Springer et Zidrou
Futuropolis
Un récit de Zidrou.
Un récit de Zidrou.
Dessin de Benoît Springer.
Couleurs de Séverine Lambour
Première parution : 20/08/2015
215 x 290 mm
64 pages
Prix de vente : 15 €
ISBN : 9782754810036
Avis de l'éditeur
Une falaise au bout du chemin des douaniers, quelque part dans le Pas-de-Calais. Le printemps, impatient, se donne parfois des airs d’été. Un homme attend une femme, sa voiture à l’arrêt. Quand, enfin, elle arrive, c’est pour lui annoncer que leur relation est terminée. Terminée. Que la dernière fois, elle n’aurait pas dû. Que les enfants… que son mari…Que… La culpabilité et les regrets qui mettent fin à toute relation adultère. Elle repart. Il reste là. Sur cette falaise. « La falaise aux baisers volés », comme il l’appelle. Lui, c’est Martin. La trentaine. Il travaille dans une compagnie maritime. Elle, c’est Virginie. Bientôt quarante ans. Elle est vétérinaire. Ils sont frère et soeur. Et ils s’aiment. Tout a commencé alors que Virginie avait 18 ans et Martin 16. Un jeu d’adolescent curieux. Puis chacun d’eux a cherché à fuir cet amour interdit ? Elle, dans un mariage confortable. Lui, en acceptant des années durant un poste lointain, à Abu Dhabi. Mais, depuis son retour voici quatre ans, leur relation a repris. Plus forte, plus passionnelle encore… Aujourd’hui, elle veut tout arrêter, elle parle de leur relation comme d’une drogue qui les détruit peu à peu… Après le succès de librairie du Beau Voyage, le duo Springer-Zidrou récidive avec un récit à nul autre pareil, fort, sensuel, magnifique !
215 x 290 mm
64 pages
Prix de vente : 15 €
ISBN : 9782754810036
Avis de l'éditeur
Une falaise au bout du chemin des douaniers, quelque part dans le Pas-de-Calais. Le printemps, impatient, se donne parfois des airs d’été. Un homme attend une femme, sa voiture à l’arrêt. Quand, enfin, elle arrive, c’est pour lui annoncer que leur relation est terminée. Terminée. Que la dernière fois, elle n’aurait pas dû. Que les enfants… que son mari…Que… La culpabilité et les regrets qui mettent fin à toute relation adultère. Elle repart. Il reste là. Sur cette falaise. « La falaise aux baisers volés », comme il l’appelle. Lui, c’est Martin. La trentaine. Il travaille dans une compagnie maritime. Elle, c’est Virginie. Bientôt quarante ans. Elle est vétérinaire. Ils sont frère et soeur. Et ils s’aiment. Tout a commencé alors que Virginie avait 18 ans et Martin 16. Un jeu d’adolescent curieux. Puis chacun d’eux a cherché à fuir cet amour interdit ? Elle, dans un mariage confortable. Lui, en acceptant des années durant un poste lointain, à Abu Dhabi. Mais, depuis son retour voici quatre ans, leur relation a repris. Plus forte, plus passionnelle encore… Aujourd’hui, elle veut tout arrêter, elle parle de leur relation comme d’une drogue qui les détruit peu à peu… Après le succès de librairie du Beau Voyage, le duo Springer-Zidrou récidive avec un récit à nul autre pareil, fort, sensuel, magnifique !
Mon avis
Découverte BD grâce à ma binôme "Les petites lectures de Scarlett"
Attention cette BD pourrait choquer certains d'entre vous car le thème abordé ici est TABOU.
Un frère et une soeur s'aiment d'un amour fou depuis leur adolescence. Ils sont attirés charnellement l'un vers l'autre. Ils souffrent de la situation et luttent à leur façon. Virginie est mariée et mère de deux enfants. Sébastien a vécu à Abu Dhabi, il avait mis de la distance entre eux mais il est revenu en Bretagne.
Une maison entre eux, en indivision. C'est la maison de leur enfance, celle où tout a commencé.
Avec beaucoup de délicatesse Springer pour le graphisme et Zidrou pour le texte abordent ici ce thème, oh combien difficile, celui de l'inceste.
Un récit sensible, bouleversant. Explicite mais jamais choquant. Attirance, souffrance, déchirure mais ne l'oublions pas une histoire d'amour pourtant.
Je l'ai lu d'une traite et j'ai passé un bon moment avec cette bd qui amène à la réflexion.
Ma note : 8.5/10
Les jolies phrases
Un frère, une soeur, c'est fait pour s'aimer, pas pour se mordre tout le temps le nez.
Ce n'est pas la vie qui passe vite ... c'est nous qui sommes lents à la saisir.
Les orages finissent toujours par passer, non.
Les souvenirs, Martin, c'est comme les bons vins. A force de les regarder prendre la poussière dans ta vie, ils tournent au vinaigre.
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