Les folles enquêtes de Magritte et Georgette Nom d'une pipe !
Nadine Monfils
Robert laffont
Collection : la bête noire
Parution : 06 mai 2021
Pages : 312
Isbn : 9782221250204
Prix : 14.90 €
Présentation de l'éditeur
Après Les Détectives du Yorkshire de Julia Chapman et Son Espionne royale de Rhys Bowen, la nouvelle pépite du cosy mystery dénichée par La Bête noire : Les folles enquêtes de Magritte et Georgette ! Une nouvelle série d’enquêtes menées par le peintre René Magritte et sa femme, Georgette.
C’était au temps où Bruxelles bruxellait…
À l’arrêt du tram qui le ramènera chez lui à Schaarbeek, un quartier de Bruxelles, René Magritte, chapeau boule et costume bleu, a une vision étrange : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps ! Obsédé par cette image, il en parle à sa femme, Georgette, et immortalise la scène dans une peinture. Quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée, avec une lettre d’amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas mauves sous sa robe. Puis une deuxième jeune femme est tuée.
Sur son corps on découvre également une lettre d’amour parfumée et un bouquet de roses. Attentive aux détails, Georgette en conclut que le meurtrier a voulu laisser un message… Un tueur de demoiselles rôde-t-il sur les pavés mouillés de Bruxelles ? Invisible, se glisse-t-il parmi ceux qui boivent des kloech dans les vieux cafés de la Grand-Place ? Conjuguant imagination débridée et pragmatisme, Magritte et Georgette cogitent pour empêcher un troisième assassinat. Sous son aspect de petit bourgeois pépère, Magritte est un enquêteur malicieux dont la logique iconoclaste ouvre des pistes imprévisibles. Avec Georgette et son intuition féminine, ainsi que leur chienne Loulou au flair bien aiguisé, ils vont former un trio de choc, non peut-être !
Robert laffont
Collection : la bête noire
Parution : 06 mai 2021
Pages : 312
Isbn : 9782221250204
Prix : 14.90 €
Présentation de l'éditeur
Après Les Détectives du Yorkshire de Julia Chapman et Son Espionne royale de Rhys Bowen, la nouvelle pépite du cosy mystery dénichée par La Bête noire : Les folles enquêtes de Magritte et Georgette ! Une nouvelle série d’enquêtes menées par le peintre René Magritte et sa femme, Georgette.
C’était au temps où Bruxelles bruxellait…
À l’arrêt du tram qui le ramènera chez lui à Schaarbeek, un quartier de Bruxelles, René Magritte, chapeau boule et costume bleu, a une vision étrange : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps ! Obsédé par cette image, il en parle à sa femme, Georgette, et immortalise la scène dans une peinture. Quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée, avec une lettre d’amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas mauves sous sa robe. Puis une deuxième jeune femme est tuée.
Sur son corps on découvre également une lettre d’amour parfumée et un bouquet de roses. Attentive aux détails, Georgette en conclut que le meurtrier a voulu laisser un message… Un tueur de demoiselles rôde-t-il sur les pavés mouillés de Bruxelles ? Invisible, se glisse-t-il parmi ceux qui boivent des kloech dans les vieux cafés de la Grand-Place ? Conjuguant imagination débridée et pragmatisme, Magritte et Georgette cogitent pour empêcher un troisième assassinat. Sous son aspect de petit bourgeois pépère, Magritte est un enquêteur malicieux dont la logique iconoclaste ouvre des pistes imprévisibles. Avec Georgette et son intuition féminine, ainsi que leur chienne Loulou au flair bien aiguisé, ils vont former un trio de choc, non peut-être !
Nadine Monfils
Nadine Monfils est belge. Elle est l'auteur d'une cinquantaine de romans, dont les polars à succès Monsieur Émile et Une petite douceur meurtrière, parus dans la collection « Série noire » de Gallimard. Également cinéaste, elle a réalisé Madame Édouard, dans lequel elle met en scène le commissaire Léon, héros de sa série policière, incarné par Michel Blanc. Elle a publié chez Belfond Babylone Dream (2007), prix Polar au salon Polar & Co de Cognac, Nickel Blues (2008), prix des Lycéens de Bourgogne (décerné par 3 000 élèves alors que ce livre n'était pas dans la liste des ouvrages proposés !), Tequila frappée (2009), Coco givrée (2010), prix de la Ville de Limoges, Les Vacances d'un serial killer (2011), grand succès de librairie, La Petite Fêlée aux allumettes (2012), La vieille qui voulait tuer le bon Dieu (2013) et Mémé goes to Hollywood (2014). Après avoir été introuvables durant des années, Les Enquêtes du Commissaire Léon sont à nouveau publiées par Belfond depuis 2012.
Elle a reçu le Prix St Maur en poche ( Gérard Collard) pour l’ensemble de son œuvre. Son écriture explore des univers étranges qu’elle décline également dans les arts plastiques ( photos).
Gros succès de librairie avec « Les vacances d’un serial killer » vendu à plus de 250.000 ex , où est né le personnage récurrent de mémé Cornemuse, une vieille bique fan d’Annie Cordy et amoureuse de JCVD…
Elle a créé un nouveau personnage « Elvis Cadillac » ( le sosie pourri d’Elvis Presley, un belge de Charleroi) aux éditions du Fleuve Noir. Sorti en mars 2016. Unanimement encensé par la presse belge et française. Suivi de « Ice cream et châtiments » et du « Rocker en pantoufles » .
Son magnifique "Le rêve d'un fou" nous la présente dans une autre facette.
Mon avis
C'était au temps où Bruxelles brusselait... c'est ainsi que commence le quatrième de couverture, et cela en dit déjà beaucoup... Le Grand Jacques Brel et son Bruxelles. Bruxelles ma belle ! personnage à part entière dans cette nouvelle série "Cosy mystery" pour utiliser un terme à la mode que nous propose Nadine Monfils, une auteure que j'adore, capable d'écrire dans tous les genres et surtout de se renouveler. Quel talent ! Merci.
Grande ambassadrice de notre pays qui partage à merveille notre Belgitude.
Elle nous emmène à la découverte de l'univers d'un peintre qu'elle adore; René Magritte, le maître du surréalisme. Elle fait de ce peintre emblématique, celui qui dans sa jeunesse écrivait des polars sous le pseudo 'Renghis", un détective en herbe épaulé par sa femme adorée Georgette en assistante.
René Magritte a une vision d'une femme blonde portant une robe à fleurs attendant le tram, elle est debout à côté de son corps. Cela le perturbe, il en fait un tableau, en parle à Georgette. Etrangement, cela lui fait remonter le passé...
Quelques jours plus tard, dans le journal, une photo, celle de cette jeune femme Madeleine Dutilleux retrouvée morte poignardée, un bouquet de lilas sous le corps. Quelques jours plus tard, un second corps féminin est retrouvé.
Intrigué, Magritte et Georgette vont mener l'enquête avec l'aide de leur ami policier brusseleir : Jefke et se transforment en détectives.
C'est aussi l'occasion de re-découvrir Bruxelles, ses endroits mythiques comme "le Roy d'Espagne", "La fleur en papier dorée" de la rue des Alexiens, "l'hôtel Métropole" et de vivre une rencontre - qui aurait pu avoir lieu - avec le grand Jacques.
C'est savoureux, on découvre des expressions bien belges ou bruxelloises, la gastronomie de mon pays mais aussi on entre dans l'intimité du couple avec de nombreuses anecdotes véridiques.
On découvre également l'oeuvre de Magritte, la description de ses tableaux. C'est instructif, jouissif, déjanté par moment , du pur Nadime Monfils, un style incomparable que j'adore. une écriture poétique, tout en tendresse sur les personnages principaux René, Jacques Brel, Bruxelles mais aussi plus cash, directe. C'est drôle, savoureux, instructif, original, il fallait oser. J'adore, laissez-vous tenter.
La bonne nouvelle c'est que le tome 2 est déjà là et qu'il vient de rejoindre ma PAL, en route pour la mer du Nord , rendez-vous à Knokke le Zoute.
Ma note : 9/10
Les jolies phrases
Or la liberté n'est qu'une vue de l'esprit. Les vrais barreaux sont à l'intérieur de nous, c'est nous qui les construisons ou qui laissons les autres fermer la cage.
Les rêves ne nous emportent que s'ils sont chargés de mystères.
Parfois, pensait-il, on prend des mauvais chemins, on suit des mirages, et on croit qu'il est impossible de s'en dépêtrer. Or la liberté n'est qu'une vue de l'esprit. Les vrais barreaux sont à l'intérieur de nous, c'est nous qui construisons ou qui laissons les autres fermer la cage.
Quand on est triste, quel que soit le pays où l'on s'enfuit, on emporte dans notre valise tous les chagrins qu'on n'a pas réussi à étouffer.
Il pensait que les gens dont souvent le reflet de l'image qu'ils veulent donner d'eux-mêmes : un faux-semblant, bref, une sorte de trompe-l'oeil. Et qu'il faut creuser, faire fi de ses sentiments pour déceler ce qu'ils cachent. Parfois à leur insu. Et que de temps à autre on découvre une couche de supercheries camouflant d'autres secrets. un peu à l'image des poupées russes ...
La poésie paut-être une plante carnivore, et quand les rimes nous dévorent, il ne reste que la cruauté des mots.
A nos rêves ! lança Brel. On ne réussit qu'une seule chose, on réussit ses rêves.
Un enfant, c'est le dernier poète d'un monde qui s'entête à vouloir devenir grand.
Faut pas casser les rêves des autres. Le bonheur est souveant décevant dans la réalité. Jamais dans l'imagination.