Bien entendu Le dernier Amélie Nothomb et Pétronille
Déjà lu et digéré, un verre de champagne à la main.... mon papier arrive très vite
♣♣♣♣♣
♣♣♣♣♣
J'ai apprécié le magnifique "Les singuliers" critique ici et j'ai eu l'envie de découvrir un autre livre
d'Anne Percin (il a été adapté en téléfilm et sera diffusé prochainement)
Août, 2014
11 x 17,6
192 pages
ISBN 978-2-330-03422-1
prix indicatif : 7, 00€
Babel n° 1264
Résumé
prix indicatif : 7, 00€
Babel n° 1264
Résumé
♣♣♣♣♣
Du belge : troisième roman de Caroline DE MULDER
Après Ego Tanguo (Prix rossel 2010), Nous les bêtes traquées (2012), voici
Août, 2014
11,5 x 21,7
288 pages
ISBN 978-2-330-03594-5
prix indicatif : 20, 00€
Graceland, 16 août 1977, Elvis Presley disparaît et laisse derrière lui des millions d’adorateurs éperdus. Crépuscule du Roi du Rock. Jusqu’à la fin, la longue fréquentation du désastre ne lui avait pas fait perdre toute sa candeur.
Dix-sept ans plus tard, Yvonne entre au service de John White, un vieil Américain au physique fragile. Elle va passer vingt ans à ses côtés, tissant une relation de dépendance avec cet homme dont elle ne sait rien et qu’elle s’efforce de sauver d’une fin misérable. La vie de White et celle d’Elvis s’entrelacent, dessinant des créatures identiques dans leur difformité et leur isolement. Entre les deux, il est possible qu’un lien existe – à moins qu’ils ne se soient croisés que dans ce roman…
Portrait impitoyable et tendre en miroir d’une fiction,Bye Bye Elvis est un roman mélancolique et venimeux, rythmé par une métrique impeccable
♣♣♣♣♣
Vraisemblablement incontournable, je me suis laissée tenter par le nouveau
Grégoire DELACOURT
Titre : On ne voyait que le bonheur
Editions : JC Lattès
Collection : Littérature française
Date de Parution : 08/2014
Code EAN/ISBN : 9782709647465
Hachette : 2622250
Prix public : 19.00 €
Format : 130 mm x 205 mm
360 pages
Quatrième de couverture
« Une vie, et j’étais bien placé pour le savoir, vaut entre trente et quarante mille euros.
Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo, l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les vacances, les potes, les filles, les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de changer le monde.
Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser.
Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant.
Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies.
Combien valurent les nôtres ? »
À force d’estimer, d’indemniser la vie des autres, un assureur va s’intéresser à la valeur de la sienne et nous emmener dans les territoires les plus intimes de notre humanité.Construit en forme de triptyque, On ne voyait que le bonheur se déroule dans le nord de la France, puis sur la côte ouest du Mexique. Le dernier tableau s’affranchit de la géographie et nous plonge dans le monde dangereux de l’adolescence, qui abrite pourtant les plus grandes promesses.
♣♣♣♣♣
« Une vie, et j’étais bien placé pour le savoir, vaut entre trente et quarante mille euros.
Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo, l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les vacances, les potes, les filles, les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de changer le monde.
Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser.
Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant.
Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies.
Combien valurent les nôtres ? »
À force d’estimer, d’indemniser la vie des autres, un assureur va s’intéresser à la valeur de la sienne et nous emmener dans les territoires les plus intimes de notre humanité.Construit en forme de triptyque, On ne voyait que le bonheur se déroule dans le nord de la France, puis sur la côte ouest du Mexique. Le dernier tableau s’affranchit de la géographie et nous plonge dans le monde dangereux de l’adolescence, qui abrite pourtant les plus grandes promesses.
♣♣♣♣♣
Du 29 au 31 août se déroulait à Namur L'intime Festival , un festival autour du livre donc quelques "craquages supplémentaires"
Florence SEYVOS
Parution 02 mai 2013
Livre 140 × 205 mm
176 pages
EAN : 9782879297859
16,00 €
Editions de L'Olivier
Pour info il vient de sortir en poche chez POINTS
Résumé
Résumé
Lorsque la narratrice arrive à Hollywood pour y effectuer une recherche biographique sur Buster Keaton, elle ne sait pas encore que son enquête va bifurquer dans une direction très personnelle, réveillant le souvenir d’Henri, ce frère « différent » qui l’a accompagnée pendant toute son enfance. Quel rapport entre ce garçon dont le développement mental s’est interrompu, et le génie comique qui deviendra l’un des inventeurs du cinéma ? Henri semble perpétuellement ailleurs. Encombré d’un corps dont il ne sait que faire, il doit subir la rééducation musculaire quotidienne que lui impose son père, et qui ressemble à une suite ininterrompue de tortures. Joseph Frank Keaton Jr, dit « Buster », naît un siècle plus tôt dans une famille de saltimbanques dont il devient bientôt la vedette, lorsque son père découvre qu’il semble insensible à la douleur. En effet, Keaton père a inventé un numéro de music-hall dans lequel son fils est soumis à une série de chocs extrêmement violents tout en gardant un visage impassible. De cette enfance maltraitée naîtra, des années plus tard, une œuvre cinématographique où le burlesque se mêle à une poésie d’une infinie subtilité.
♣♣♣♣♣
♣♣♣♣♣
Pour terminer deux auteurs belges de la rentrée littéraire
Un premier roman pour une auteur Namuroise de souche : Hedwige JEANMART
Parution le 28/08/2014
Genre : Romans et récits
Autres littératures européennes
Pays : Belgique
ISBN : 9782070145447
Prix 18.50
Quatrième de couverture
♣♣♣♣♣
Et enfin, un petit tour au Nord de notre pays, une lacune à combler
Tom Lanoye
Auteur : Lanoye, Tom
date de parution : 28 août 2014
Roman traduit du néerlandais (Flandre) par Alain van Crugten.
13 x 20 cm.
400 p.
24 €.
Collection : Littérature étrangère.
ISBN : 978-2-7291-2114-3
Quatrième de couverture
Un mariage blanc avec une noire…
Maarten Seebregs, un homosexuel dans la cinquantaine, malade, fauché et sans travail, ne peut oublier Gaëtan, l’amour de sa vie, mort quelque temps auparavant. Cynique, mais avec le sourire, il vivote de ses derniers centimes, sans aucun horizon. C’est alors qu’un inconnu lui fait une proposition avantageuse : épouser sa fiancée africaine, car après deux mariages avec des étrangères, l’homme est tenu à l’œil par la Police des Étrangers. Aussitôt que la jeune femme aura acquis la nationalité belge, Maarten pourra divorcer et garder l’argent. L’homme ne pose qu’une condition : « Tu te maries avec elle, tu vis avec elle. Mais si tu la touches, je te massacre. » Maarten finit par accepter et le roman nous raconte la cohabitation bizarre entre lui et la jeune Africaine désinvolte. Rien ne les rapproche et pourtant une sorte d’affection vraie finit par les lier. Pendant tout le déroulement du roman, les images nostalgiques et douloureuses du passé avec Gaëtan ne cessent de hanter le héros, formant un contrepoint intéressant avec la situation de comédie que vivent les nouveaux mariés. Il y a aussi un regard cruel et sarcastique sur notre civilisation, notre culture dont le visage transparaît dans la visite des contrôleurs sociaux au domicile du futur marié. Comme toujours, Tom Lanoye nous présente des personnages inoubliables, empêtrés dans un destin tragi-comique. Le héros est tantôt pathétique, tantôt plein d’humour, tantôt monstrueux de cynisme, tantôt sentimental. Face à lui, la jeune mariée est une figure très bien dessinée de jeune femme moderne, apparemment frivole et dissimulatrice, mais qui se révèle plus fine et profonde qu’il ne le croyait. À nouveau, il choisit la Belgique comme lieu où se déroule l’action – Ostende, puis Anvers – la Belgique, nombril d’une Europe malodorante.
♣♣♣♣♣
Collection : Littérature étrangère.
ISBN : 978-2-7291-2114-3
Quatrième de couverture
Un mariage blanc avec une noire…
Maarten Seebregs, un homosexuel dans la cinquantaine, malade, fauché et sans travail, ne peut oublier Gaëtan, l’amour de sa vie, mort quelque temps auparavant. Cynique, mais avec le sourire, il vivote de ses derniers centimes, sans aucun horizon. C’est alors qu’un inconnu lui fait une proposition avantageuse : épouser sa fiancée africaine, car après deux mariages avec des étrangères, l’homme est tenu à l’œil par la Police des Étrangers. Aussitôt que la jeune femme aura acquis la nationalité belge, Maarten pourra divorcer et garder l’argent. L’homme ne pose qu’une condition : « Tu te maries avec elle, tu vis avec elle. Mais si tu la touches, je te massacre. » Maarten finit par accepter et le roman nous raconte la cohabitation bizarre entre lui et la jeune Africaine désinvolte. Rien ne les rapproche et pourtant une sorte d’affection vraie finit par les lier. Pendant tout le déroulement du roman, les images nostalgiques et douloureuses du passé avec Gaëtan ne cessent de hanter le héros, formant un contrepoint intéressant avec la situation de comédie que vivent les nouveaux mariés. Il y a aussi un regard cruel et sarcastique sur notre civilisation, notre culture dont le visage transparaît dans la visite des contrôleurs sociaux au domicile du futur marié. Comme toujours, Tom Lanoye nous présente des personnages inoubliables, empêtrés dans un destin tragi-comique. Le héros est tantôt pathétique, tantôt plein d’humour, tantôt monstrueux de cynisme, tantôt sentimental. Face à lui, la jeune mariée est une figure très bien dessinée de jeune femme moderne, apparemment frivole et dissimulatrice, mais qui se révèle plus fine et profonde qu’il ne le croyait. À nouveau, il choisit la Belgique comme lieu où se déroule l’action – Ostende, puis Anvers – la Belgique, nombril d’une Europe malodorante.
♣♣♣♣♣
J'allais oublier deux livres jeunesse ont également rejoint ma PAL Ils furent dévorés par mon fils qui a beaucoup aimé. Il en redemande; le troisième tome sortira en mars 2015 patience, patience...
Frank Andriat
160 pages
avril 2013
ISBN 978-2-9601213-7-7
20x13 cm
10 euros
Ker Editions
Résumé
Bob a hérité d'un nom de famille qu'il porte en souriant.
Il aime la panthère rose, Najmah, sa nounou afghane, le boudin-compote et les enquêtes policières.
Il a résolu sa première énigme à quinze ans, au collège, quand Baratin, son prof d'anglais, a été retrouvé égorgé dans sa classe, le corps tourné vers La Mecque.
Bob est intelligent, gentil et plein d'humour. D'amour pour son prochain aussi, même quand celui-ci se moque de lui.
Bob vit des aventures rocambolesques et il ne perd presque jamais son calme.
Bob n'est pas et ne sera jamais celui qu'on croit.
184 pages
mars 2014
ISBN 978-2-87586-035-4
20x13 cm
Ker Editions
10 euros
Résumé
Lorsque Madame Flamme, la flamboyante professeur de français, découvre une salle de théâtre abandonnée dans les sous-sols du lycée, son sang ne fait qu'un tour.
Le restaurer, y faire jouer ses élèves : son rêve, sa mission.
Mais les plans de la belle contrarient beaucoup de monde. Quels sombres secrets, quelles machinations dissimule cette salle mystérieuse ?
Une nouvelle affaire pour Bob Tarlouze
♣♣♣♣♣
suite au prochain numéro (rapide à mon avis car ce ne sont pas les envies qui me manquent)
2 commentaires:
Bye bye Elvis et Blanès sont sur ma liste, j'ai hâte de savoir ce que tu en auras pensé.
J'ai envie de lire Blanes très vite, le problème c'est que j'ai encore plein d'envies et d'achat à faire ce week-end. On ne se change pas.
Enregistrer un commentaire