samedi 27 avril 2013

Matt Groening Un gros livre d'enfer ****







Résumé :
Génie du dessin animé d'humour, cet album permet de découvrir le Matt Groening dessinateur de comic strips, dans la lignée des Spiegleman et autres Crumb. On y retrouve son humour un peu dingue, grinçant, parfois noir et sa critique imparable de l'absurdité de nos sociétés occidentales. A travers ses personnages et des situations loufoques, Matt Groening nous parle du droit à la différence. Il y a Bongo, un jeune lapin qui n'a qu'une oreille, et qui doit faire face à l'incompréhension et à la cruauté de ses professeurs, de ses parents ou de son thérapeute. Il y a Akbar et Jeff, un couple d'homosexuels, confrontés à la méchanceté. La thématique des gens hors normes, qui ne sont pas dans le moule, est récurrente dans l'oeuvre de Matt Groening ; il en parle avec une grande tendresse et beaucoup de sensibilité. Cette série Life in Hell est très importante pour lui. Il a déclaré : " Je n'abandonnerai jamais cette bande dessinée. C'est ma référence." Un inédit à découvrir d'urgence.



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MA CRITIQUE

Un grand merci à Thomas et à My Boox sans qui l'univers de Matt Groening resterait inconnu pour moi.
J'ai participé à l'appel aux lecteurs car j'ai toujours soif de faire de nouvelles découvertes.  J'avoue que de façon spontanée je ne me serai pas tournée vers cet ouvrage qui est très loin de mon univers de prédilection.

Un gros livre d'enfer on peut le dire.  Détrompez-vous, ce n'est pas un livre de simples illustrations, de la lecture il y en a et pour un grand moment.

J'ai pris le temps de découvrir et de savourer chaque page car il y a vraiment de quoi faire.. lire et relire... et au final je ne suis pas déçue du tout, que du contraire.

Je me suis surprise à sourire et même à rire durant la lecture, vraiment c'était savoureux.

Difficile d'en parler.  Je ne suis pas fan des Simpsons et de l'humour américain, j'avais peur que dans les traductions je ne m'y retrouve pas mais chapeau à Jean-Luc Fromental, le livre porte bien son nom "Un gros livre d'enfer"

On trouve ici une série de cartoons voués comme le dit l'auteur au développement de soi. On y aborde l'enfance, la famille, l'école, le boulot, le sexe, ... ce qui veut dire qu'il y a toujours un sujet qui vous concerne!

Ces cartoons ont été publiés dans différentes revues de 1980 à 1989, ils sont plus actuels que jamais.

Les mots sont au centre du livre bien plus que le graphisme qui en est en réalité l'accessoire et la complémentarité pour pas mal de planches.

On découvre l'amour avec Binky, un lapin aux yeux globuleux, et Sheeba, seul personnage féminin nommé sauf erreur de ma part.

Son fils Bongo, lapin à l'oreille unique, timide et gaffeur nous accompagnera également au gré des pages, ainsi que Jeff et Akbar, couple d'homosexuel (quand je vous disais que c'est toujours d'actualité..), 2 clones coiffés d'un fez, passant  la plupart du temps sur leur canapé devant la télé.

Petites scènes et différents thèmes abordés de façon cynique et corrosive, un humour grinçant et drôle toujours dans la mesure, 160 pages de bonne humeur et de pur bonheur.

Lorsque l'on termine le livre, on se dit : ben zut c'est terminé!
J'ai vraiment pris du plaisir et j'en reprendrais bien un petit peu.


Merci Thomas, merci My Boox pour cette nouvelle découverte.



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KAFKA SUR LE RIVAGE HARUKI MURAKAMI ****

   


Titre Original
KAFKA SUR LE RIVAGE
Date de parution
25 Août 2011
Collection
Littérature Etrangère
Nombre de pagesFormat
648 p.108 x 177 mm
EAN
9782264056160
  

                                                              Haruki MURAKAMI 

Traduit par 
Corinne ATLAN
KAFKA SUR LE RIVAGE

Un adolescent, Kafka Tamura, quitte la maison familiale de Tokyo pour échapper à une malédiction oedipienne proférée par son père. De l'autre côté de l'archipel, Nakata, un vieil homme amnésique, décide lui aussi de prendre la route. Leurs deux destinées s'entremêlent pour devenir le miroir l'une de l'autre, tandis que, sur leur chemin, la réalité bruisse d'un murmure envoûtant.

« Sous la baguette d'un enchanteur qui puise ses sortilèges dans les pires noirceurs de la condition humaine, Kafka sur le rivage est le roman le plus ambitieux, le plus envoûtant de Murakami. »
André Clavel, Lire

Traduit du japonais
par Corinne Atlan





  
L'AUTEUR :  HARUKI MURAKAMI 






Né à Kyoto en 1949 et élevé à Kobe, Haruki Murakami a étudié le théâtre et le cinéma à l'université Waseda, avant d'ouvrir un club de jazz à Tokyo en 1974. Son premier romanÉcoute le chant du vent (1979), un titre emprunté à Truman Capote, lui a valu le prix Gunzo et un succès immédiat. Suivront La Course au mouton sauvageLa Fin des temps, La Ballade de l'impossible, Danse, Danse, Danse et L'éléphant s'évapore. Exilé en Grèce en 1988, en Italie, puis aux États-Unis, ou il écrit ses Chroniques de l'oiseau à ressort et Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, il rentre au Japon en 1995, écrit deux livres de non-fiction sur le séisme de Kobe et l'attentat de la secte Aum, un recueil de nouvelles, Après le tremblement de terre, Les Amants du spoutnik et le superbe Kafka sur le rivage. Plusieurs fois favori pour le Nobel de littérature, Haruki Murakami a reçu récemment le prestigieux Yomiuri Prize et le prix Kafka 2006.

Source Editions 10/18



MA CRITIQUE

 
C'est avec cet ouvrage que je découvre Haruki Murakami.  Depuis peu je suis attirée par la littérature japonaise, très imagée, très poétique mais ce grand auteur contemporain , je ne l'avais pas encore abordé.

Sur les conseils de mon libraire mon choix c'est porté sur "Kafka sur le rivage", qui d'après lui est l'ouvrage qui nous montre les différentes facettes de l'auteur.

J'avoue être rentrée de suite dans l'histoire et cet univers onirique.  La lecture fut envoûtante et rapide.

A la fin de la lecture, j'avoue que je ne savais pas très bien qu'en penser.  On ne sort pas complètement indemne de la lecture. Le livre ne peut laisser indifférent, il me poursuit encore quelque temps après la lecture.

Kafka a 15 ans lorsqu'il quitte le domicile paternel pour échapper à une prédiction, son père lui a dit qu'un jour il le tuerait, coucherait avec sa mère et sa soeur.  Dans le but de démentir cela, il s'enfuit, mais peut-on échapper à son destin ????

Kafka s'enfuit; sa mère l'a abandonné à l'âge de 4 ans et il désire plus que tout comprendre pourquoi.  Il a choisit le prénom de Kafka qui veut dire corbeau en tchèque, tiens tiens et un garçon nommé corbeau (sa conscience ??) lui parle sans cesse....

On suit notre garçon au fil de ses rencontres, qui marqueront le cours de sa vie.  Son but étant de vivre et de comprendre la raison de son abandon.

Parallèlement on découvre que durant la guerre en mai 46, Saturo Nakata, élève brillant à l'époque, aujourd'hui au seuil de sa vie; a perdu connaissance et tout son savoir suite à un étrange événement étrange irrésolu.  Depuis ce moment, il est devenu ignorant mais possède l'étrange pouvoir de parler aux chats...

Qu'est-ce qui peut bien unir ces personnages?

Au fil du récit leur destin se croisera et s'entremêlera.

Un récit passionnant, j'ai vraiment peur de vous en dire trop.

On y rencontrera entre autres :

- un homme qui parle aux chats, il semble un peu fou mais est loin de l'être, il changera le destin et               ouvrira les yeux sur le monde de son compagnon de route.
- un jeune homme qui découvre les premiers émois, l'amour et le sexe
- l'amour des livres, de la musique et de la littérature
- le domaine du rêve et de l'imaginaire
- des personnages publicitaires qui prennent vie
- les descriptions superbes de la nature et de la forêt, une véritable communion avec la nature
- l'oedipe, la sensibilité, la sensualité , l'art et la poésie  et tant d'autres choses ...

Comment Kafka à la recherche de l'amour de sa mère, laissez-vous emmener dans ce monde onirique et fantastique.

Il faut se laisser embarquer, ouvrir son coeur au domaine du rêve pour rencontrer et être ému par la poésie de l'auteur. Un très joli voyage


LES JOLIES PHRASES

Ce n'est pas simple de devenir quelqu'un d'autre. Mais changer de nom, rien de plus facile.

Ouvre grand tes yeux. Il n'y a que les faibles qui les ferment.  Ce sont les lâches qui détournent le regard de la réalité. Tu auras beau les fermer et te boucher les oreilles, le temps continuera à avancer.

Il n'y a qu'une sorte de bonheur.  Mais le malheur prend mille formes différentes.  Comme dit Tolstoi, le bonheur est une allégorie, le malheur est une histoire.

Tu sais, Kafka Tamura, il y a dans nos vies des points de non retour. Et dans certains cas, des points au delà desquels on ne peut plus avancer.  Quand ça arrive, on est obligé d'accepter et de vivre avec.

Parce que si vous deviez vous occuper sérieusement de tous ceux qui manquent d'imagination, ce serait épuisant, et surtout cela n'aurait jamais de fin.

Quand on a le courage de reconnaître ses erreurs, on peut les réparer.  Or l'étroitesse d'esprit et l'intolérance sont des parasites qui changent l'hôte de forme et continue éternellement à prospérer.

Posséder un objet qui symbolise la liberté peut rendre un homme plus heureux que la liberté elle-même.

Mais le passé, c'est comme une assiette brisée : on aura beau tenter d'en recoller les morceaux, on ne pourra jamais lui rendre son aspect d'antan.

Ce ne sont pas les humains qui choisissent leur destin mais le destin qui choisit les humains.

Finalement, dans ce monde, ce sont ceux qui dressent les plus hautes barrières qui survivent le plus sûrement, et si tu nies ce principe, tu sera refoulé vers la brousse.

Tu sais Kafka, la plupart des gens dans le monde ne veulent pas vraiment être libres. Ils croient seulement le vouloir. Pure illusion. Si on leur donnait vraiment la liberté qu'ils réclament, ils seraient bien embêtés. Souviens toi de ça.  Les gens aiment leurs entraves.










vendredi 19 avril 2013

Une sacrée mamie 2 manga *****

Une sacrée mamie, Tome 2 par Shimada  




Un beau matin,  Akihiro apprend à sa grande surprise que sa rédaction “Ma mamie et moi” a reçu le premier prix du concours d’écriture de l’école. Mais pour cette raison, le jeune garçon s’attire les foudres de certains de ses camarades… Pourtant, n’est-ce pas dans l’adversité que naissent les plus belles amitiés ? Voici la suite des aventures touchantes du jeune Akihiro et de sa super grand-mère ! 


Ma critique

Akihiro a emménagé chez sa grand-mère depuis 2 ans. Nous sommes en 1960 à Saga, petit village campagnard du Japon.

Cela commence fort : Akihiro Tokunaga se dispute avec un copain de classe car il a gagné la meilleure rédaction dont le sujet est la pauvreté..  Un autre garçon veut se battre avec lui pour savoir qui des deux est le plus pauvre... un comble non !


Un clin d'oeil également avec l'arrivée de la télévision, de la machine à laver , bref du début du confort.. 
On découvrira également son premier amour avec beaucoup d'humour! , le retour d'Akihiro à Hiroshima en visite à sa maman, la perception de la mort et de l'amitié, la peur de perdre sa mammie et comme dans le premier opus toujours la débrouille et la bonne humeur.

Dans la même veine que le premier, un vrai régal.



jeudi 18 avril 2013

Le flûtiste invisible Philippe Labro ****

Le flûtiste invisible  Le flûtiste invisible
Collection Blanche, Gallimard   ISBN : 9782070140534
Parution : 14-03-2013

dimanche 14 avril 2013

Comme un roman fleuve **** Daniel Charneux


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Auteur(s) : Charneux, Daniel 
Titre : Comme un Roman-Fleuve 
Publication : Luce Wilquin / Sméraldine 
Description matérielle : 160 pages 
Collection : Sméraldine 
Autre(s) auteur(s) : 
ISBN 9782882534453 : EUR 17,00 


L'auteur




Itinéraire


Daniel Charneux (photo Paul Neuray).
Né en 1955, romaniste (liégeois) et romancier, Daniel Charneux publie entre 2001 et 2004 deux romans (Une semaine de vacanceet Recyclages) ainsi qu’un recueil de nouvelles (Vingt-quatre préludes) à propos desquels un critique a pu parler de « légèreté du désespoir ». Il reçoit en 2002 le Prix du Comité des Usagers de la Bibliothèque centrale du Hainaut pour Une semaine de vacance.
De 2004 à 2009, il dirige la publication  annuelle de six nouvelles éditées par la ville de Mons à l’occasion des « Rendez-Vous du Livre ». 36 textes en tout, dus entre autres à François Emmanuel, Colette Nys-Mazure, Françoise Houdart, Patrick Virelles, Ariane Le Fort, Foulek Ringelheim, Françoise Pirart, Christine Aventin, Alain Bertrand, Julie Guerlan, Corine Jamar, Nicolas Ancion, Luc Baba, Aurelia Jane Lee…
Norma, roman, sort des presses des éditions Luce Wilquin en février 2006. Chantal Portillo écrit à son propos : « Ce beau texte, à la langue travaillée comme une parure de Norma, l’autre, celle de Bellini, la grande prêtresse druidique trahie par l’amour et chantée par Maria Callas, est une méditation sur le temps, celui qui passe, celui qui nous terrasse. Qui nous dépouille de la grande illusion de l’image que nous espérions renvoyer. » Le 23 novembre 2007, Norma, roman reçoit le prix hainuyer de littérature française Charles Plisnier.
2008 voit la parution de Pruine du temps, un recueil de haïkus illustrés par Pierre Renard et calligraphiés par Pascal Goossens. L’esprit zen qui imprègne les haïkus est également présent dans un quatrième roman, Nuage et eau, que publient en septembre 2008 les éditions Luce Wilquin, et que distingueront dans leur dernière sélection les jurés du Prix Rossel, du Rossel des Jeunes et du Prix des Lycéens. Nuage et eau recevra en 2009 le Prix du Comité des Usagers de la Bibliothèque centrale du Hainaut et, en mars 2010, le Grand Prix Littéraire France – Communauté française de Belgique de l’ADELF.
En 2009, Maman Jeanne, « un texte court, d’une simplicité toute apparente, qui n’est finalement pas là où on l’attend et qui sait avec bonheur surprendre et toucher son lecteur », selon Dominique Baillon-Lalande, échoue à une voix du Prix Rossel des Jeunes. Ce bref récit fait l’objet d’un travail scénique coordonné par Michel Tanner, directeur du Centre Dramatique Hainuyer.
Bibliographie :
Romans et récits :
Comme un roman-fleuve, Éd. Luce Wilquin, 2012.
Maman Jeanne, Éd. Luce Wilquin, 2009.
Nuage et eau
, Éd. Luce Wilquin, 2008.
Norma, roman
, Éd. Luce Wilquin, 2006.
Recyclages
, Éd. Luc Pire, 2002.
Une semaine de vacance
, Éd. Luc Pire, 2001.
Nouvelles :
Darjeeling, Communauté française de Belgique, 2009.
Vingt-quatre préludes
, Éd. Luce Wilquin, 2004.
Le hêtre pourpre du notaire, Ville de Mons, 2004.




MA CRITIQUE

François a 80 ans, il est au seuil de sa vie, il va revivre celle-ci, telle les méandres du fleuve qui a bercé son existence. Au gré de 7 chapitres, 7 ponts de Liège nous conteront son histoire.  Il vit avec Sonia qui ne lui parle plus.  Pourquoi?  On va remonter le temps et essayer de comprendre comment ils se sont éloignés.

Un amour fusionnel au départ qui nous conduit vers l'incommunicabilité. Un amour très fort, très puissant, resté intact pour François.  Mais pourquoi en est-il là aujourd'hui?

Avec beaucoup de tact et de sensibilité, on va suivre sa vie au jour le jour, le long de ses promenades le long de la Meuse.

Un vrai régal pour celui qui connaît la ville de Liège décrite avec beaucoup d'amour et de passion comme celle qui unit François à Sonia.

Le style est plaisant, Daniel Charneux est un magicien des mots, bien choisis, délicatement.  Des expressions bien liégeoises ou belges en italiques surprennent un peu.  Aucun dialogue, un style narratif très chargé, toujours très beau, mais la longueur de certaines phrases ou des descriptions m'a un peu fatiguée par moment.

Il n'en reste que c'était un excellent moment , un petit bijou au niveau de l'écriture.  En résumé, l'histoire d'une vie,  d'un roman que l'on écrit , l'histoire d'un homme et de sa ville, l'histoire d'un homme et d'un fleuve.


Les jolies phrases

Rêve que tu rêves, ça vaut mieux que de croire que tu vis.

Ne révèle jamais que tu es juif et n'oublie jamais que tu es juif.

Il songeait que le temps est une étrange chose, que l'âge suffit à faire de nous des exceptions, des reliques, qu'il faut juste un peu de patience, un peu d'endurance, un brin de chance ou de malchance pour que chacun d'entre nous devienne le dernier représentant de son espèce, le dernier vétéran de la guerre d'Espagne, le dernier d'une promotion, le dernier à avoir applaudi Brel, le dernier à se souvenir des Bains de Meuse, du kiosque à journaux de la place Cockeril, de la pharmacie de Jacques Pelzer, le dernier à avoir acheté des disques chez Etincel, des partitions chez ....... p 66

Quelques années auparavant, il avait lu dans "la Meuse" qu'un chômeur s'était recyclé dans l'écriture : il proposait sur un site internet d'écrire une histoire aux gens heureux qui n'en ont pas, si l'on en croit le proverbe ; comme il aurait aimé ne pas avoir d'histoire, ne rien avoir à raconter, comme il aurait aimé pouvoir trouver sa destinée de héros tragique contre l'existence banale de Monsieur Tout le Monde, avec en prime ce tout petit détail : le bonheur.

Et les années avaient coulé, il échouait jour après jour dans ses tentatives de renouer avec Sonia, et l'éclat de sa réussite professionnelle contrastait cruellement avec l'échec quotidien rencontré sur le terrain qui lui tenait le plus à coeur, celui des relations avec elle qui ne voulait plus de lui,....p106

Si la souffrance naît du désir, pour vaincre la souffrance il suffit de vaincre le désir.

C'est un peu comme à la roulette, qu'après le manque vient forcément le passe, que d'abord cela vous manque puis que cela vous passe, que tout a une fin, et il attendait cette fin.

Les plus belles choses ont une fin, ces roses aussi fanant, je veux garder de nous un souvenir fleuri, mieux vaut cesser de nous voir.




mardi 9 avril 2013

Tentez votre chance, un livre jeunesse contre une critique via Babelio ce jeudi 


Edition spéciale jeunesse

Masse Critique revient ! Et cette fois-ci ce sont les enfants qui sont à l'honneur dans cette nouvelle édition consacrée à la littérature jeunesse. Il y en aura pour tous les goûts et pour toutes tailles. Plus de 200 livres destinés à l'éveil, à l'initiation à l'art, ou encore des poèmes ou des blagues... cette nouvelle opération sera pleine de surprises. La liste des ouvrages est disponible ici.

Recevez un livre en échange d'une critique le 11 avril

Pour les nouveaux, rappelons le principe de Masse Critique : c'est une opération gratuite proposée par Babelio, en partenariat avec les éditeurs, permettant à tous les lecteurs intéressés de recevoir un livre, en échange d'une critique.

Un petit rappel : l'opération est ouverte même aux non-blogueurs. La seule condition étant d'avoir déjà réalisé sur Babelio une ou plusieurs critiques pertinentes... Sinon la règle reste inchangée : Choisissez dans notre sélection les livres dont vous aimeriez écrire une critique. 
Alors, chaussez vos âmes d'enfants, convoquez famille et amis, et rendez-vous le 11 avril 2013 à partir de 8h30

Voici la liste des éditeurs participants : Cherche Midi, Galapagos, Scrineo, First, Itak, Sarbacane, Albin Michel, A dos D'âne, Adabam, Bayard, Enfance et musique, Eveil et découvertes, Nathan jeunesse, Palette, Salvator, Jasmin, Balivernes, Autrement, Flammarion, Casterman, Rue du monde, Geste éditions, Belin, La joie de lire, Philomèle, Le Seuil Jeunesse, La Martinière Jeunesse...