.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiExcm5mu0LtcV0gpQmbnoJcDqW7iXI1KrmokMkyUD7u-kqWq84Y99tupg__z9NqgTPLW4PknLILBwbo26HadTZA4POy8D03xkXtTBBnwi07a9FZv-F6ryBmnoTwJOXlefcWY4wizF7l1c1XVkjj7NQBsURpBfEH0JZo6al5SPf-OpYHgqINIVlRUmT7ZLu/w273-h400/3%20minutes%2025%20de%20bonheur.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />De Noël / France Inter<br />Parution : 04/10/23<br />Pages : 256<br />Isbn : 9782207179314<br />Prix : 19.90 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br />À savourer à petites doses ou à dévorer d’une traite.<br /><br />Tout est affaire de point de vue. L’actualité, la politique, la vie des arts ou l’histoire de France prennent une allure délicieusement nouvelle et décalée sous la plume de François Morel. Dans ses chroniques hebdomadaires, il nous livre, en 3 minutes 25, un kaléidoscope pétillant de la vie moderne.<br /><br />Sa verve familière, la vivacité de sa plume et le charme de ses traits d’esprit égaient une actualité plus ou moins brûlante. François Morel a l’art de nous rappeler, entre une ode à la poésie des bancs publics, un plaidoyer enflammé pour les personnes âgées et la découverte d’une nouvelle planète, les valeurs fondamentales du quotidien, et de la vie.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'avis de mon mari</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">François Morel est un comédien français qui
s’est fait connaître comme membre de la bande des Deschiens (avec aussi Yolande
Moreau) qui ont sévi sur Canal Plus dans l’émission ‘Nulle Part Ailleurs’ dans
les années 90.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Il est également acteur au théâtre et au
cinéma mais aussi chroniqueur radio pour France Inter.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Donc chaque vendredi matin Morel fait une
chronique de plus ou moins…3 minutes 25.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Ce sont ces chroniques qui sont
retranscrites dans ce livre.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Je dois avouer que je n’avais jamais écouté
une seule chronique, n’écoutant d’ailleurs jamais les radios françaises et très
peu la radio en général.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span><o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Ces chroniques sont bien écrites et souvent
évidemment avec beaucoup d’humour et de causticité mais jamais de méchanceté
(sauf peut-être celle où il parle de Francis Huster).<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Je dirais qu’en tant que belge, tout ce qui
touche à la politique française m’indiffère complètement (déjà la politique
belge…). Donc certaines chroniques ne m’ont pas du tout intéressé.<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Ceci dit j’ai appris certains mots dont l’odonymie. L'odo ... quoi ? L'odonymie est l’étude des noms propres désignant les voies de
communication (par exemple le tunnel Annie Cordy à Bruxelles, non cité dans le
livre).<o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">Cela se lit donc avec un certain plaisir et
comme il s’agit de chroniques, on peut piocher ou en lire quelques unes ici et
là au petit déjeuner, par exemple ou n'importe quand. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US">A noter aussi un bel hommage à Jean-Louis
Trintignant. <o:p></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="EN-US"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><o:p></o:p></span></p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i></i></b></span></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-13312091189226126372024-02-11T11:31:00.001+01:002024-02-11T11:31:55.701+01:00L'évangile par le menu - Marc Menu<p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"> L'évangile par le menu - Marc Menu</span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b></b></i></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><i><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXpWJanhVVSvVqOQg0vgdgkK7fYhysfWCOqiS3FC_6o3CXS4OGJcHYwFvjKZYVvfIZ3k50zlIjAZV7x8gff5pui4xxNNVHWG0u8hwQV2oLfNgXFmpfu5r7duG0q0biQwy5uUGlPw5U3EVcxfeUQBVGSQ0yWXyYcXjECstwGZ_l1sh4btRdIi1Nk62IARMe/s717/l'%C3%A9vangile%20par%20le%20menu.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="717" data-original-width="500" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXpWJanhVVSvVqOQg0vgdgkK7fYhysfWCOqiS3FC_6o3CXS4OGJcHYwFvjKZYVvfIZ3k50zlIjAZV7x8gff5pui4xxNNVHWG0u8hwQV2oLfNgXFmpfu5r7duG0q0biQwy5uUGlPw5U3EVcxfeUQBVGSQ0yWXyYcXjECstwGZ_l1sh4btRdIi1Nk62IARMe/w279-h400/l'%C3%A9vangile%20par%20le%20menu.jpg" width="279" /></a></b></i></div><i><b><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i><p></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p><p><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></p>Cactus inébranlables<div>Microcactus</div><div>Les éditeurs singuliers</div><div>Parution : novembre 2023</div><div>Pages : 96</div><div>Prix : 10 €</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><i><b>Présentation de l'éditeur</b></i></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><i><b><br /></b></i></span></div><br /><br />Dans l’esprit (sain ?) de l’auteur, Jésus est un sacré blagueur, amateur de tours de magie, un peu colérique, assez rebelle et totalement insoumis. Sa meuf, Marie-Madeleine s’est teint les cheveux en vert, écoute de la musique punk et lit Virginie Despentes. Quant à ses potes, ils jouent des parties de flipper au bistrot du coin, à l’affut d’un miracle dont ils tireront une belle chronique à publier sur leur blog.<br /><br />Marc Menu réécrit l’évangile sans craindre l’excommunication.<br />On attend impatiemment une réaction du Vatican.<br /><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'auteur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Marc Menu est né à Etterbeek en 1961. Après des études de bibliothécaire-documentaliste, il a œuvré pendant vingt ans dans une école de cinéma. Il est l’auteur de micro-fictions grinçantes (publiées chez Quadrature) et de deux recueils de poésie (publiés au Taillis Pré).<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Voici un récit décalé, loufoque et irrévérencieux à souhait mais qu'est-ce-que cela fait du bien. J'ai souri souvent, j'ai ri aussi et même beaucoup ri à la lecture de ce récit hors du commun.</div><div><br /></div><div>L'évangile il la connaît, on sent les références tout de même ! C'est une revisite bien réussie, très surréaliste et bien belge que nous propose Marc Menu.</div><div><br /></div><div>C'est truffé d'humour et de jeux de mots, parfois tordu et un peu limite mais j'adore ça.</div><div><br /></div><div>Des exemples :</div><div><br /></div><div>- Glaive lève-toi ! (vous entendez la chanson ?)</div><div>- Les disciples ont rendez-vous dans des stades de foot à attendre le 'Messi'</div><div>- Il marche sur les eaux car il ne veut pas que l'on sache qu'il ne sait pas nager</div><div><br /></div><div>Remettez le tout dans le contexte, ça marche.</div><div><br /></div><div>Pour ma part c'est un 8.5/10</div><div><br /></div><div>Euh j'oubliais ! Grenouilles de bénitier s'abstenir !</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Les jolies phrases</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>- Heureux les mous, car ils plieront et ne se briseront point.<div>- Heureux ceux qui pleurent, car ils pisseront moins.</div><div>- Heureux ceux qui croient en la justice, car ils vivront toute leur vie dans un monde imaginaire.</div><div>- Heureux les coeurs purs, car il ne leur sera pas reproché de polluer la planète.</div><div><br /></div><div> Cet homme n'était pas aveugle, répondit Jésus. Il avait seulement du sable plein les yeux, sans doute depuis l'opération Tempête du désert. Il suffisait de lui donner du collyre.<br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNsfkJL3unHcz2X74yLXIJRyH0n4nrZz5Qgab8ad7958R9KM89bYuQ031M4iiHDu0KnoO3jOSTWGKDcyOhhltaJ7VhttAWUcXPYtiadYyuq6WbCW4jjZqW4gKaqyx5PAIf3JPTGQWYkVLlGH9B1yY8sj52veB5iqE8rbUttQyJDylKsPA3NOzQwKdh62j_/s398/made%20in%20belgium.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="129" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNsfkJL3unHcz2X74yLXIJRyH0n4nrZz5Qgab8ad7958R9KM89bYuQ031M4iiHDu0KnoO3jOSTWGKDcyOhhltaJ7VhttAWUcXPYtiadYyuq6WbCW4jjZqW4gKaqyx5PAIf3JPTGQWYkVLlGH9B1yY8sj52veB5iqE8rbUttQyJDylKsPA3NOzQwKdh62j_/s320/made%20in%20belgium.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-1179603702166767782024-02-08T17:29:00.002+01:002024-02-10T08:03:43.571+01:00Café littéraire du 28 février 2024 : Lize Spit<p> <i><b><span style="color: red; font-size: large;">Café littéraire du mercredi 28 février 2024 : Lize Spit</span></b></i></p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcKtp1roZwqRMHbdur_8jAGlqn1a7Saf3s8srSD2EKQY3M1Bvd5BvGcBz8js8JsAJjkYletbgpUo5iEaZKHEHB9pAPn5WaAz1MAE7n891FAj9oxbiUL2NN_R0OyTfoeppCMtPzIawkZXqkRydBLmpH0ck1RrJZsVi127Wdo3XaHYM8HVkTwrME5u3FujJA/s2245/Caf%C3%A9%20litt%C3%A9raire%2028-02-24.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2245" data-original-width="1587" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcKtp1roZwqRMHbdur_8jAGlqn1a7Saf3s8srSD2EKQY3M1Bvd5BvGcBz8js8JsAJjkYletbgpUo5iEaZKHEHB9pAPn5WaAz1MAE7n891FAj9oxbiUL2NN_R0OyTfoeppCMtPzIawkZXqkRydBLmpH0ck1RrJZsVi127Wdo3XaHYM8HVkTwrME5u3FujJA/w453-h640/Caf%C3%A9%20litt%C3%A9raire%2028-02-24.png" width="453" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><p><br /></p><p><span style="font-family: inherit;">Voici enfin ce café-littéraire tant attendu, le 28 février prochain j'aurai le plaisir d'accueillir Lize Spit.</span></p><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;">Cette jeune autrice flamande est un véritable phénomène. Son premier roman "Het Smelt" (Débâcle en français) s'est vendu à plus de 200 000 exemplaires. Il a été traduit dans plus de 15 langues et a été adapté à l'écran.</div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;">Son deuxième roman "Ik ben er niet" est paru en décembre 2020 - en février 2023 en français chez Actes Sud- "Je ne suis pas là".</div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><br />C'est principalement celui-la qui fera l'objet du café littéraire.</div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><br /></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><br /></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Lize Spit</i></b></span></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><span style="color: red; font-family: inherit; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwqP05yXZiBkGdFIs4qpKUT1WBALrdOQih1gnVMrPWxmpSY2bTDcxVsRwsAQw4VeYkiVT4C-lzSoCSi6pL1NUlaSQYHtTgqSwH8z-kjXO_IMluw-GS8ARWhq6Vo3T9AvyEpIeu4GJWX1nLQ0Mnome_clXUITXKr0-ADWsSbMEz_q4XaiEUP6IkZHo5C0qx/s2016/lize%20spit.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2016" data-original-width="980" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhwqP05yXZiBkGdFIs4qpKUT1WBALrdOQih1gnVMrPWxmpSY2bTDcxVsRwsAQw4VeYkiVT4C-lzSoCSi6pL1NUlaSQYHtTgqSwH8z-kjXO_IMluw-GS8ARWhq6Vo3T9AvyEpIeu4GJWX1nLQ0Mnome_clXUITXKr0-ADWsSbMEz_q4XaiEUP6IkZHo5C0qx/w195-h400/lize%20spit.jpg" width="195" /></a></div><br /></b></span><br /><br />Lize Spit (1988) a grandi dans la Campine anversoise, mais vit à Bruxelles depuis 2005. Elle a obtenu une maîtrise en scénarisation du RITCS. Elle a remporté le prix du public et du jury à Write Now! en 2013.<br /><br />En 2016, son premier roman « Het Smelt » a été publié et s'est vendu à plus de 200 000 exemplaires. Des traductions dans douze pays et une adaptation cinématographique ont suivi. Le livre a remporté le Bronze Owl, le Book Trade Prize, le Hebban Debut Prize, est devenu livre de l'année du CNRC et a été sélectionné pour le prix de littérature Libris et le Premio Strega Europeo. Son deuxième roman « Je ne suis pas là » a été publié en décembre 2020.<br /><br />Lize Spit travaille comme conférencière invitée en écriture créative pour la LUCA School Of Arts et le RITCS. Elle est chroniqueuse à De Morgen.<br /></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><br /></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;">Source : <a href="https://www.lizespit.be/bio">site de l'autrice</a></div><div class="x11i5rnm xat24cr x1mh8g0r x1vvkbs xtlvy1s" style="font-family: inherit; margin: 0.5em 0px 0px; overflow-wrap: break-word;"><br /></div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Je ne suis pas là - Lize Spit<br /></span></i></b><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgub9HUY1VzBCBg4lCZ7HxDOd2ppGmNfg1nbyKa44OpaZpFP5K0--8ybdJdRytpto4T8Qjh7SrOMdvbiDFep6lb92dcgERH8Ukb2zuYj9RDCl27IapM4rraoXBzhbpQlkHJHvfF723FKvIUCnZVxYwuS0AbQQTDh_CkG7BGO02H6d2CnRAhhBCWstrfRg/s1021/je%20ne%20suis%20pas%20l%C3%A0.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgub9HUY1VzBCBg4lCZ7HxDOd2ppGmNfg1nbyKa44OpaZpFP5K0--8ybdJdRytpto4T8Qjh7SrOMdvbiDFep6lb92dcgERH8Ukb2zuYj9RDCl27IapM4rraoXBzhbpQlkHJHvfF723FKvIUCnZVxYwuS0AbQQTDh_CkG7BGO02H6d2CnRAhhBCWstrfRg/w241-h400/je%20ne%20suis%20pas%20l%C3%A0.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br />Actes Sud<br />Lettres néerlandaises<br />Traduit du néerlandais par Emmanuelle Tardif<br />Parution : février 2023<br />Pages : 512<br />ISBN : 978-2-330-17353-1<br />Prix : 24.00€<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br />« Nous étions deux piliers de guingois qui, dès lors qu’on les appuierait l’un contre l’autre, auraient plus de stabilité qu’un seul pilier à la verticale. Tout irait bien tant que nous resterions ensemble. »<br />Leo vit avec son petit ami Simon depuis dix ans. Lié par une enfance troublée, le couple vit parfaitement heureux. Jusqu'à ce que tout change : Simon rentre chez eux au milieu de la nuit et Leo ne le reconnaît plus, ni dans ses gestes, ni dans ses mots. Lentement, l'existence méticuleusement construite de Leo s'effondre, jusqu’à mettre sa vie en danger…<br />Après le très remarqué "Débâcle", Lize Spit revient avec une troublante histoire de dévotion et de trahison en forme de thriller haletant.<br /><div><br /></div><div><br /></div><div>Mon avis arrive ☺</div><div><br /></div><div><br /><i><b><span style="color: red; font-size: large;">Débâcle - Lize Spit<br /></span></b></i><br /><img height="400" src="https://www.actes-sud.fr/sites/default/files/couv_jpg/9782330092658.jpg" width="242" /><br /><br />Actes Sud<br />Traduit du néerlandais par Emmanuelle Tardif<br />Parution : février 2018<br />Pages : 432<br />ISBN 978-2-330-09265-8<br />prix indicatif : 23, 00€<br /><br /><br /><span style="color: red; font-size: medium;"><i><b>Présentation de l'éditeur<br /></b></i></span><br />À Bovenmeer, un petit village flamand, seuls trois bébés sont nés en 1988 : Laurens, Pim et Eva. Enfants, les “trois mousquetaires” sont inséparables, mais à l’adolescence leurs rapports, insidieusement, se fissurent. Un été de canicule, les deux garçons conçoivent un plan : faire se déshabiller devant eux, et plus si possible, les plus jolies filles du village. Pour cela, ils imaginent un stratagème : la candidate devra résoudre une énigme en posant des questions ; à chaque erreur, il lui faudra enlever un vêtement. Eva doit fournir l’énigme et servir d’arbitre si elle veut rester dans la bande. Elle accepte, sans savoir encore que cet “été meurtrier” la marquera à jamais. Treize ans plus tard, devenue adulte, Eva retourne pour la première fois dans son village natal. Cette fois, c’est elle qui a un plan…<br /><br /><br />Véritable coup de tonnerre dans le paysage littéraire aux Pays-Bas et en Belgique, immense succès de librairie qui a valu à son auteur les plus grands éloges, Débâcle est un roman choc, servi par une écriture hyperréaliste et intransigeante. Une expérience de lecture inoubliable.<div><br /></div><div>Mon avis est <a href="https://nathavh49.blogspot.com/2018/09/debacle-lize-spit.html">ici</a></div></div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">En pratique</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div>Attention c'est un mercredi cette fois, le 28 février 2024 à 19h </div><div><br /></div><div>C'est <i><b>gratuit </b></i>mais mais il faut <b>absolument</b> <b>s'inscrire</b> en envoyant un petit mail à l'adresse suivante : bibliocareme@wavre.be ou en téléphonant au 010 23 04 15 pour la bonne organisation de la soirée.</div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><br /><b><i><span style="color: red;">Adresse du jour :</span></i></b><br /><br /><br />Bibliothèque Maurice Carême<br />Rue de l'Ermitage 65<br />1300 Wavre<br /><br /><br />Parking gratuit à proximité (à l'arrière de La Sucrerie)<br /><br /><br />Comme à chaque fois, la librairie Claudine sera présente si vous souhaitez acquérir un des livres pour la séance de dédicaces.<br /><br /><br />On terminera autour d'un verre en toute convivialité.<br /><br />Au plaisir de vous y retrouver nombreux j'espère !<div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-SkFKWKuZJ9xZCg-xWe6odjEeZ0fBBhA89FOeMhOd59z2yHGPMbhPtecKtBC0f5AH-2ODH-LP89l_MDW1jNUJCqIRozfhA8MpplcgoeBLkrJmDIKXvLJjP4ONATU9-CgkUsT0_f0W0nOweh_1vlPkemBlkqnUzGSijhIsnCDeomJU0DMCcRSbY7v5_pW2/s398/made%20in%20belgium.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-SkFKWKuZJ9xZCg-xWe6odjEeZ0fBBhA89FOeMhOd59z2yHGPMbhPtecKtBC0f5AH-2ODH-LP89l_MDW1jNUJCqIRozfhA8MpplcgoeBLkrJmDIKXvLJjP4ONATU9-CgkUsT0_f0W0nOweh_1vlPkemBlkqnUzGSijhIsnCDeomJU0DMCcRSbY7v5_pW2/w400-h161/made%20in%20belgium.jpg" width="400" /></a></div><br /><div><br /></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-9555251950348534812024-02-07T17:03:00.001+01:002024-02-07T17:03:20.918+01:00Mariedl une histoire gigantesque - Laura Simonati<b><i><span style="color: red; font-size: large;">Mariedl une histoire gigantesque - Laura Simonati</span></i></b><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhzc3nKcyHBzzPa-6pmyRQttDuJA-_AU-ENGrC-fab1_qsq1iFhfwq9Py4tyd_ibXnX56cOs5RFAhL8TanuvMbzWyRDCwyjXZkp8MvoDPiS-44rGIvQtveYm6e4ZeJI6bsb-cEIiupN0a_5mtwhx0uvcjuZjr7SuqCXONQx9nDzsG2FitQIe9UMnDZPCvrs/s340/mariedl.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhzc3nKcyHBzzPa-6pmyRQttDuJA-_AU-ENGrC-fab1_qsq1iFhfwq9Py4tyd_ibXnX56cOs5RFAhL8TanuvMbzWyRDCwyjXZkp8MvoDPiS-44rGIvQtveYm6e4ZeJI6bsb-cEIiupN0a_5mtwhx0uvcjuZjr7SuqCXONQx9nDzsG2FitQIe9UMnDZPCvrs/w400-h400/mariedl.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Versant Sud<br />Parution : 2022<br />Âge cible : 6-8 ans<br />Pages : 68<br />Isbn : 9785930938608<br />Prix : 17.90 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur<br /></span></i></b><br /><br /><br />Dans une petite vallée, il y avait une grande montagne. À son sommet, dans un petit village, vivait Mariedl. Elle était si grande, si gigantesque, qu’elle n’était jamais tranquille : tous la dévisageaient et s’exclamaient à son passage.<br /><br />Ricanements et moqueries étaient son lot quotidien. Alors, le jour où un petit homme moustachu apparut et lui proposa de rejoindre son cirque, Mariedl le suivit. Il l’emmènerait dans toutes les villes d’Europe, elle serait le clou de son spectacle !<br /><br />Hélas, une fois sur scène, Mariedl déchanta. Tous les spectateurs la voyaient comme un monstre. Alors, avec ses nouveaux amis, l’homme-lion, la femme tatouée et Victor, l’être le plus fort du monde, elle mit au point un plan pour s’enfuir et vivre une vie heureuse.<br /><br />Basé sur l’histoire vraie d’une jeune femme de la région du Tyrol, Mariedl, une histoire gigantesque est un récit passionnant, touchant, et une vraie réussite graphique.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Laura Simonati</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyniTU1AFUJwmz-ATkTwkgOgC3pUWLsEiHcWDqYwI6uC0rKqwbUnbZjDEHZkp5HcHRSdlq3pMJa6uHc7Flt282XbscYPs-Glq0Veksi-k09KgMhcMyWDsX9sYnEuEKebvSbwMzZLLpluYbahA8GxYfv13WSV8bUr6goZ6hRvixjj_gJVc-rxVar7oBIy2g/s666/laura%20simonate.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="666" height="288" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyniTU1AFUJwmz-ATkTwkgOgC3pUWLsEiHcWDqYwI6uC0rKqwbUnbZjDEHZkp5HcHRSdlq3pMJa6uHc7Flt282XbscYPs-Glq0Veksi-k09KgMhcMyWDsX9sYnEuEKebvSbwMzZLLpluYbahA8GxYfv13WSV8bUr6goZ6hRvixjj_gJVc-rxVar7oBIy2g/s320/laura%20simonate.jpg" width="320" /></a></div></b></span></div><div>Laura Simonati est une illustratrice et une graphiste italienne née à Vérone. Après avoir obtenu son diplôme de la faculté de design et d’arts de la Libera Università di Bolzano en 2017, elle déménage à Bruxelles, où elle réalise un master à l’ENSAV La Cambre. Elle travaille actuellement en tant qu’illustratrice et graphiste freelance, en s’inspirant de l’art vernaculaire. En septembre 2020, elle a fait partie des artistes sélectionnés pour le Golden Pinwheel Young Illustrators Award. Elle est l’autrice du livret Zitti zitti, fate piano, chez Coraini edizioni.</div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><br /><br />Prix<div> <br />Espiègle de la première œuvre en littérature de jeunesse, 2023 (<a href="https://objectifplumes.be/doc/mariedl-une-histoire-gigantesque">Mariedl, une histoire gigantesque</a>)<br /> Ragazzi Award « Opera Prima » de la Foire du livre jeunesse de Bologne, 2023 (<a href="https://objectifplumes.be/doc/mariedl-une-histoire-gigantesque">Mariedl, une histoire gigantesque</a>)</div><div><br /></div><div><br /></div><div>Source : <a href="https://objectifplumes.be/author/laura-simonati/">Objectif plumes</a><br /><div><ul style="background-color: white; box-sizing: inherit; color: #292b2c; font-family: "Roboto Condensed"; font-size: 14px; list-style: none; margin-bottom: 1rem; margin-top: 0px;"><li style="box-sizing: inherit; margin-left: -20px;"><span class="fa fa-trophy" style="-webkit-font-smoothing: antialiased; box-sizing: inherit; display: inline-block; font-family: FontAwesome; font-feature-settings: normal; font-kerning: auto; font-optical-sizing: auto; font-size: inherit; font-stretch: normal; font-variant-alternates: normal; font-variant-east-asian: normal; font-variant-numeric: normal; font-variant-position: normal; font-variation-settings: normal; line-height: 1; text-rendering: auto;"><span class="textBlack" style="box-sizing: inherit; color: black; font-family: "Roboto Condensed"; font-size: 15px;"><br /></span></span></li></ul><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/lg_7UzXed3g" width="320" youtube-src-id="lg_7UzXed3g"></iframe></div><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>C'est grâce à la soirée de remise des Prix de littérature de la Fédération Wallonie Bruxelles que j'ai découvert Laura Simonati. Elle a remporté l'Espiègle de la première oeuvre en littérature jeunesse.</div></div></div><div><br /></div><div>D'origine italienne, elle s'est installée à Bruxelles, a étudié à la Cambre. "Mariedl" est inspiré d'un personnage réel ayant existé au 19ème siècle : Maria Fassnauer. Comme Mariedl née dans le sud du Tyrol, dès l'âge de trois ans , elle a commencé à grandir de manière incontrôlable. A 17 ans, elle mesurait 2 m 27. Gigantesque, elle a voulu aider financièrement ses parents et est partie dans un cirque où on lui a fait miroiter monts et merveilles. </div><div><br /></div><div>Dans son village, Mariedel est rejeté par les habitants, imaginez que pour la vêtir il fallait tondre un nombre incalculable de moutons, pour son lit, il a fallu abattre une forêt, pour la nourrir aussi c'était compliqué. Rejetée de tous par sa différence, les villageois estimaient que sa place n'était pas au village.</div><div><br /></div><div>Ses parents l'aimaient et lorsqu'un drôle de personnage lui faisant miroiter le succès et le fait de ne manquer de rien vient lui proposer une tournée européenne dans son cirque, ils ont vite fait de le mettre dehors mais Mariedel veut aider ses parents et s'en va le rejoindre.</div><div><br /></div><div>C'était bien entendu trop beau pour être vrai, mais Mariedl va y rencontrer des amis : Victor l'homme fort, Lionel l'homme lion, Annie la tatouée, Pluma la femme Cigogne.... Ensemble ils vont lutter pour la liberté.</div><div><br /></div><div>Un très bel album jeunesse, des traits naïfs, des couleurs pastels, un découpage particulier nous font ressentir l'essentiel. Un très bel album pour enfants traitant de la différence, du rejet, de la cruauté et de l'acceptation, de l'intégration.</div><div><br /></div><div>J'ai beaucoup aimé, c'est un petit coup de ♥</div><div><br /></div><div>Je vous laisse découvrir en images ce bel univers.</div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/WND8Af4-dNA" width="320" youtube-src-id="WND8Af4-dNA"></iframe></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu0t_NBCg5mB6bi0VD5oZ1euEtGH1c41UYH-xBqD6t_aj7h5aWfwjq0N7k34yztLe0UxWzCfh2ZkGY8d1EWqgH8x0AA7uzMZRX3-9FiTZHmLlKYYaWsw5jL1YWGjvqcVvqAx1l7ESs1zBeYJMOtv5_dFeGZZLxRw0gE2UeILlcJGFXc8xGdISO4lM8xPto/s320/BD.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu0t_NBCg5mB6bi0VD5oZ1euEtGH1c41UYH-xBqD6t_aj7h5aWfwjq0N7k34yztLe0UxWzCfh2ZkGY8d1EWqgH8x0AA7uzMZRX3-9FiTZHmLlKYYaWsw5jL1YWGjvqcVvqAx1l7ESs1zBeYJMOtv5_dFeGZZLxRw0gE2UeILlcJGFXc8xGdISO4lM8xPto/s1600/BD.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-43171170456280247632024-02-04T18:15:00.001+01:002024-02-04T18:15:00.140+01:00Ils ont rejoint mon Himalaya à lire<p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Ils ont rejoint mon Himalaya à lire</i></b></span></p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_g5ZTZLDOoEP4bf-qEI57_AHhavPsoCz3zHlZCnVHlE3ccGJVK81Nx8AIBHslMhhKhqz8CivoTXOCQ7W1C_YT3vEH46GTs2bUpfUMjY1whmRzEyH3SLW0j5M5gyVNYOjCot_Cnv29LvXV5WBuHRXAYeWKm3L8u7kiqz03GdxGHzkvFXu_0Q29XwMgQWHM/s2015/pal%20new.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2015" data-original-width="1470" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_g5ZTZLDOoEP4bf-qEI57_AHhavPsoCz3zHlZCnVHlE3ccGJVK81Nx8AIBHslMhhKhqz8CivoTXOCQ7W1C_YT3vEH46GTs2bUpfUMjY1whmRzEyH3SLW0j5M5gyVNYOjCot_Cnv29LvXV5WBuHRXAYeWKm3L8u7kiqz03GdxGHzkvFXu_0Q29XwMgQWHM/w291-h400/pal%20new.jpg" width="291" /></a></div><br /><p><br /></p><p><br /></p><p>Voici les petits derniers arrivés !</p><p>Une auteure que j'aime beaucoup, merci à Masse Critique et Babelio</p><p><br /></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>L'inconnue au portrait - Camille de Peretti</i></b></span></p><p><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><p><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzQWqaBLeQCfgPVdcBgdsUontZJBavtPVH6UKXQoyJCOKuklm3cOkUvUiNQEjhOfZvVN2UJXeRpWYFJxEyGnh7CcVabxA0dNpsJ8DS3iD-dty61NfykNpV7dk_drzxq7j_uQ8nmyf8imh1PfF00FEZ_3ORQ3-fyvp_pj5DURiAkQP4IMLAM0xC9-5nODfY/s1242/l'inconnu%20au%20portrait.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1242" data-original-width="780" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzQWqaBLeQCfgPVdcBgdsUontZJBavtPVH6UKXQoyJCOKuklm3cOkUvUiNQEjhOfZvVN2UJXeRpWYFJxEyGnh7CcVabxA0dNpsJ8DS3iD-dty61NfykNpV7dk_drzxq7j_uQ8nmyf8imh1PfF00FEZ_3ORQ3-fyvp_pj5DURiAkQP4IMLAM0xC9-5nODfY/w251-h400/l'inconnu%20au%20portrait.webp" width="251" /></a></b></span></div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><br /><br /><br />Calmann Levy<br />Pages : 350<br />Isbn : 9782702185179<br />Prix : 21.50 €<br />Parution : 03/01/24<div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>« La toile vibrait de beauté. Elle en avait le souffle coupé et se noyait dans l’œil bleu ciel piqueté de vert. Est-ce qu’elle était réellement le sosie de cette inconnue ? »<br /> <br />Peint à Vienne en 1910, le tableau de Gustav Klimt Portrait d’une dame est acheté par un collectionneur anonyme en 1916, retouché par le maître un an plus tard, puis volé en 1997, avant de réapparaître en 2019 dans les jardins d’un musée d’art moderne en Italie.<br />Aucun expert en art, aucun conservateur de musée, aucun enquêteur de police ne sait qui était la jeune femme représentée sur le tableau, ni quels mystères entourent l’histoire mouvementée de son portrait.<br /> <br />Des rues de Vienne en 1900 au Texas des années 1980, du Manhattan de la Grande Dépression à l’Italie contemporaine, Camille de Peretti imagine la destinée de cette jeune femme, ainsi que celles de ses descendants. Une fresque magistrale où se mêlent secrets de familles, succès éclatants, amours contrariées, disparitions et drames retentissants.<br /><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Un livre noir </i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Noir comme l'orage - Sonia Delzongle</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcn_FKiuaUh7lnhQgTdPicsd7LngheUvSxyQoTmZy4sTyufaTYd6R_RXAOsOjcngN-3bQavWazbOrAaLDG5wtEkBk6nZrSzBsNtHpRZla3g-GI3yn3iI-5qNNyiDJt0jrpLgFRgh9OxKsVMGn6v4jFRtnRlNdzGFBac7Be376z18zTwPEXyIAfo3RJJ9sP/s527/noir%20comme%20l'orage.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="527" data-original-width="351" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcn_FKiuaUh7lnhQgTdPicsd7LngheUvSxyQoTmZy4sTyufaTYd6R_RXAOsOjcngN-3bQavWazbOrAaLDG5wtEkBk6nZrSzBsNtHpRZla3g-GI3yn3iI-5qNNyiDJt0jrpLgFRgh9OxKsVMGn6v4jFRtnRlNdzGFBac7Be376z18zTwPEXyIAfo3RJJ9sP/w266-h400/noir%20comme%20l'orage.jpg" width="266" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Fleuve Noir<br />Parution : 11/01/24<br />Pages : 560<br />EAN : 9782265157446<br />Prix : 22.90 €<div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>Quatre scènes de crime. Sept victimes. Une seule arme : la foudre.<div><br />Après une nuit d’orage, alors que la saison touristique commence à peine, des corps sont découverts sur l’île d’Oléron et ses alentours, attachés à des pieux métalliques plantés dans le sable face à l’océan, foudroyés. Sept dépouilles au total. Et des modes opératoires très proches.<br />Le capitaine Max Fontaine, en poste à la PJ de La Rochelle, va aussitôt être chargé de l'affaire. Sa priorité : trouver le lien qui unit les victimes pour espérer remonter jusqu’à leur assassin. Il ne se doute cependant pas de la douloureuse épreuve personnelle qu’il s’apprête à traverser, ni de la solitude, de l’impuissance et de la rage qui vont l’habiter durant cette enquête. Car de nombreux obstacles se dresseront sur sa route avant qu'il puisse accéder à la vérité.</div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Une histoire de femmes qui se lient dans les grands drames de la maternité</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>La toile des femmes - Soleyne Joubert</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcQMP6OiSbZkr9opq9W04Z2yD_6E5cj22-9ElvWQMFlUlulXx4qGthBDkbGOZV_ku0hLdcBle6fbB2g8A5oVInNAOIVJNQqzWgyP1kB0ItM4SfnBkbhazbAt5rnGqK4ZSnxMqAHZ7H11lYo95CPGJ-CuPgF_JkiLVRJhbj-DeZQm-kV-WE3JvqNs54gXOQ/s606/la%20toile%20des%20femmes.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="606" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcQMP6OiSbZkr9opq9W04Z2yD_6E5cj22-9ElvWQMFlUlulXx4qGthBDkbGOZV_ku0hLdcBle6fbB2g8A5oVInNAOIVJNQqzWgyP1kB0ItM4SfnBkbhazbAt5rnGqK4ZSnxMqAHZ7H11lYo95CPGJ-CuPgF_JkiLVRJhbj-DeZQm-kV-WE3JvqNs54gXOQ/w264-h400/la%20toile%20des%20femmes.jpg" width="264" /></a></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div></b></span>M+</div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: x-large;"><span style="color: black; font-size: small;">Parution le 14 mars 2024</span></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: x-large;"><span style="color: black; font-size: small;">Pages : 295</span></span></div>Ean : 9782382112229<br />Prix : 19.90 €<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />Cette histoire commence au creux de la femme. La` ou` nai^t la vie. Esther et Pierre attendent un enfant comme on attend la pluie, de façon enfantine et naïve. Pourtant, le jour de la naissance, Pierre disparaît, laissant Esther seule avec ce bébé qu’elle ne reconnaît pas.<br /><br />Ce roman d’une douce colère est une histoire de passage. De ce moment suspendu où la jeune femme devient mère et fait du même coup l’expérience de la vie et de la mort. C’est aussi un hymne au lien qui se tisse entre les femmes d’une lignée. À cette toile d’amour charnel qu’ont tissée nos ancêtres et dans laquelle la jeune mère s’entortille pour ne plus jamais tomber.<br /><br />Ce roman d’une douce colère est un hymne au lien qui se tisse entre les femmes d’une lignée.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>J'ai craqué pour deux poches qui me faisaient de l'oeil depuis longtemps</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Tenir sa langue - Polina Panassenko</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLa6oTCMfs9fVj1wd9MKk0U-l0sop5qJDDPquPLijUmOWq9nAuGGI3ahqqAFsk5xLBtv2yAzhHV54Ckruexy89049VeHxoWgJoO4O3hyCX4MGQbMMWuwGSh1or1i95ft_z4Ffbpi26u61X1X01e5MG276OsiIOrMbQe_zYVwYbqI5-MTSv6lN5XnmsOyio/s659/tenir%20sa%20langue.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="659" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLa6oTCMfs9fVj1wd9MKk0U-l0sop5qJDDPquPLijUmOWq9nAuGGI3ahqqAFsk5xLBtv2yAzhHV54Ckruexy89049VeHxoWgJoO4O3hyCX4MGQbMMWuwGSh1or1i95ft_z4Ffbpi26u61X1X01e5MG276OsiIOrMbQe_zYVwYbqI5-MTSv6lN5XnmsOyio/w242-h400/tenir%20sa%20langue.jpg" width="242" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Points P5972<div>Première parution : Editions de l'olivier 2022</div><div>Parution : 01/09/23</div><div>Pages : 192</div>Ean : 9782757898123<div>Prix : 6.90 €</div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />« Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur. »<br /><br />Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Polina en URSS, Pauline à Saint-Étienne. Elle se dédouble. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la materneltchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums. Il lui faudra tenir sa langue sans trahir ni oublier.<br /><br />Née à Moscou, Polina Panassenko est auteure, traductrice et comédienne. En 2015, elle a publié Polina Grigorievna, une enquête parue aux éditions Objet Livre. Tenir sa langue est son premier roman, il a été couronné par le prix Femina des lycéens 2022.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Autre poche, souvenir d'une très belle lecture à l'intime festival l'an dernier</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le roitelet - Jean-François Beauchemin</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgaUWlfb-me8N67X4yJWoGBAjTvF6WuX3jFNJPRV97aKJtjpvFARiYKuDzRV08AtnPudRRrSEzwEvEGW_JHmiFOaoqi6MHZrRoP32umx6IlxqR6y0wdoroSGq5RMHSO6YGAWdl7BTwAyo8LfgH7HA-7buyhqxZAsaQusOzCWTB1rwWUlEZffHL1jMSPWv9b/s658/le%20roitelet.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="658" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgaUWlfb-me8N67X4yJWoGBAjTvF6WuX3jFNJPRV97aKJtjpvFARiYKuDzRV08AtnPudRRrSEzwEvEGW_JHmiFOaoqi6MHZrRoP32umx6IlxqR6y0wdoroSGq5RMHSO6YGAWdl7BTwAyo8LfgH7HA-7buyhqxZAsaQusOzCWTB1rwWUlEZffHL1jMSPWv9b/w244-h400/le%20roitelet.jpg" width="244" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Gallimard<div>Folio 7304</div><div>Parution : 04/01/24<br />Pages 192<br />Ean : 2073038158</div><div>Prix : 7.80 €</div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>"Il ressemblait, avec ses cheveux courts aux vifs reflets mordorés, à ce petit oiseau délicat, le roitelet. Oui, c'est ça : mon frère devenait peu à peu un roitelet, un oiseau fragile dont l'or et la lumière de l'esprit s'échappaient par le haut de la tête. Je me souvenais aussi que le mot roitelet désignait un roi au pouvoir très faible, régnant sur un pays de songes et de chimères." Un homme vit à la campagne avec sa femme Livia, son chien Pablo et le chat Lennon. Depuis l'enfance, il partage aussi son quotidien et ses questionnements, sensibles et profonds, avec son frère cadet, schizophrène. Ici se révèlent, avec une indicible pudeur, les moments rares d'une relation unique, teintée tout autant d'inquiétude que d'émerveillement au monde.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Des belges bien entendu dans ma Pal , un presqu'introuvable :</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le sang d'une autre - Dominique Van Cotthem</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirNlCnF5a4-szz56xc7c6Qd9nsxbhOgHyg3QIcDnCRsNlEB4rIVUpoSGq3YsEZrCc9adBc1wzhZwA-NHzjomI5yhA2ZabCBWwYtr4JpDfYwQxuigeBN1NyYBOgJM6VfcUDrs06eBorREkhZLJjM2qaVGUliJhjvpKIitX7fIh3sDfIzMTYB7umi-jg6wFy/s1311/le%20sang%20d'une%20autre.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1311" data-original-width="800" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirNlCnF5a4-szz56xc7c6Qd9nsxbhOgHyg3QIcDnCRsNlEB4rIVUpoSGq3YsEZrCc9adBc1wzhZwA-NHzjomI5yhA2ZabCBWwYtr4JpDfYwQxuigeBN1NyYBOgJM6VfcUDrs06eBorREkhZLJjM2qaVGUliJhjvpKIitX7fIh3sDfIzMTYB7umi-jg6wFy/w244-h400/le%20sang%20d'une%20autre.jpg" width="244" /></a></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="color: #2b00fe; font-size: x-large; font-weight: bold;"><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>Pocket 17460</div><div>Edition originale Les nouveaux auteurs 2017</div><div>Parution : 17/01/19</div><div>Pages : 256</div><div>Isbn : 978-2266291392</div><div>Prix : introuvable sauf en occasion</div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>Un jour de 1967, Anne-Marie quitte la Belgique et sa vie douillette. Elle a les yeux rivés vers le Sud et prend un aller simple pour Ávila en Espagne où elle rencontre un pays, une histoire, un peuple, une famille et une passion. Des gitans et le flamenco, une autre vie qui se déroule. Jusqu'à ce que son passé resurgisse et la ramène en Belgique, comme un nouveau bouleversement.<br />Des années plus tard, à la mort de son tendre amour, Anne-Marie ressent le besoin de raconter son histoire, leur histoire. Parce que tout de lui reste en elle, parce qu'il est temps de révéler à leur fille le secret sur lequel s'est construit leur amour, parce qu'il reste des blessures à soigner, des erreurs à réparer...<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Le 20 février chez Academia</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Au-delà des mères - Luc Leens</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRUHqHlirNli0zxGbPr1r_PYaCpqSXO238Cb0VUJ_VIAiC81dDZzSaNszS9-6-rnvMNB2eyIWRN3dzl_z9Bc6T5frNl8-3FCTjyffLhGd9mPS66c7KP8snpBgJ1ghlanKQsb1U62ZJlBPLogzj2xFDXqElGBtcy08gFR76bKbE14K0og6q7W0R0krz7HXW/s463/au-del%C3%A0%20des%20m%C3%A8res.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="463" data-original-width="316" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRUHqHlirNli0zxGbPr1r_PYaCpqSXO238Cb0VUJ_VIAiC81dDZzSaNszS9-6-rnvMNB2eyIWRN3dzl_z9Bc6T5frNl8-3FCTjyffLhGd9mPS66c7KP8snpBgJ1ghlanKQsb1U62ZJlBPLogzj2xFDXqElGBtcy08gFR76bKbE14K0og6q7W0R0krz7HXW/w273-h400/au-del%C3%A0%20des%20m%C3%A8res.jpg" width="273" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Academia<br /><div>Parution : 20/02/24</div><div>Pages : 300</div><div>Isbn : 9782806136763</div><div>Prix : 23.50 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div>À la mort de sa mère, la vie d’Isabelle vole en éclats. Elle découvre que son existence tout entière était basée sur un mensonge. Pour en dénouer les fils, elle s’efforce de percer le mystère de sa naissance. Le récit qu’elle fait de cette quête est à la fois intime et haletant, drôle et bouleversant.<br />Elle y livre le portrait charnel et poignant de trois générations féminines aux destins entrecroisés. Elle nous montre qu’au-delà des mères, et de la sienne en particulier, il y a des femmes. Des femmes obligées de livrer des combats dont l’enjeu est souvent leur vie même.<div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>Il sera également présent à Walivres les 17 et 18 février</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le témoin silencieux - Arnaud Nihoul</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6wpxc1LOVCfb27vC7BBY-YdK1QypWzkjKFrxr2z4SilLxn5VzqeJrv_rGgwbltLGzb0KpSsoPxxGRnoYY_sJ3Il6b3VuFUE4kYUAy2muymuHvlzsmyIjwatkaGQNA7DrJ71vrYUExvMQFXUXaUZsmtB3usJzUOWcVLdjZfDxZ27FC3OWg9T5DEiNGWz45/s1195/le%20t%C3%A9moin%20silencieux.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1195" data-original-width="768" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6wpxc1LOVCfb27vC7BBY-YdK1QypWzkjKFrxr2z4SilLxn5VzqeJrv_rGgwbltLGzb0KpSsoPxxGRnoYY_sJ3Il6b3VuFUE4kYUAy2muymuHvlzsmyIjwatkaGQNA7DrJ71vrYUExvMQFXUXaUZsmtB3usJzUOWcVLdjZfDxZ27FC3OWg9T5DEiNGWz45/w258-h400/le%20t%C3%A9moin%20silencieux.jpg" width="258" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Genèse<div>Parution : 05/03/23</div><div>Pages : 256</div><div>Isbn : 9782382010242</div><div>Prix : 22.50 €</div><div><br /></div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><br />New York. Elena Tramonte, une célèbre galeriste, disparaît et le peintre qu’elle représentait est retrouvé assassiné le jour du vernissage. Trois mois plus tard, Lawrence Mason, le compagnon d’Elena, homme d’affaires et grand collectionneur, meurt à son tour d’une crise cardiaque dans son appartement de Central Park.<br /><br />Dans son testament, celui-ci lègue à la fille d’Elena, Kerry, jeune photographe, trois magnifiques tableaux figurant sa mère. Peu à peu, Kerry va noter un lien singulier entre ces portraits et trois peintures d’Edward Hopper retrouvées à Cape Cod cinquante ans après la mort du peintre.<br /><br />Y a-t-il un rapport entre Hopper et la disparition d’Elena ? Avec l’aide de Julian Taylor, expert en art, Kerry démontera l’incroyable machination dans laquelle sa mère a été piégée.<br /><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i>On termine avec Bernard Tirtiaux</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i>L'écorché - Bernard Tirtiaux</i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixj1dxcsAdBS_YPaX-1Dj11_USqObNhTF2b_iVhsajQF8Gk5GrteXrldap3DJPQhvgU_pNwBd35DXnX_0as_spugaNRDQgS02wzsk7ICqx-0fiBnstp8n3MCCn_k0CuSKzNGY4KmGPxZTj-dWuaGMjl7UCo5Pq4lwhOKKiOa1hR09BxVB1ab_r7Yf1vvzM/s2560/l'%C3%A9corch%C3%A9.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2560" data-original-width="1629" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixj1dxcsAdBS_YPaX-1Dj11_USqObNhTF2b_iVhsajQF8Gk5GrteXrldap3DJPQhvgU_pNwBd35DXnX_0as_spugaNRDQgS02wzsk7ICqx-0fiBnstp8n3MCCn_k0CuSKzNGY4KmGPxZTj-dWuaGMjl7UCo5Pq4lwhOKKiOa1hR09BxVB1ab_r7Yf1vvzM/w255-h400/l'%C3%A9corch%C3%A9.jpg" width="255" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: #2b00fe; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Genèse<br />Parution : 12/01/2024<br />Pages : 192<br />Isbn : 9782382010334<div>Prix : 21 €</div><div><br /></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><br /><br />2028. Alors qu’il mène une vie agréable entre Albane, son épouse, sa belle-fille Éloïse, son métier de chirurgien de la face et sa passion de sculpteur, Philippe voit ressurgir Olga, un amour de jeunesse qui lui broya le cœur vingt-cinq ans plus tôt.<br /><br />Olga est la mère de Vlad Rashen, icône mondiale de la chanson, engagé dans la lutte contre les profiteurs, les pollueurs et autres planéticides. Après un concert, son visage a été vitriolé.<br /><br />En acceptant de reconstruire le visage de Vlad, Philippe ne sait pas qu’il va être impliqué, malgré lui, dans ce mouvement d’indignation planétaire, non sans dangers pour lui et les siens.<br /><br />Sur fond de tendresse et de pièges déjoués, ce roman donne vie à ce rêve régénérateur que nous nourrissons pour nous-mêmes et nos enfants.<div><br /></div><div><br /></div><div>Belles lectures !</div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-49819288850806861422024-02-04T12:29:00.008+01:002024-02-04T12:40:13.515+01:00Walivres : demandez le programme<p> <b style="color: red; font-size: x-large;"><i>WALIVRES Nos belges plumes</i></b></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>1er salon littéraire à Wavre les 17 et 18 février 2024</i></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><p><span style="color: red; font-size: large;"></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b></b></span></p><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1UV0bc9w2yOkjdF_fphwYUThtGG02emS5htwkrwbtUo_7jK7DNKgCBhGeSKEPynektor8HPev18ZacYzrN_ajHWtB8d1CGFW3vRepvZyPogMZ3rCoa2fOwYGxnjJKfpkiIILpQaizV-VWlytbLOprfAbTyvKKEudEtUiw9HjS5xujzWjBKF9r4ONIYJVT/s3072/affiche%20light%20walivres.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="3072" data-original-width="2048" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1UV0bc9w2yOkjdF_fphwYUThtGG02emS5htwkrwbtUo_7jK7DNKgCBhGeSKEPynektor8HPev18ZacYzrN_ajHWtB8d1CGFW3vRepvZyPogMZ3rCoa2fOwYGxnjJKfpkiIILpQaizV-VWlytbLOprfAbTyvKKEudEtUiw9HjS5xujzWjBKF9r4ONIYJVT/w266-h400/affiche%20light%20walivres.png" width="266" /></a><br /><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p class="MsoNormal">Walivres c’est le nouveau rendez-vous pour les amoureux des lettres. </p><p class="MsoNormal">Il aura lieu à Wavre les 17 et 18 février 2024 de 10 à 18h. L’occasion pour le public de découvrir « nos belges plumes ». Notre pays compte de nombreux talents, c’est l’occasion de les mettre en valeur dans notre belle ville. </p><p class="MsoNormal"> <a href="https://nathavh49.blogspot.com/2023/12/walivres.html">Walivres article de présentation ici</a></p><p class="MsoNormal"><br /></p><p class="MsoNormal">Un tout grand merci à Valérie Cohen, Patrick Delperdange et Dany d'avoir accepté d'être marraine et parrains de ce premier événement littéraire. </p><p><br /></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhTQv2e00siuoPoPBmQ-58-wJ3Dz9c3qj09cx_3GVWS6EC8p712eq6IWb9kdPO1KUsAdukr-tHg-lRcAes3PBTFt1sqohQYGj1yH3YmKjT7mER620Jmdh3TaI4l2dFWv7tCiWJ6ffFgrLp-NP_5G4GPCc_SW9zX9M4SqUl-seliapkbml5Id4CHjVD871dQ" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" data-original-height="362" data-original-width="1673" height="138" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhTQv2e00siuoPoPBmQ-58-wJ3Dz9c3qj09cx_3GVWS6EC8p712eq6IWb9kdPO1KUsAdukr-tHg-lRcAes3PBTFt1sqohQYGj1yH3YmKjT7mER620Jmdh3TaI4l2dFWv7tCiWJ6ffFgrLp-NP_5G4GPCc_SW9zX9M4SqUl-seliapkbml5Id4CHjVD871dQ=w640-h138" width="640" /></a></div><br /><br /><p></p><div>Il est grand temps de partager avec vous le programme de ce premier festival </div><div><br /></div><div><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Programme Walivres les 17 et 18 février 2024 </span></i></b><br /><br /> <br /><b><i>Samedi 17 février </i></b><br /><br />· 11h <b>Inauguration</b> du premier Walivres en présence des parrains et marraine du salon <b>Valérie Cohen</b> – <b>Patrick Delperdange</b> et de <b>Miss Brabant Wallon</b>, la rixensartoise Marie Cheyenne De Backer <br /><br />· 11h 15 Atelier musical animé par les éditions <b>Marmottons</b>, une <b>animation enfant</b> utilisant des marionnettes, des livres et des chansons. <a href="https://www.editionsmarmottons.com/">https://www.editionsmarmottons.com/</a></div><div><br /></div><div> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjb2nw5HiMgCsMDoRaMQ1fCff5Oh7C8A_e_2TZFN9JBBJ-brypVniZevA954AJW03_V6cdArzw72zPUdR9VVDXz8kwnOJHJHMxl5bdP7cQwjtVv2vTQQtiwiPhkp_AMjfqhscsPLb5a1N4R0N8HIAM9yvdpO19ry9aPH7xo5YvK1viKki79f1IusmqiYscE/s292/marmottons.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="292" height="147" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjb2nw5HiMgCsMDoRaMQ1fCff5Oh7C8A_e_2TZFN9JBBJ-brypVniZevA954AJW03_V6cdArzw72zPUdR9VVDXz8kwnOJHJHMxl5bdP7cQwjtVv2vTQQtiwiPhkp_AMjfqhscsPLb5a1N4R0N8HIAM9yvdpO19ry9aPH7xo5YvK1viKki79f1IusmqiYscE/w200-h147/marmottons.jpg" width="200" /></a><br /><br /><br />· 14h – 14h45 BD Rencontre entre <b>Dany, Baudouin Deville et Abdel de Bruxelles</b></div><div><br /></div><div><br /> <br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9DdhzFzI0W38XwQapote3nVWRQh7lcoMm39cm8iib5iNXJrzR_YojHqj-3vl0vA4CC6dqE9CsM_JnU-CIybJv9y-hSP70Ofb5Kj6KPOlSXKJEb5WPfLsZB7T1WT7g77vNvm8bOr50nIMlgLyC5uFaRoBNt0OVlqOUu9rGX7pQSVD81Zd6u_YdG27ngcOH/s300/matvano.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="300" data-original-width="300" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9DdhzFzI0W38XwQapote3nVWRQh7lcoMm39cm8iib5iNXJrzR_YojHqj-3vl0vA4CC6dqE9CsM_JnU-CIybJv9y-hSP70Ofb5Kj6KPOlSXKJEb5WPfLsZB7T1WT7g77vNvm8bOr50nIMlgLyC5uFaRoBNt0OVlqOUu9rGX7pQSVD81Zd6u_YdG27ngcOH/w200-h200/matvano.jpg" width="200" /></a><br /><br /> <b>Mathieu van Overstraeten</b> , chroniqueur bd sur Vivacité et blogueur ( Age-Bd.com) s’entretiendra avec notre parrain <b>Dany </b>« Spirou et la Gorgone bleue » publié chez Dupuis, <b>Baudouin Deville</b> « Berlin 61 » chez Anspach éditions et <b>Abdel de Bruxelles</b> « L’abbé Pierre, une vie pour les autres »publié chez Casterman <br /><br />· 15h -17h Dédicaces des auteurs bd : <b>Dany, Baudouin Deville et Abdel de Bruxelles </b><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh58_9aMAqYxNx-aT2Pl6BYri7XCtpUTM_vQ0IRA0xFKBdxEEmUhbhaBzhilPe_jxvqQc-hfUDopkwotTQJ-UQ1Uq_0KQS80ghemaKvg2RfzEFQKxzR58nMzhUHCHL8ffBJN160TlaYCo9wbbkxqFlKFWkO6kg8IXHf44rTzad8IhcvMHnRdQYDqWrjHcvy/s292/bd%20walivres.jpg" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="292" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh58_9aMAqYxNx-aT2Pl6BYri7XCtpUTM_vQ0IRA0xFKBdxEEmUhbhaBzhilPe_jxvqQc-hfUDopkwotTQJ-UQ1Uq_0KQS80ghemaKvg2RfzEFQKxzR58nMzhUHCHL8ffBJN160TlaYCo9wbbkxqFlKFWkO6kg8IXHf44rTzad8IhcvMHnRdQYDqWrjHcvy/w320-h235/bd%20walivres.jpg" width="320" /></a></div><div><br /></div><div><br />· 16h Table ronde avec <b>Valérie Cohen et Patrick Delperdange</b> animée par Nathalie Vanhauwaert, blogueuse littéraire</div><div><br /></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYSnPE5mKi88iomgiwFe2gJD4ACpU16yY1YAe6cvYrWUcM87ZQId6MVeuEqGp2pw22veytAh1o2KAd_6uE3e0QLgkCQQQAnsnTYsuP2asNMGQe1hOv0VdxibeYx7zKU1AbLQGqOYXdO64C3Tavp2R-DJ2Nz2pOHxxbJHs4NnEqdk1dG7KRu3DRlxE2SLHD/s292/val%20et%20pat.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="292" height="234" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYSnPE5mKi88iomgiwFe2gJD4ACpU16yY1YAe6cvYrWUcM87ZQId6MVeuEqGp2pw22veytAh1o2KAd_6uE3e0QLgkCQQQAnsnTYsuP2asNMGQe1hOv0VdxibeYx7zKU1AbLQGqOYXdO64C3Tavp2R-DJ2Nz2pOHxxbJHs4NnEqdk1dG7KRu3DRlxE2SLHD/w320-h234/val%20et%20pat.jpg" width="320" /></a></div><br /> <br /><br /><b><i>Dimanche 18 février </i></b><br /><br /> <br />· Toute la journée : Chasse au trésor, énigmes au programme et cadeaux <br /><br />· 11h <b>Coucoubeuh</b> Atelier <b>lecture pour les enfants </b><br /><br />Coucoubeuh, c’est le nom du personnage animalier sorti de l’imagination d’un jeune couple d’Epinois début 2020 en plein confinement. Catherine crée et imagine le contexte des aventures de la sympathique petite marmotte. Originaire de Binche et amoureux des livres, Aurélien lui, se charge du volet écriture. <br /><a href="https://www.coucoubeuh.com/">https://www.coucoubeuh.com/</a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy_zREHGHqT6A7jJscCQk3MSSU4Hy1VCMu3TxPvsyco-sUTtXtVQhfK5GbVBfCjbxGZh5MjRSiRxzz8bJ2u7tNSks9RDAlWr0tqC-0iepI_ckCkTJV5W3XQzLS8ekLwoFNSczAKCpm8g0Nnq4BQgRikodSarAhzXf3c5s-URuFitu8IRpoj7SewdFSMPGo/s250/coucoubeuh.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="249" data-original-width="250" height="199" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy_zREHGHqT6A7jJscCQk3MSSU4Hy1VCMu3TxPvsyco-sUTtXtVQhfK5GbVBfCjbxGZh5MjRSiRxzz8bJ2u7tNSks9RDAlWr0tqC-0iepI_ckCkTJV5W3XQzLS8ekLwoFNSczAKCpm8g0Nnq4BQgRikodSarAhzXf3c5s-URuFitu8IRpoj7SewdFSMPGo/w200-h199/coucoubeuh.jpg" width="200" /></a><br /><br />· 14h <b>Stéphanie Delville</b> nous proposera une lecture performée. Elle est l’autrice de « Peau d’orange » Chroniques d’un quotidien hors normes.</div><div><br /></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIpE1sGMNet58VM177rISIX7x7mIWPYyqr60x0kzYUkFOWfS9Vf_RKTqg70vv_Og4r32v1gFa7ATkv5nfZ6jhkBEEbGqLPry0SMqnPRnoEeg3cvRzAlpIcdeLdFW7APYEDCqizMvl4CFR06I1OFCZnx9dmJ1uEKA4yygTMFyWnbm5S2vofRe4ZW4RFTYDL/s300/stephanie%20deville.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="300" data-original-width="300" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIpE1sGMNet58VM177rISIX7x7mIWPYyqr60x0kzYUkFOWfS9Vf_RKTqg70vv_Og4r32v1gFa7ATkv5nfZ6jhkBEEbGqLPry0SMqnPRnoEeg3cvRzAlpIcdeLdFW7APYEDCqizMvl4CFR06I1OFCZnx9dmJ1uEKA4yygTMFyWnbm5S2vofRe4ZW4RFTYDL/w200-h200/stephanie%20deville.jpg" width="200" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="text-align: left;"> </span></div><br />Peau d’Orange : La <b>lecture performée</b>, c’est une plongée corrosive dans le quotidien concret de ceux qui « débordent un peu du cache-pot ». Une performance engagée et drôle à destination des gros et surtout, de ceux qui souhaitent les comprendre. <br /><br />· 14h30-16h30 <b>Dédicaces BD Dany et Goum </b><br /><br />· 15h -15h45 <b>Maurice Carême</b> : Une œuvre méconnue que l’on réduit souvent à de la littérature pour enfants ? Quel fut son rôle dans l’éveil à la littérature ? Cette conférence sera animée par<b> François-Xavier Lavenne</b> "Directeur -Conservateur de la Fondation Maurice Carême</div><div> <a href="https://www.mauricecareme.be/">https://www.mauricecareme.be/</a> <br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2xq2cWv1Zou_OcK8iRF2NE7LkczCq-YgP8OfC2_7MvC1T83wUrnbRwRCk5wmA5qVrfcD0YI3c8a4sSyHojnl5M2xv-PVTx_L0Gjhs__XtGfa0GTcXua5RFNXxNGC4qEYAQhrhoSX_U4P5jxMSNpjODQcyyj5rL_0PPigcfixQ3NQZENSnGhf86fhxhVg9/s300/maurice%20careme.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="300" data-original-width="250" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2xq2cWv1Zou_OcK8iRF2NE7LkczCq-YgP8OfC2_7MvC1T83wUrnbRwRCk5wmA5qVrfcD0YI3c8a4sSyHojnl5M2xv-PVTx_L0Gjhs__XtGfa0GTcXua5RFNXxNGC4qEYAQhrhoSX_U4P5jxMSNpjODQcyyj5rL_0PPigcfixQ3NQZENSnGhf86fhxhVg9/w167-h200/maurice%20careme.png" width="167" /></a></div><div><br /></div><div><br />· 16h - 16h30 <b>Noëlle Michel</b> « Demain les ombres » (Le bruit du monde) et <b>Olivier Papleux</b> « La Vénus de la vallée Mosane » s’entretiendront avec Nathalie Vanhauwaert sur la thématique « Nouvelles technologies et Néanderthal »</div><div><br /></div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBo7646CvR53rg6SlagVIsG-UioZ9jdjtxMB0X0QeCyAnLe-qtUY7R_M_5YeHHjCIvo3Brmp1IcQnk24i06NXAY60yk4EUajLXJoRssaYBgHwmT-Orf5IZYyDJkK8Sr683GQDps6kJ6-c-6nORCBAeBkVq9hnoSpmqpS47eV_oEVS-lMlRWDYB5bOv0n1H/s300/papleux%20noelle.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="300" data-original-width="300" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBo7646CvR53rg6SlagVIsG-UioZ9jdjtxMB0X0QeCyAnLe-qtUY7R_M_5YeHHjCIvo3Brmp1IcQnk24i06NXAY60yk4EUajLXJoRssaYBgHwmT-Orf5IZYyDJkK8Sr683GQDps6kJ6-c-6nORCBAeBkVq9hnoSpmqpS47eV_oEVS-lMlRWDYB5bOv0n1H/s1600/papleux%20noelle.jpg" width="300" /></a> <br /><br />· 16h30 Pour notre plus grand plaisir <b>Dany et Goum</b> nous proposeront un dessin souvenir. <br /><br />
<p class="MsoNormal"><span lang="FR"> On espère vous y rencontrer nombreuses et nombreux. N'hésitez pas à partager l'événement, à en parler autour de vous. </span></p><p class="MsoNormal">J'ai hâte de vous y rencontrer.</p></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Les auteurs présents</i></b></span><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><br /><br />Liste complète des invité(e)s en dédicaces :<br /><br /><a href="https://objectifplumes.be/author/abdel-de-bruxelles/">Abdel de Bruxelles</a> - Jean-Jacques Adam - Murielle Adrians - <a href="https://objectifplumes.be/author/line-alexandre/">Line Alexandre</a> - <a href="https://objectifplumes.be/author/tristan-alleman/">Tristan Alleman</a> - Line Aris - Marie Bauwens - <a href="https://objectifplumes.be/author/laurent-bayer/">Laurent Bayer</a> - Prescilla Berardi - Marc Bertels - Audrey Binet - Ronald Bosmans - Marine Botilde - Francis Bouffioux - <a href="https://objectifplumes.be/author/ralf-bouffioux/">Ralf Bouffioux</a> - Yasmina Bouko - Michèle Boulvin - Jonathan Brison - Martine Bronzin - Marianne Brück - Isabelle Bulthez - Myriam Buscema - <a href="https://objectifplumes.be/author/alain-busine/">Alain Busine</a> - Anne-Sophie Buy - Cindy C. Teston - <a href="https://objectifplumes.be/author/bernard-caprasse/">Bernard Caprasse</a> - <a href="https://objectifplumes.be/author/lorenzo-cecchi/">Lorenzo Cecchi</a> - Yannis Chauvel - Cheref-Khan Chemsi - Elodie Christophe - Claudine Clabots - <a href="https://objectifplumes.be/author/valerie-cohen/">Valérie Cohen</a> - Françoise Colant - <a href="https://objectifplumes.be/author/martine-colas/">Martine Colas</a> - Jérôme Colin - Nicole Collard - Eva Collin - Mathilde Cornaille - Julie Cristofani - <a href="https://objectifplumes.be/author/coraline-croquet/">Coraline Croquet</a> - Héléna Dahl - Genevieve Damas - Dany - Jacqueline Daussain - Arthur De Boel - Eugène de Bonsecours - Auriane de Pierpont - Nicolas De Potter - Jean de Radigues - <a href="https://objectifplumes.be/author/claire-de-viron/">Claire de Viron</a> - Jacques Declercq - Kathleen Delaunois - <a href="https://objectifplumes.be/author/patrick-delperdange/">Patrick Delperdange</a> - Stéphanie Delville - Paule Deroulou - Marc Dessimeon - Lucien Desterke - Patrick Devaux - <a href="https://objectifplumes.be/author/baudouin-deville/">Baudouin Deville</a> - Luc Devreese - Aurélie Di Girolami - Bruno Dinant - Domi - Pauline Drion - Didier Drouven - Selena Dubh - Jean-Christophe Dubuisson - Claire Duchateau -Nicolas Dupont - France Dupriez - Éric Dupriez - <a href="https://objectifplumes.be/author/patrick-dupuis/">Patrick Dupuis</a> - Jean Duruy - Patricia Duterne - Olivier Fellemans - Yvan Finally -Georges Finlam - Bettina Forment - Bernard Fusulier - Marie-Claire Gardinal-Berg - Richard Ghislain - Christian Gobyn Degraeve - <a href="https://objectifplumes.be/author/benoit-goffin/">Benoit Goffin</a> - Catherine Gosset - VIP Goum - Pierre Guérande - <a href="https://objectifplumes.be/author/brigitte-guilbau/">Brigitte Guilbau</a> - Anne-Michèle Hamesse - Lahcen Hammouch - <a href="https://objectifplumes.be/author/verena-hanf/">Verena Hanf</a> - Kelly Hayemmes - Jessica Hecq - Philippe Hennuy - Anne Victoria Henrard - Sophie Hermant - Brandon Hill - Marie-Laure Holtgen -<a href="https://objectifplumes.be/author/gilles-horiac/"> Gilles Horiac</a> - Annie Hoyaux - Jacpé - Jérôme Jadot -Jean-Pierre Jansen - Christian Janssen Dederix - Michel K Simon - Aude Klein - Dominique Lahaut - <a href="https://objectifplumes.be/author/michel-lambert/">Michel Lambert</a> - Joelle Lartelier - Bernadette Latour - François Lavenne - Gaelle Le Carvennec - Nelly Lecomte - Clara Leemans - <a href="https://objectifplumes.be/author/luc-leens/">Luc Leens</a> - Aurélie Lefèvre - Laurence Legrand -Henri-Richard Leidgens - Amélien Lejeune - Isabelle Lenoir - Brigitte Leroy - <a href="https://objectifplumes.be/author/francoise-lhoir/">Françoise Lhoir</a> - Philippe Liénard - Maïté Lonne -Sophie Loodts - Sabine Loppe - Jean-Philippe Lux - Carlo Luyckx - Bikuki Makési - Laurent Marcel - Julien Marot - Eugenio Marra -Sophie Martens - Caroline Masse - Michel Matray - <a href="https://objectifplumes.be/author/marc-menu/">Marc Menu</a> -Nelly Mercier - <a href="https://objectifplumes.be/author/noelle-michel/">Noëlle Michel</a> - <a href="https://objectifplumes.be/author/rebecca-nicais/">Rebecca Nicais</a> - Caroline Noelle - Nicolas Nys - <a href="https://objectifplumes.be/author/olivier-papleux/">Olivier Papleux</a> - <a href="https://objectifplumes.be/author/marcelle-paques/">Marcelle Pâques</a> - Michèle Paul - J.S. Piers - Renato Pinto - Brigitte Piret - Marcel Procureur - Carine Quertinmont - Coralie Ramon - Martine Rifflet - Gracieuse Robert - Benoit Roels - Georges Roland - Clementine Ronse - <a href="https://objectifplumes.be/author/martine-rouhart/">Martine Rouhart</a> - Valentin Rousseau - Martin Ryelandt - <a href="https://objectifplumes.be/author/liliane-schrauwen/">Liliane Schraûwen</a> - Olivier Sebasoni - Shakti - Anouchka Sikorsky - Philippe Singelé - Philippe Smans - JC Staignier - Daniel Stoclet -Magali Stourme - Rosanna Teti - Claudine Thauvoye - Gisèle Toussaint - Febronie Tsassis - Christine Utri - Kevin V - Véronique Valembois - Dominique Van Cotthem - <a href="https://objectifplumes.be/author/linda-vanden-bemden/">Linda Vanden Bemden</a> - François Wautelet - <a href="https://objectifplumes.be/author/thierry-werts/">Thierry Werts</a> - Marianne Wéry - Sophie Wilmotte - Valérie Winnykamien - Josiane Wolff - Jamal Zemmouri - Samir Zohri<br /><br />Plus d'infos : <a href="https://www.walivres.be/">https://www.walivres.be/</a><br /><br /><div><p class="MsoNormal"><br /></p><p class="MsoNormal"><span style="color: red; font-size: medium;"><b><i>Renseignements pratiques </i></b></span></p><p class="MsoNormal">Salle des fêtes<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal">Place des carmes 5<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal">17 et 18 février 2024 de 10 à 18h<o:p></o:p></p><p class="MsoNormal"><br /></p><p class="MsoNormal"><span style="color: red;"><b><i>Parkings gratuits</i></b></span></p><p class="MsoNormal"><span style="color: red;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: red;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH0yXAB85S5i8HXShMHWJza3rtsety2NlS0_IntWhbj7ALyuGZyclIxRO-iROKTEGYZZBRz3WTsUMqae8e6mTk0F_U2ngMoiz1Tg1KePbZYFTAyW0Tq_MZMPN4aHL0CIbHDOyal5PZjUGpPoretIXohttiygGz_J5X3Sf1lac4ZsMXqGgOQT6qD2BOiS4n/s849/parkings.PNG" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="726" data-original-width="849" height="343" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH0yXAB85S5i8HXShMHWJza3rtsety2NlS0_IntWhbj7ALyuGZyclIxRO-iROKTEGYZZBRz3WTsUMqae8e6mTk0F_U2ngMoiz1Tg1KePbZYFTAyW0Tq_MZMPN4aHL0CIbHDOyal5PZjUGpPoretIXohttiygGz_J5X3Sf1lac4ZsMXqGgOQT6qD2BOiS4n/w400-h343/parkings.PNG" width="400" /></a></b></span></div><span style="color: red;"><b><br /><i><br /></i></b></span><p></p><p class="MsoNormal"><span style="color: red;"><b><i><br /></i></b></span></p><p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-8620956446732471752024-02-03T13:05:00.007+01:002024-03-03T12:14:31.467+01:00Bilan de lecture de janvier <p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Bilan de lecture de janvier 2024</i></b></span></p><p><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVi_J5nkW6UY-RH4zp_1DtFDydz_dXFLbccGCFRnJdTX4I_mNmeKn42ybI06PCbk-92KMmAXQNEa8lOtFfNP0M5CsGiwXUrs8IsDAbdpuBRWosmnRBdj4fY_km-v3N7AfNj9B9DIeoN75gIGmOiUCv4H89xCJDFdoCqOlX0araSCC-IVIosXYzGFLarGpR/s2016/pal.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="980" data-original-width="2016" height="195" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVi_J5nkW6UY-RH4zp_1DtFDydz_dXFLbccGCFRnJdTX4I_mNmeKn42ybI06PCbk-92KMmAXQNEa8lOtFfNP0M5CsGiwXUrs8IsDAbdpuBRWosmnRBdj4fY_km-v3N7AfNj9B9DIeoN75gIGmOiUCv4H89xCJDFdoCqOlX0araSCC-IVIosXYzGFLarGpR/w400-h195/pal.jpg" width="400" /></a></div><br /><p><br /></p><p>Je commence l'année en douceur côté lecture mais tout de même avec deux "pavés", l'un en vue de la rencontre avec Maxime Chattam, un super grand moment pour la sortie chez Pocket de "La constance du prédateur" Une belle rencontre qui a eu lieu le 31 janvier à Bruxelles.</p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNCjHmn4D-NjMSxm3RijZN9nSJAbCi_S-uMo8gD7JL0-EWuCdiEJyk-4RGT8U3tnV7qFqJJo8GdFlyBafYf-FQxZ28rxg19-EzqH1p0mWH1MceKgZ3q5Y_i555uvOnOL7uoj0ccdq2oGEW614PjLjly_74baQEkXiH7_ZnDW_WXlp0MNj3YGjUtV5igrmg/s2016/chattam.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="980" data-original-width="2016" height="195" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNCjHmn4D-NjMSxm3RijZN9nSJAbCi_S-uMo8gD7JL0-EWuCdiEJyk-4RGT8U3tnV7qFqJJo8GdFlyBafYf-FQxZ28rxg19-EzqH1p0mWH1MceKgZ3q5Y_i555uvOnOL7uoj0ccdq2oGEW614PjLjly_74baQEkXiH7_ZnDW_WXlp0MNj3YGjUtV5igrmg/w400-h195/chattam.jpg" width="400" /></a></div><br /><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><p>L'autre pavé c'est la relecture, terminée le 1er février de "Je ne suis pas là" de Lize Spit qui sera mon invitée lors du café littéraire du 28 février prochain.</p><p><br /></p><p>Autre activité en préparation qui a demandé de l'énergie est le 1er salon "Walivres", un salon mettant à l'honneur "nos belges plumes", il se déroulera les 17 et 18 février prochains à Wavre. J'espère vous y retrouver nombreux.ses</p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0Ys6F1vAmsCXnGMk3uxhmgf17NojJ3NXztkb0ZD0tPMmuG7ELdARf_BSMAbyG9ObUIlXxCP2_uGUq-I0kpXmmfEvnJEnLz-KEc5IJYPxOgccQY1rXM1PBl2Ztvs-j_pHnFVTMF6oZ6x5t9siBehIyTGXU30xT6UAN8SU6pzCWIfgS3SG9_HjheOlwhw5X/s3072/Walivres%20Laffiche%20promo.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="3072" data-original-width="2048" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0Ys6F1vAmsCXnGMk3uxhmgf17NojJ3NXztkb0ZD0tPMmuG7ELdARf_BSMAbyG9ObUIlXxCP2_uGUq-I0kpXmmfEvnJEnLz-KEc5IJYPxOgccQY1rXM1PBl2Ztvs-j_pHnFVTMF6oZ6x5t9siBehIyTGXU30xT6UAN8SU6pzCWIfgS3SG9_HjheOlwhw5X/s320/Walivres%20Laffiche%20promo.png" width="213" /></a></div><p></p><p><br /></p><p>On détaille mes autres lectures ? </p><p><br /></p><p><br /></p><p>Du belge pour commencer avec un très beau roman de Jean Jauniaux</p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2024/01/les-mots-de-maud-jean-jauniaux.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="689" data-original-width="484" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihrEg4ig84hZI-kAtuIE_heNxlwid8VGBp1wgqZoolFwbvqMkd7zIHJC2VIgdxrytOGBrDv88uQ-PBcT5ZD_G6VrSNbTEYLks4imiNkqKV7Y5WuHrlHRdJD94zMRiXPJRHxEPgbkwhuqtDVdfhzNEAUo7qnuvQXkHqRUYv_C8UokkSf8qZFAJ-fbV9WbJH/s320/les%20mots%20de%20maud.webp" width="225" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div>Un superbe graphique chez Casterman<div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2024/02/lexpert-jennifer-daniel.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="327" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYvT4B7RgdHU6ktJE9hO6oEcn22Y9C9nozvFcvq7a_VGobFcTgNTqU_AP8BMLedBdohzQ6Hh0sCfqRHchf1AU3E83UZvamBA2dizS3Tc2wiDg-fSTsVeAv8EfhIy5yAwqDi-xVa-cv7MM7KNNTVlLINm4J4sBqhUYo7udI5TlPhxqUk9eWXJVN066sLQvv/s320/l'expert.jpg" width="229" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">Un sublime roman graphique chez Futuropolis</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinmFufsz6R2ymhRoDV3ZRsC1xVOcpwLmtEUmuiWbR9iEXkF9rS3pCP2ejaiAMVkLQ92kBx0lL03nfWIdSt5C4GkvtVJR03HS-5Bx8X2DPeYepppYKVUjygUrKtpCrUmJwdAgq9GxL5-1WFb-uIhtNrLeI55quz9ULCid584RRBbPLngx3R_wa4C2NGUIuD/s595/loire.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="595" data-original-width="440" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinmFufsz6R2ymhRoDV3ZRsC1xVOcpwLmtEUmuiWbR9iEXkF9rS3pCP2ejaiAMVkLQ92kBx0lL03nfWIdSt5C4GkvtVJR03HS-5Bx8X2DPeYepppYKVUjygUrKtpCrUmJwdAgq9GxL5-1WFb-uIhtNrLeI55quz9ULCid584RRBbPLngx3R_wa4C2NGUIuD/s320/loire.jpg" width="237" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div>Il sera le parrain de Walivres, un super livre jeunesse </div><div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2024/02/sur-la-route-de-shangri-la-patrick.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="501" data-original-width="340" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzMr_cdD4wwErVzLxIm_dRsXgHX2_uTLo3j0Tiidcvb_TBD90605kkHO6YpMt7mH8L8UkvGpzAXL-iM4pZrcoxy1VsXG0UH8jLphYvmZ38tWYrlMCum3v2SIFh-qf1SYoI5jttLmHnsIJ9Ny5dWjWSN2lJWfubpxtC18a-4UJMR22SfaEJ-MCFXSbmoXF1/s320/sur%20la%20route%20de%20shangri%20la.jpg" width="217" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div>On la retouvera aussi à Walivres . Il s'agissait d'une relecture.</div><div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2023/02/reparer-nos-silences-dominique-van.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="340" data-original-width="340" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnaM7vnwyJZAnHUa9BmzPmtBDZR2vTsva3ZPoKCoyJd5-GLsKgEoBmDiOe_Hs5nyaZCHzzkVxcvOMCmNzkcwAa2xEgCnK-fZGPIhPvni1ZJfmtsfiSXs5s4bIVgjBc2cU4iECAdnUN0_aTbxPhpPKuXAYa0h70Ef5oLNPehPZ0z2kYMS3WDOyFG5QVSGI7/s320/r%C3%A9parer%20nos%20silences.jpg" width="320" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div>Une plume que j'affectionne beaucoup.</div><div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYlK_CfDmPNTrNbRf0rnDCA0554HVEubQ9erQssKbmxHCPmtrPRLP-DoKvCfluWkWIS_aSRKdSlUmMsXv86ysQXZPoeLsSkM8FQ-z1JZH-kFqEV6sTOZJIPj4BJ6xqVlg32iXpZfODn48dURUhMLSVgx8ApGhli85mzHiO12KV3cHjcOxJk-d-gCBx7-w1/s516/un%20soir%20d'%C3%A9t%C3%A9.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="516" data-original-width="351" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYlK_CfDmPNTrNbRf0rnDCA0554HVEubQ9erQssKbmxHCPmtrPRLP-DoKvCfluWkWIS_aSRKdSlUmMsXv86ysQXZPoeLsSkM8FQ-z1JZH-kFqEV6sTOZJIPj4BJ6xqVlg32iXpZfODn48dURUhMLSVgx8ApGhli85mzHiO12KV3cHjcOxJk-d-gCBx7-w1/s320/un%20soir%20d'%C3%A9t%C3%A9.jpg" width="218" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Une découverte, il faut avoir le coeur bien accroché, mais j'ai aimé la plume.</div><div><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuS4f9DHvQ7po4QxzshhuEq5BF9UUPlgyx8pgv8Ul1ZNfKyxgdQVbo8XqqQomDRhPknKr2YLQvJ_wMw1f8P-8ljFQcETfcBRuJQ1jk1VB3IT8zoMV1uPrWUqmrVHEE9RBlg_lZETR6WIQIVp6hvuUMSjRMqxwm4Wcr71h00E-w66hAFdalSvNmu3aSdp2v/s1311/la%20constance%20du%20pr%C3%A9dateur.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1311" data-original-width="800" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuS4f9DHvQ7po4QxzshhuEq5BF9UUPlgyx8pgv8Ul1ZNfKyxgdQVbo8XqqQomDRhPknKr2YLQvJ_wMw1f8P-8ljFQcETfcBRuJQ1jk1VB3IT8zoMV1uPrWUqmrVHEE9RBlg_lZETR6WIQIVp6hvuUMSjRMqxwm4Wcr71h00E-w66hAFdalSvNmu3aSdp2v/s320/la%20constance%20du%20pr%C3%A9dateur.jpg" width="195" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div>Les J.O. c'est pour bientôt, voici l'histoire des jeux, vision franco-française</div><div><br /></div><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg42SPmn7tap4pPaQdPRqfbNMfigLsNLadLGFx96NdAerheElhbomhkfH_f4DyRCgG51QYYqMhi8j-0O5FqXEuLeo75YlAo-7ogLvxDqcpIi_Xnua62WeKSVnfXy6Lbi142hKKDqUa7IM7aoTsEIlYei2y0VPPgdZw44gjrCUN0gDDv4kpf8SN_ZfKw-koh/s476/100%20ans%20de%20jeux.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="476" data-original-width="351" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg42SPmn7tap4pPaQdPRqfbNMfigLsNLadLGFx96NdAerheElhbomhkfH_f4DyRCgG51QYYqMhi8j-0O5FqXEuLeo75YlAo-7ogLvxDqcpIi_Xnua62WeKSVnfXy6Lbi142hKKDqUa7IM7aoTsEIlYei2y0VPPgdZw44gjrCUN0gDDv4kpf8SN_ZfKw-koh/s320/100%20ans%20de%20jeux.jpg" width="236" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div>La plus grosse partie lue en janvier, terminée le 1er février, une re-lecture </div><div><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2023/11/je-ne-suis-pas-la-lize-spit.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1021" data-original-width="617" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjszQWVkJ_67kINE1r6aUtrV2qjkf_e9V3gDQrpjsSjTd6563LUlHRIXk63GL3_eEcS1WVG6MRumPsfAovIiFNwWi1NaRRkFAZ76GLrNC_eF1q9T5Lpj7y9WQm-mh2uJ3FKfcWXgP6gVCVO6RkXuKopLkM5ngCiXh4jsHOUY-5-GHzpNInjexoXt8m6Gmwi/s320/je%20ne%20suis%20pas%20l%C3%A0.jpg" width="193" /></a></div><br /><p><br /></p><p>Comme toujours, je publie mes avis de lectures au fur et à mesure des publications.</p><p><br /></p><p>Il suffit de cliquer sur la couverture pour avoir accès à l'article.</p><p><br /></p><p>J'actualise de façon mensuelle. Belles lectures à vous.</p></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-74067270847633126822024-02-02T10:16:00.003+01:002024-02-02T10:23:06.564+01:00Sur la route de Shangri-La / Patrick Delperdange<p> <b><i><span style="color: red;"><span style="font-size: large;">Sur la route de Shrangri-La - Patrick Delperdange</span></span></i></b></p><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhiZeZNu53XXTF5tlFUKKPNUM_Nx8yyFDSOX39bm3dr9Js7CIDnco9iUqZ9artTl-7YbBkX5T51NZ884v1Nizq37oP8vZSHUtuYwqYe9_dgcx3dZDYULwuAzPehLxmJl9SlK3Ccffb9Q2eJLG_xANA6aJFhKobXhZVsxSFc_jkaY-bNRoGy-_Oz4HAByMK/s501/sur%20la%20route%20de%20shangri%20la.jpg" style="clear: left; color: #3d74a5; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-decoration-line: none;"><img border="0" data-original-height="501" data-original-width="340" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhiZeZNu53XXTF5tlFUKKPNUM_Nx8yyFDSOX39bm3dr9Js7CIDnco9iUqZ9artTl-7YbBkX5T51NZ884v1Nizq37oP8vZSHUtuYwqYe9_dgcx3dZDYULwuAzPehLxmJl9SlK3Ccffb9Q2eJLG_xANA6aJFhKobXhZVsxSFc_jkaY-bNRoGy-_Oz4HAByMK/w271-h400/sur%20la%20route%20de%20shangri%20la.jpg" style="border: none; padding: 8px; position: relative;" width="271" /></a></div><br /><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Ecole des loisirs</div><div>Médium</div><div>Parution : 23/08/23</div><div>Pages : 176</div>ISBN : 9782211331555<div>Prix : 12 €</div><div>Age cible : 11-13 ans</div><div><br /></div><div><span style="color: red;"><b><i><span style="font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>À treize ans, Arthur connaît à peine son père, qui se fait appeler Jim et n’est présent dans son existence qu’en coup de vent. Alors, quand Jim propose d’emmener Arthur et sa soeur en week-end à Bruxelles, l’occasion est trop belle de pouvoir enfin lever un peu le voile sur son passé mystérieux et de nouer des liens jusqu’alors distendus. Mais à peine arrivés là-bas, Jim laisse Arthur et sa soeur tout seuls à l’hôtel et il disparaît, happé par son ancienne vie, à la recherche d’un certain Alex. Essayer de le retrouver dans la ville inconnue, c’est se mettre en quête d’un lieu imaginaire, merveilleux, où tout serait comme neuf, comme la mythique cité de Shangri-La.<div><br /></div><div><br /><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Mon avis</span></i></b></div><div><b><i><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><div>C'est un roman s'adressant aux jeunes ados à partir de 13 ans que nous propose Patrick Delperdange . </div><div><br /></div><div>Arthur, presque 14 ans et sa petite soeur Lorraine viennent à Bruxelles en compagnie de leur père qu'ils ne connaissent pas vraiment bien. Ils espèrent que ce week-end leur permettra de lever des voiles sur le passé mystérieux de Jim, celui qui se nomme en réalité Jean-Marie Stalner, leur papa. </div><div><br /></div><div>Le week-end avait pourtant bien commencé malgré la pluie , mais comme à chaque fois, ils ne peuvent compter sur lui. Jim prétextant une petite course les "abandonne" à l'hôtel. Le temps passant, Arthur et Lorraine partent à la découverte de la ville mais rien ne se passe comme prévu. La ville est hostile tout comme les gens qu'ils rencontreront.</div><div><br /></div><div>Lorsque les choses ne vont pas bien, Arthur a pris l'initiative de se protéger dans sa bulle, dans un monde imaginaire, il va sur la route de Shrangri-La, un endroit où le temps s'arrête, un endroit merveilleux où les choses s'arrangent.</div><div><br /></div><div>Arthur va vite se rendre compte que cela ne fonctionne pas dans la vraie vie et il va être confronté au monde réel. Un roman initiatique, intimiste qui va emmener Arthur et Lorraine dans un monde rempli de dangers, une fausse intrigue policière bien ficelée qui parle aussi des secrets, de la sortie d'adolescence.</div><div><br /></div><div>J'ai beaucoup aimé le rythme, à chaque fois que l'on croit que les choses vont s'arranger, de nouvelles intrigues arrivent, de quoi animer l'imaginaire.</div><div><br /></div><div>Ma note : 8.5/10 </div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Les jolies phrases</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Depuis que j'ai découvert son existence, c'était ce que je voulais. Pénétrer enfin dans cette ville où le temps s'était arrêté et où plus personne ne vous causait du tort. Où plus personne ne se préoccupait de votre sort. Où il n'arrivait jamais rien, ni en bien ni en mal. Je n'avais qu'à fermer les yeux une fois pour toutes, et je partirais aussitôt pour Shangri-La. Mes paupières étaient si lourdes que je n'arrivais plus à garder les yeux ouverts. </div><div><br /></div><div>On n'a plus rien dit, ni lui ni moi. Mais j'avais l'impression qu'on se parlait en silence. Le problème, quand on se parle en silence, c'est qu'on n'est jamais sûr que l'autre comprend bien ce que vous lui racontez. et parfois, le silence en dit plus que les paroles.</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Du même auteur j'ai lu</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Cliquez sur la couverture pour avoir accès à l'article</div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2016/04/si-tous-les-dieux-nous-abandonnent.html" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="283" data-original-width="195" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXGepH-YarERj5A9cem3-4izbxdbc4JHNFTAcpXI27m9HJ9sc3U56MrKEX6EDAGdZG0LxZhGa8AMSLbW_FnfmfObdEXvaKcmGmLAbF0dURwpw3Jq-zaAiAIrH6Ia22_B58xd52CL8mku-jD8pakoL7a8GXITAjjqHkM62_GkfQzK1mJDwDQFBrPQTDabUs/w138-h200/si%20tous%20les%20dieux%20nous.jpg" width="138" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgErqfEP7vogwhKta9VOJADe1i2EVCTMTUaVjAYshtykXOn_PkCSHTTWBnFh7Wz5hOJUmZhpp6JSyXsjkEQaVUQ42Y-vXqFXd_j4ZEv6v0lmzDivA-3rDM_dqwWH3wopdX4eNn6etasy2ddArVIGhrfVmixk-pY6TcW0NrYGQ_E-zibzMeY9JkP6Gubblq8/s398/made%20in%20belgium.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="129" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgErqfEP7vogwhKta9VOJADe1i2EVCTMTUaVjAYshtykXOn_PkCSHTTWBnFh7Wz5hOJUmZhpp6JSyXsjkEQaVUQ42Y-vXqFXd_j4ZEv6v0lmzDivA-3rDM_dqwWH3wopdX4eNn6etasy2ddArVIGhrfVmixk-pY6TcW0NrYGQ_E-zibzMeY9JkP6Gubblq8/s320/made%20in%20belgium.jpg" width="320" /></a></div><br /><div><br /><div><br style="background-color: #3d85c6; color: #0068c6; font-family: Arial, Tahoma, Helvetica, FreeSans, sans-serif; font-size: 13px;" /></div></div></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-21502778460827318542024-01-28T15:00:00.001+01:002024-01-28T15:00:00.139+01:00La guerre des Lulus - 9. Lucas / Hautière et Hardoc<p> <i><b><span style="color: red; font-size: large;">La guerre des Lulus - 9. Lucas / Hautière et Hardoc</span></b></i></p><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtLIgEr1Q-Rky28fYfI5o6dNDY02NZCETjr8Jt_TACiyvHSc2Qiltn69NJW6xKc8dgKOhlP13UI9pulNotmNjeMXY59LCwue0KIT4FWqhSock1OllC_Lzp-sU0nHUCQ6R43_C-EPLzuPNB8DI631aGKow0SIXQ-mXakkdbEcPX9_T1X1Hlim8oBBTE3hoU/s456/lucas%20la%20guerre%20des%20lulus.jpg"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtLIgEr1Q-Rky28fYfI5o6dNDY02NZCETjr8Jt_TACiyvHSc2Qiltn69NJW6xKc8dgKOhlP13UI9pulNotmNjeMXY59LCwue0KIT4FWqhSock1OllC_Lzp-sU0nHUCQ6R43_C-EPLzuPNB8DI631aGKow0SIXQ-mXakkdbEcPX9_T1X1Hlim8oBBTE3hoU/w300-h400/lucas%20la%20guerre%20des%20lulus.jpg" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Casterman<br />La guerre des Lulus<br />Parution : 15/11/2023<br />Scénario : Hautière<br />Dessin : Hardoc<br />Pages : 64<br />Isbn : 9782203224278<br />Prix : 13.95 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br /><br /><br /><br />Séparés à l’issue de la guerre, les Lulus vont-ils parvenir à se retrouver ?<br /><br /><br />Avril 1919. En attendant la signature du traité de paix qui mettra un terme définitif à la guerre, Luce, Luigi et Lucien partent à la recherche des autres Lulus. Ayant appris, à La Haye, que le bateau qui devait emporter Lucas en Angleterre a coulé, les trois amis se rendent au château d’Eijsden. C’est dans cette grande bâtisse, transformée en centre d’accueil pour les enfants réfugiés des zones occupées, que Lucas a d’abord séjourné, à son arrivée aux Pays-Bas. Refusant de croire à la mort de ce dernier, les trois Lulus espèrent qu’après avoir survécu au naufrage, Lucas est retourné dans ce refuge. Là-bas, à leur grande surprise, à la place de leur ami, c'est une lettre qui les attend…<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Une série que j'adore depuis le premier tome. On continue à savoir ce que sont devenus les Lulus après la guerre. C'est le destin de Lucas qui va être éclairci dans ce volume.</div><div><br /></div><div>Lucas qui en 1918 a 14 ans, avait été accueilli dans un château orphelinat à Eysden. </div><div>C'est là qu'il va rencontrer Marie, une petite fille qui ne se laisse pas faire mais qui est le souffre douleur d'un groupe d'enfants néfastes; Raoul, Léon et surtout Agnès qui les dirige. En voulant protéger Marie, il va se les mettre à dos.</div><div><br /></div><div>Lucas est bien décidé à partir, il aurait pris un bateau et celui-ci aurait fait naufrage...</div><div><br /></div><div>Les autres Lulus, Luce, Luigi et Lucien refusent cette nouvelle et se rendent à Eysden en 1919, une lettre de leur ami les attend.</div><div><br /></div><div>On n'est pas au bout de nos surprises. C'est toujours aussi bien réalisé, mettant en avant l'amitié qui unit et caractérise les Lulus.</div><div><br /></div><div>Ma note : 9.5/10</div><div><br /></div><div><br /></div>Dans la même série j'ai lu et adoré<br /><br /><br />Cliquez sur les couvertures pour avoir accès à l'article<br /><br /><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2014/05/la-guerre-des-lulus-la-maison-des.html"><img height="200" src="https://decitre.di-static.com/img/475x500/regis-hautiere-la-guerre-des-lulus-tome-1-1914-la-maison-des-enfants-trouves/9782203034426FS.gif" width="150" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2014/06/la-guerre-des-lulus-hans-regis-hautiere.html"><img src="https://lh6.googleusercontent.com/proxy/NsKzU7n8dHE001m0q4VBHejS7s-26RIaoMMt_d9JmqUWfxVKwDZhBkRaR7yU7DgVU-IqoS05etLCmMu64rgh2qS7G9ihHqA=w149-h200" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2015/10/la-guerre-des-lulus-3-le-tas-de-briques.html"><img src="https://3.bp.blogspot.com/-d8gF26uUFZw/Vf7FmTYOqwI/AAAAAAAAAx8/Bu71Yek7SBs/w150-h200/la%2Bguerre%2Bdes%2Blulus%2B1916.jpg" /></a><br /><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2016/11/la-guerre-des-lulus-tome-4-la-dechirure.html"><img src="https://lh5.googleusercontent.com/proxy/FkH_K-2rmdpcua6d02J3EC8Qm-MVb49OfLepaELfrVSdIGt6KWg062BzROaA-68Y_k3pXHy-y2du_R8QNY1d_R9e7lIINHC7wUhiO1t8Iqs_JJWNp0lP7L3E5bnQvQt0O7cb9dpRhKjYjg7Ey6GX06Ybon9c=w150-h200" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2018/02/la-guerre-des-lulus-la-der-des-ders.html"><img height="200" src="https://www.casterman.com/media/cache/couverture_large/casterman_img/Couvertures/9782203126305.jpg" width="150" /><img border="0" src="https://www.blogger.com/img/transparent.gif" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2021/08/la-guerre-des-lulus-tome-7-luigi.html"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8H7gCPSvjvkAj1cJIg4-yK6QFCIvFHZBSk952YrI8od4QIxS5RKWsfMaThyj0O2uaWwB9XuYnG3z-EIh4B-v_0wp2SY3So0sUIryttbu9cVMD_iizZXnSOMzIZ-ZJqfRBGVyFCX_dhGen0nBbxSa7CAtDmbD209KAfrNxK3Ugfwhx0lj4TJOsHWEzPw/w150-h200/la%20guerre%20de%20lulus%207.jpg" /></a><br /><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2022/12/la-guerre-de-lulus-8-luce-regis.html" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="300" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNx55OJ5Z44WJdLfrch4gJ0F-NvbnwtETXfUH9DvsNUd1HimkEQJzh1Z-8bq-Ows-cFXHJhvJs9YOJU_1Pyx99KrSWXoIq6BMYURfwh5OA9WeJgxpaND6J4EF9ES8S6-vMLqGH5IbCKOjmHvyWlsn1q6CinL1HOVUwapLUWezbZ8RapnaUy9mvVZhZOSjY/w150-h200/luce.jpg" width="150" /></a><br /><br /><br /><br /><br />La série vue par Hautière et Cuvillier<br /><br /><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2018/10/la-guerre-des-lulus-1916-la-perspective.html"><img height="200" src="https://www.casterman.com/media/cache/couverture_large/casterman_img/Couvertures/9782203136847.jpg" width="150" /></a><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2019/12/la-guerre-des-lulus-la-perspective.html"><img height="200" src="https://www.casterman.com/media/cache/couverture_large/casterman_img/Couvertures/9782203136939.jpg" width="150" /></a><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrEu5_u1hXcHALLcP8aRTD25dCxDFR8YagRNGFzPcIth7OHkMyAgIWdyDpEqZa95uJ_AqHSWbbjx9sm01pq5H5BhaP-RewHi0hkAl90mmLulZ1mAQMYGpSL6RYGqiML_ZsbF_kzFDo_ew_63ivIFg3ibNW5mKzBpmt6nu4nqPXIbXSmlxs44b-qkq6Hv-H/s320/BD.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrEu5_u1hXcHALLcP8aRTD25dCxDFR8YagRNGFzPcIth7OHkMyAgIWdyDpEqZa95uJ_AqHSWbbjx9sm01pq5H5BhaP-RewHi0hkAl90mmLulZ1mAQMYGpSL6RYGqiML_ZsbF_kzFDo_ew_63ivIFg3ibNW5mKzBpmt6nu4nqPXIbXSmlxs44b-qkq6Hv-H/w400-h400/BD.jpg" width="400" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br />nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-3773928850907572862024-01-26T08:30:00.001+01:002024-01-26T08:30:00.169+01:00Le café où vivent les souvenirs - Toshikazu Kawaguchi<span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Le café où vivent les souvenirs - Toshikazu Kawaguchi</i></b></span><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7WRz5QXASFSwXIsEagi45HQQArVYkaR8wT0C8kCftphNlZsAp95S7hzgcLv_EppMLvAEIDLtAqKWD8QQahrGY6KYuKnJSmvdS2cNn_e73p-wX_G83kxIjhcZYN4O74c_ZiiK_MPH5p6BJvjFNprn1PP8t05htz58o3WImHtqaDURhPDWKkZpsejHTU4NF/s800/le%20caf%C3%A9%20o%C3%B9%20vivent%20les%20souvenirs.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="547" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7WRz5QXASFSwXIsEagi45HQQArVYkaR8wT0C8kCftphNlZsAp95S7hzgcLv_EppMLvAEIDLtAqKWD8QQahrGY6KYuKnJSmvdS2cNn_e73p-wX_G83kxIjhcZYN4O74c_ZiiK_MPH5p6BJvjFNprn1PP8t05htz58o3WImHtqaDURhPDWKkZpsejHTU4NF/w274-h400/le%20caf%C3%A9%20o%C3%B9%20vivent%20les%20souvenirs.jpg" width="274" /></a></div><br /><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Albin Michel</div><div>Parution : 2 novembre 2023</div><div>Traduit du japonais par Géraldine Oudin</div>Pages : 256<br />EAN : 9782226480972<br />Prix : 18.90 €<div><br /></div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Présentation de l'éditeur</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><br /><b>La saveur du passé peut transformer le présent…<br /></b><br />Sur le flanc du mont Hakodate, au nord du Japon, le café Dona Dona est réputé pour sa vue imprenable sur le port de la ville. Mais surtout, comme au café Funiculi Funicula, à Tokyo, il est possible pour ses clients d’y vivre une expérience extraordinaire : voyager dans le passé, le temps d’une tasse de café.<br /><br />On y rencontre Yayoi, une jeune fille qui en veut à ses parents défunts d’avoir fait d’elle une orpheline ; Todoroki, un comédien qui se languit de son épouse et de leurs rêves communs ; Reiko, submergée par la disparition de sa sœur ; Reiji, qui réalise trop tard à quel point il aime son amie d’enfance… Autant d’âmes sincères et émouvantes qui, en retrouvant un pan de leur passé, apprennent à regarder le présent autrement et à envisager l’avenir avec plus de sérénité.<br /><br />Avec sa voix singulière et le talent de conteur qui ont fait son succès dans le monde entier, Toshikazu Kawaguchi signe un nouveau roman plein de sensibilité et de finesse, aussi réconfortant qu’un bon café chaud.<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>C'est le troisième de la série et c'est avec celui-ci que je découvre l'écriture de Toshikazu Kawaguchi, j'étais vraiment curieuse de découvrir son univers. Il n'est pas obligatoire d'avoir lu les précédents.</div><div><br /></div><div>Nous sommes ici dans l'Hokkaido, au Nord du Japon, au bord du Mont Hakodate au café "Dona Dona".</div><div>Ce café a une particularité tout comme son homologue le célèvre "Funiculi Funicula" à Tokyo, c'est qu'il permet à certains de ces clients de voyager dans le temps. Mais attention il y a des règles à respecter, on peut en effet retourner dans le passé si la personne que l'on veut retrouver est déjà venue au Dona Dona, il faut pour cela s'asseoir à une place précise et revenir avant que la tasse de café ne soit froide ! Une dernière consigne et elle est de taille, il ne sera pas possible de changer le cours des choses.</div><div><br /></div><div>On va suivre l'histoire de quatre personnes, Yayoi qui a juste une photo dans ce café, elle est en colère contre ses parents de l'avoir laissée orpheline à peine âgée de six ans, elle veut dire sa colère. Todoroki, un artiste qui a rendu réalité les rêves de son épouse disparue. Reiko triste de la disparition de sa soeur et enfin Reiji qui s'en veut de ne pas avoir déclarer sa flamme à son amie d'enfance.</div><div><br /></div><div>Quatre récits, quatre parcours de vie, tous touchés par la mort, par le deuil et les regrets. C'est ce sujet qui est abordé avec beaucoup de sensibilité et de finesse. La plume bienveillante de Toshikazu Kawaguchi apporte la sérénité et le réconfort comme une bonne tasse de café chaud.</div><div><br /></div><div>Un joli voyage, un petit livre qui fait du bien, on oublie le reste et j'ai bien envie de sortir les autres tomes de ma PAL.</div><div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Les jolies phrases</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>L'indécision détruit les gens de l'intérieur.</div><div><br /></div>L'être humain est capable de surmonter toutes les épreuves, mais ses peurs le paralysent parfois. Plus elles sont dévorantes, plus il s'affaiblit. Heureusement, l'espoir rend plus fort, il donne la force de croire en l'avenir.<div><br /></div><div>Reiji comprenait maintenant à quel point les petites joies du quotidien étaient précieuses et combien il avait de la chance d'être entouré de personnes qu'il aimait. On repousse parfois des choses au lendemain sans se rendre compte que demain ne viendra peut-être jamais. </div><div><br /></div><div><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif; font-size: 14.56px;">J</span>e suis convaincue que la mort ne doit pas nous rendre malheureux. Personne n'y échappe. Si elle devait nous plonger dans le désespoir, cela signifierait que nous sommes tous destinés à errer sur cette terre comme des âmes en peine. Ce n'est certainement pas le cas. C'est pour vivre heureux que nous naissons.<br /></div><div><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif; font-size: 14.56px;"><br /></span></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7531686736375223440.post-80390233168247277372024-01-24T14:13:00.001+01:002024-01-24T14:13:08.121+01:00Les mots de Maud - Jean Jauniaux<i><b><span style="color: red; font-size: large;">Les mots de Maud - Jean Jauniaux</span></b></i><br /><br /><br /><br /><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEcEH-Yf-MXSKNA52jOPbQ8P7ndyLvqwo8Bk3A4YLlVBqMJOf4y4TZTmrl1xxBuancFfAbStpPtvGHMvilH2ZQLzkru0_s9o6M1yG1blUOtuavErDw_yL5mIyStxMCO2WaqdN1Vrl2W0LLUsDNQZaA0E2jsviGh-TrbyBgoq8jhmazUht3OJw4tfqVqVHe/s689/les%20mots%20de%20maud.webp"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgEcEH-Yf-MXSKNA52jOPbQ8P7ndyLvqwo8Bk3A4YLlVBqMJOf4y4TZTmrl1xxBuancFfAbStpPtvGHMvilH2ZQLzkru0_s9o6M1yG1blUOtuavErDw_yL5mIyStxMCO2WaqdN1Vrl2W0LLUsDNQZaA0E2jsviGh-TrbyBgoq8jhmazUht3OJw4tfqVqVHe/w281-h400/les%20mots%20de%20maud.webp" /></a><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Meo<br />Parution : octobre 2023<br />Pages : 116<br />Isbn : 9782807004115<br />Prix : 15 €<br /><br /><br /><b><i><span style="color: red; font-size: large;">Présentation de l'éditeur</span></i></b><br /><br /><br /><br />Tour à tour écrivain public, «nègre» pour des auteurs connus et faiseur de roman de gares à succès inspirés par ses errances nocturnes parmi les clochards, Jean-Baptiste s’est retiré à Saint-Idesbald, petite station balnéaire de la côte belge. Il se remémore sa gloire littéraire, mais aussi ses ateliers d’écriture et les milliers de lettres et discours qu’il a composés pour d’autres.<br /><br /><br /><br />Les souvenirs de son enfance solitaire l’assaillent : mère très tôt décédée, père veuf et dépressif ne s’adressant à lui que par dictons interposés et mots qu’il lui faisait chercher dans le dictionnaire.<br /><br /><br /><br />La demande formulée par Maud, une inconnue en fin de vie, de<br />collaborer à un livre ultime éveille la mélancolie de celui qui déplore tous ces mots qu’il a galvaudés. Elle met le « faiseur de livres » face à « la pire des fautes professionnelles : l’émotion ».<div><br /></div><div><br /></div><i><b><span style="color: red; font-size: large;">L'auteur<br /></span></b></i><br /><br /><br /><a href="https://1.bp.blogspot.com/-FWzOtI9qAt4/X4K3cmduw8I/AAAAAAAAMQc/TGNzH2fKzasoMLhggidjUOEmTG_pnxdpACLcBGAsYHQ/s1000/jean%2Bjauniaux.jpg"><img border="0" src="https://1.bp.blogspot.com/-FWzOtI9qAt4/X4K3cmduw8I/AAAAAAAAMQc/TGNzH2fKzasoMLhggidjUOEmTG_pnxdpACLcBGAsYHQ/s320/jean%2Bjauniaux.jpg" /></a><br /><br /><br /><br />Photo : Christian Lambiotte<br /><br />Jean Jauniaux est né en 1954 à Haine-Saint-Paul (Hainaut, Belgique). Il a a passé son enfance à Ecaussinnes d’Enghien, village situé au cœur d’une région en déclin économique. Après des humanités gréco-latines à l’Athénée Royal de Mons, il a effectué des études de traduction et d’interprétariat à l’Ecole d’Interprètes Internationaux de l’Université de Mons. Il a choisi d’y étudier les langues russe (« pour lire « Crime et châtiment » en version originale)et espagnole (il a consacré son mémoire de fin d’études aux adaptations de « Don Quichotte », un ouvrage de plus de 300 pages d’analyse et un répertoire de plus de 700 adaptations dans tous les genres : théâtre, radio, roman, opéra, musique etc). Il a ensuite effectué à l’Institut National des Arts du Spectacle, une licence en réalisation Film-Radio-Télévision, se spécialisant dans le documentaire de création et ce qui s’appelait à l’époque le « cinéma vérité ». Il a consacré son mémoire de fin d’études au cinéaste Jean-Jacques Péché et à ses émissions « Faits-Divers ». Il a été réalisateur d’émissions de télévision à la télévision belge (dans le service « histoire » notamment) et responsable de programmes européens de soutien à l’audiovisuel et à la culture.<br /><br />Il écrit des nouvelles, romans et scénarios de bande dessinée et de films documentaires. Il se consacre au journalisme culturel, à l’animation d’une revue littéraire et de rencontres littéraires. Il organise des ateliers d’écriture de nouvelles et de formation à l’interview radio. Il a publié trois recueils de nouvelles et un roman.<br /><br />En juin 2009, le Secrétaire Perpétuel de l’Académie de langue et littérature de Belgique, Jacques De Decker lui demande de devenir le rédacteur en chef de la revue littéraire « MARGINALES », revue créée par le poète et romancier Albert Ayguesparse en 1945.<br /><br />« Entre les lignes » : De septembre 2006 à septembre 2011, il crée et anime l’émission généraliste « Entre les lignes », une heure consacrée à l’actualité à travers le livre, la littérature, les essais, les rencontres avec des écrivains, des essayistes, des acteurs du monde culturel et de la société. L’émission a été diffusée tous les dimanche de 9h00 à 10h00 sur deux radios de proximité en Communauté Française de Belgique.<br /><br />Depuis janvier 2009, il anime avec son complice Edmond Morrel un blog « web-radio » consacrée au livre et composée d’interviews exclusives d’écrivains, d’essayistes et d’auteurs de bandes dessinées, de metteurs en scène, de scénaristes, d’acteurs du monde culturel. A ce jour, plus de 800 rencontres sont en ligne à l’adresse www.espace-livres.be avec des interlocuteurs aussi variés que Michel Serres, Jean d’Ormesson, Tahar Ben Jelloun, Ken Follett, Gisèle Halimi, Albert Jacquart, Eric Orsenna, Stefan Hessel, Jacques De Decker, Amin Maalouf, Anne Nivat, Chékéba Hachémi, Gérard Chaliand, Matthieu Ricard etc.<br /><br />Source : Ker éditions<div><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Mon avis</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div>Merci aux éditions Meo de rééditer ce roman publié en 2008 aux éditions Luce Wilquin, l'occasion pour moi de découvrir la plume de Jean Jauniaux dans un très beau roman.</div><div><br /></div><div>C'est l'histoire de sa vie qui le hante depuis qu'il est gamin, l'histoire de son enfance solitaire avec ses amis de papier qu'il nous livre ici.</div><div><br /></div><div>Jean-Baptiste a tour à tour été écrivain public, "nègre" pour écrivain à succès. Après avoir écrit 26 <i>romandegares </i>, âgé de 60 ans, il s'installe à Saint Idesbald, une petite station balnéaire de la côte belge. </div><div>C'est la solitude qui prédomine malgré la célébrité de son double. Il aimerait à présent, écrire des <i>romansvrai.</i></div><div><i><br /></i></div><div>Il se plonge dans ses souvenirs, la disparition de Claire (sa maman) lorsqu'il avait 4 ans, la froideur de son père Armand qui s'était juré de lire la bibliothèque au complet pour combler son chagrin, imposant de ce fait le silence à Jean-Baptiste. Lui donnant pour baillon à ses questions, un dictionnaire. </div><div><br /></div><div>C'est alors pour lui la découverte des mots, l'importance de l'alphabet, des livres, le début de sa relation particulière aux êtres d'encre et de papier. Ensuite, la naissance de l'écrivain.</div><div><br /></div><div>Jean-Baptiste se plonge alors dans ses archives où l'on trouve : des phrases pour vivre, des lettres écrites à lui-même, des lettres fictives (outil de l'écrivain). Il retrouve sa BOUEE : Boîte à Outils de l'Ecrivain Ecrivant ou encore en fonction des jours , Boîte à Outils de l'Ennivrement par l'Ecriture.</div><div><br /></div><div>Dans les tiroirs de sa BOUEE, il y a la Bible (la vérité sur les personnages) les pastels, les haïkus, carnets, instamatics mais aussi la rubrique Epistolia. Epistolia et ses différentes correspondances dont celle échangée avec Maud qui fait le lien avec le titre de ce très beau roman. </div><div><br /></div><div>Tout prend son sens, tout se lie , la quête de l'écriture du roman, la solitude de Jean-Baptiste et enfin l'accomplissement du deuil de son enfance.</div><div><br /></div><div>Une très jolie plume, touchante, émouvante. Les phrases sont simples, très poétiques. C'est beau.</div><div><br /></div><div>Ma note : 9.5/10</div><div><br /></div><div><br /></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;">Les jolies phrases </span></b></i></div><div><i><b><span style="color: red; font-size: large;"><br /></span></b></i></div><div>Les mots peuvent-ils s'approprier le vertige du silence ? Sans s'y engloutir ? Sans y disparaître à jamais, avalés par le gouffre ? </div><div><br /></div><div>Ah ! tous ces <i>être </i>et <i>avoir </i>jetés à la poubelle, toutes ces répétitions qu'il éradiquait de ligne en ligne, de phrase en phrase, tous ces adverbes éléphantesques; Ils rempliraient, à les faire dégorger tant et plus, des bibiliothèques entières !</div><div><br /></div><div>Il n'espérait pas la rencontrer. Au contraire. il savait que ce qui s'écrivait entre eux cesserait d'exister s'ils se voyaient, s'ils se parlaient;</div><div><br /></div><div>Une dizaine de feuillets là où il en aurait fallu des milliers. Comment dire à celle que l'on aime qu'aucun amour, aussi fort soit-il, ne pourra la sauver ? Comment lui dire que, sous le poids d'un tel amour, la mort sera encore plus injuste, encore plus douloureuse ? Comment lui dire l'absurde injustice de cette agonie annoncée qui survenait à l'exact instant où l'un et l'autre semblaient entrer dans la lumière des choses ? </div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i>Du même auteur j'ai lu</i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div>Cliquez sur la couverture pour avoir accès à l'article <div><span style="color: red; font-size: large;"><b><i><br /></i></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2021/11/livresse-des-livres-jean-jauniaux.html" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="284" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqirmhaY7As1JuvT4etXK3A1eg9Dp85S4QX5e5n5f4WET6qPe0B4gF_5uRAGiLBbJqX7jcI7WTyyagAQMr1NIAFEmV0gdQajzsHsNy0jsCF0KrZUZemVpAzMtc7wZzJCPGmiB3MJvT6qGxIHx3Zy9VE5cZLe1ezAlQBObbqhviw3UamNx6QAOtErDvsY-d/w142-h200/l'ivresse%20des%20livres.jpg" width="142" /></a></div></b></span><a href="https://nathavh49.blogspot.com/2020/10/belgiques-jean-jauniaux.html" style="font-size: x-large; font-weight: 700; margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="341" data-original-width="195" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjm276ZQLHhtDoJhbZmSzCyOHfAYxLb3HQs8KeNG9YLijwlFMz-oHvY72RSaRABAYlZZPxQWPa71mB8DfyeHNuCK8TT5ZVx7XfDWijSG87L1PH03ZFiAy4jAuf9QAVqwxK_QWecEaOgLfYZ_XdYfacnbPK2mVbvG3HFgJUp24JYc_1Y2j0MbcGx_r7Iyc1k/w114-h200/belgiques%20j.jpg" width="114" /></a><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: red; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><br /><i><br /></i></b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHjG8n62EbL4qND2jYOFYZ5Haf7b85K2Lr2XpHB5nH9KnmczLZVTqyr0VZHQWMX1q0eFBsYfvEZk1LDhSg20TFoYFIi3ZqHLtT3fJYwr8v3ZdFwkLB61ft876_TqfdC7KHhlYx8v9Xfz9CEThOF87LdPh8trdAQW6Y0kdggNpjJbu41ZOyIdT-S8ZC55dJ/s398/made%20in%20belgium.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="161" data-original-width="398" height="129" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHjG8n62EbL4qND2jYOFYZ5Haf7b85K2Lr2XpHB5nH9KnmczLZVTqyr0VZHQWMX1q0eFBsYfvEZk1LDhSg20TFoYFIi3ZqHLtT3fJYwr8v3ZdFwkLB61ft876_TqfdC7KHhlYx8v9Xfz9CEThOF87LdPh8trdAQW6Y0kdggNpjJbu41ZOyIdT-S8ZC55dJ/s320/made%20in%20belgium.jpg" width="320" /></a></div><br /></span><br /><br /></div>nathalie vanhauwaerthttp://www.blogger.com/profile/11548037367664394796noreply@blogger.com0