Une petite visite dans une Foire aux livres et hop , tentations en puissance, résultat ma pile à lire s'écroule et mes efforts de lectures communes sont anéantis, ma PAL fait + 16 en une seule fois.
Les absentes Vincent Engel
Editions : JC Lattès
Collection : Littérature française
Date de Parution : 08/2006
Code EAN/ISBN : 9782709628105
Hachette : 4538047
Prix public : 19.30 €
Format : 140 mm x 225 mm
600 pages
L'avis de l'éditeur
Quelles sont les raisons qui poussent les uns à rechercher la compagnie de leurs semblables et les autres à la fuir ? Quel manque creusent en nous le départ et l'absence des êtres aimés, ce vide qui sera l'ombre de nos vies ?
Dans la Toscane du XIXe siècle, autour de Montechiarro, Gioacchino Bruchola et Domenico Della Rocca suivent, sur le fil rouge de l'absence, deux parcours aussi différents que possibles, mais qui auront leurs points de rencontres, de vie, d'amour et de mort. Anges ou fantômes, quelques femmes nourriront leurs inquiétudes et les pousseront toujours plus loin sur la voie d'une éducation sentimentale qui prendra la forme de leur destin. Arianna et son secret englouti ; Laetitia, disparue après avoir mis au monde Domenico et affolé Gioacchino ; Alicia, frêle messagère rédemptrice
Un siècle plus tard, dans une Venise dénaturée par le tourisme, Baptiste Morgan, jeune écrivain inconnu, connaîtra à son tour l'initiation de l'art, de l'amour et du deuil, sous la houlette d'un Asmodée Edern toujours aussi mystérieux. Il relira et reliera les récits anciens de ces familles qu'il n'a pas connues, et dont son écriture, seule, assurera peut-être la pérennité.
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L'empreinte de toute chose
Elizabeth Gilbert
Calmann-Lévy
EAN : 9782702153543
Format : 230x150 mm
616 pages
Parution : 5 février 2014
Prix conseillé : 21.90 euros
Quatrième de couverture
Alma Whittaker naît avec le XIXe siècle, à Philadelphie, d’un père anglais dont le talent de botaniste et la roublardise lui ont permis de faire fortune dans le commerce du quinquina et d’une mère qui tient de sa famille de l’Hortus Botanicus d’Amsterdam une formidable érudition ainsi qu’une rigueur toute hollandaise.
À leurs côtés et au contact des éminents chercheurs qui gravitent autour d’eux, Alma acquiert une intelligence éclectique et la passion de la botanique. En grandissant, elle se passionne pour les mousses puis pour Ambrose Pike, illustrateur de génie. Comme elle, il cherche à percer les secrets de l’univers mais, à la logique scientifique d’Alma, il préfère une pensée ésotérique ; un fossé qui les éloignera inexorablement et poussera enfin Alma à partir à la découverte du vaste monde. Alors que les terra incognita s’amenuisent de jour en jour, Alma explore les continents, la nature, la société dans laquelle elle vit et son propre corps – de l’infiniment grand à l’infiniment petit.
Des bas-fonds de Londres en passant par Philadelphie, Tahiti ou les cimes des Andes, Elizabeth Gilbert nous raconte le siècle kaléidoscopique qui voit jaillir l’esprit des Lumières. Sa plume est vive, insolente, savante et non dénuée de romantisme : à l’image de son héroïne.
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À leurs côtés et au contact des éminents chercheurs qui gravitent autour d’eux, Alma acquiert une intelligence éclectique et la passion de la botanique. En grandissant, elle se passionne pour les mousses puis pour Ambrose Pike, illustrateur de génie. Comme elle, il cherche à percer les secrets de l’univers mais, à la logique scientifique d’Alma, il préfère une pensée ésotérique ; un fossé qui les éloignera inexorablement et poussera enfin Alma à partir à la découverte du vaste monde. Alors que les terra incognita s’amenuisent de jour en jour, Alma explore les continents, la nature, la société dans laquelle elle vit et son propre corps – de l’infiniment grand à l’infiniment petit.
Des bas-fonds de Londres en passant par Philadelphie, Tahiti ou les cimes des Andes, Elizabeth Gilbert nous raconte le siècle kaléidoscopique qui voit jaillir l’esprit des Lumières. Sa plume est vive, insolente, savante et non dénuée de romantisme : à l’image de son héroïne.
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La princesse et le pêcheur
Minh Tran Huy
Actes Sud
Août, 2007
11,5 x 21,7
192 pages
ISBN 978-2-7427-6953-7
prix indicatif : 18, 30€
Quatrième de couverture
Jamais un conte n'est vraiment innocent, ni tout à fait dénué de cruauté. En la personne de Nam, jeune Vietnamien depuis peu réfugié en France, la narratrice croit reconnaître le prince charmant. Ils sympathisent, se revoient, se confient, s'inventent un territoire secret. Mais quelque chose éloigne les gestes de l'amour : le beau garçon la traite comme une petite sœur.
A quelque temps de là, elle accompagne ses parents au Vietnam, où ils retournent pour la première fois. Devant elle, née en France, élevée et protégée comme une fille unique, le rideau se déchire. Les secrets affleurent, les rencontres dévoilent les tragédies qu'ont connues les siens. Que Nam a laissées derrière lui, peut-être...
La Princesse et le Pêcheur dessine une vietnamité aussi réelle qu'impartageable, un pays immatériel que Minh Tran Huy imprègne d'une fausse candeur toute de retenue, qui cache une mélancolie profonde. Elle y inscrit la présence de l'ami si difficile à retrouver, parce que l'Histoire est passée par là. Ou simplement le temps. Plus violent que les contes...
prix indicatif : 18, 30€
Quatrième de couverture
Jamais un conte n'est vraiment innocent, ni tout à fait dénué de cruauté. En la personne de Nam, jeune Vietnamien depuis peu réfugié en France, la narratrice croit reconnaître le prince charmant. Ils sympathisent, se revoient, se confient, s'inventent un territoire secret. Mais quelque chose éloigne les gestes de l'amour : le beau garçon la traite comme une petite sœur.
A quelque temps de là, elle accompagne ses parents au Vietnam, où ils retournent pour la première fois. Devant elle, née en France, élevée et protégée comme une fille unique, le rideau se déchire. Les secrets affleurent, les rencontres dévoilent les tragédies qu'ont connues les siens. Que Nam a laissées derrière lui, peut-être...
La Princesse et le Pêcheur dessine une vietnamité aussi réelle qu'impartageable, un pays immatériel que Minh Tran Huy imprègne d'une fausse candeur toute de retenue, qui cache une mélancolie profonde. Elle y inscrit la présence de l'ami si difficile à retrouver, parce que l'Histoire est passée par là. Ou simplement le temps. Plus violent que les contes...
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Une auteure que j'aime beaucoup, je n'ai pu faire autrement que d'ajouter à ma collection :
La nonne et le brigand
Frédérique Deghelt
Actes Sud
Janvier, 2011
10,0 x 19,0
416 pages
ISBN 978-2-7427-9471-3
prix indicatif : 23, 20€
prix indicatif : 23, 20€
Quatrième de couverture
En reposant le recueil, elle effleura une couverture de cuir, crut d’abord qu’il s’agissait d’un carnet de correspondance mais ne put s’empêcher de l’ouvrir. C’était l’emballage d’un cahier dont les pages étaient couvertes d’une petite écriture ronde presque enfantine. Je ne savais pas ce que c’était l’amour, je ne savais rien de ce qui nourrit et dévaste, alors sans ce savoir je n’étais qu’une petite chose lancée sur les routes et sans arme pour affronter la vie.
Il n’y avait que cette phrase sur la première page, écrite à l’encre bleue, presque délavée. Lysange eut comme le sentiment que ces phrases s’adressaient directement à elle et cela lui ôta tout scrupule pour commencer à lire ce qui avait tout l’air d’être un journal de bord.
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En reposant le recueil, elle effleura une couverture de cuir, crut d’abord qu’il s’agissait d’un carnet de correspondance mais ne put s’empêcher de l’ouvrir. C’était l’emballage d’un cahier dont les pages étaient couvertes d’une petite écriture ronde presque enfantine. Je ne savais pas ce que c’était l’amour, je ne savais rien de ce qui nourrit et dévaste, alors sans ce savoir je n’étais qu’une petite chose lancée sur les routes et sans arme pour affronter la vie.
Il n’y avait que cette phrase sur la première page, écrite à l’encre bleue, presque délavée. Lysange eut comme le sentiment que ces phrases s’adressaient directement à elle et cela lui ôta tout scrupule pour commencer à lire ce qui avait tout l’air d’être un journal de bord.
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Découverte en lecture à l'Intime festival cette année, dans le but de combler une lacune, j'ai craqué pour deux livres d'Annie Ernaux.
Première parution en 1983
Collection Blanche
Gallimard
Parution : 04-01-1984
120 pages
«Enfant, quand je m'efforçais de m'exprimer dans un langage châtié, j'avais l'impression de me jeter dans le vide.
Une de mes frayeurs imaginaires, avoir un père instituteur qui m'aurait obligée à bien parler sans arrêt en détachant les mots. On parlait avec toute la bouche.
Puisque la maîtresse me "reprenait", plus tard j'ai voulu reprendre mon père, lui annoncer que "se parterrer" ou "quart moins d'onze heures" n'existaient pas. Il est entré dans une violente colère. Une autre fois : "Comment voulez-vous que je ne me fasse pas reprendre, si vous parlez mal tout le temps !" Je pleurais. Il était malheureux. Tout ce qui touche au langage est dans mon souvenir motif de rancœur et de chicanes douloureuses, bien plus que l'argent.»
Parution : 04-01-1984
120 pages
«Enfant, quand je m'efforçais de m'exprimer dans un langage châtié, j'avais l'impression de me jeter dans le vide.
Une de mes frayeurs imaginaires, avoir un père instituteur qui m'aurait obligée à bien parler sans arrêt en détachant les mots. On parlait avec toute la bouche.
Puisque la maîtresse me "reprenait", plus tard j'ai voulu reprendre mon père, lui annoncer que "se parterrer" ou "quart moins d'onze heures" n'existaient pas. Il est entré dans une violente colère. Une autre fois : "Comment voulez-vous que je ne me fasse pas reprendre, si vous parlez mal tout le temps !" Je pleurais. Il était malheureux. Tout ce qui touche au langage est dans mon souvenir motif de rancœur et de chicanes douloureuses, bien plus que l'argent.»
Première parution en 1987
Collection Folio (n° 2121), Gallimard
Parution : 12-01-1990
112 pages
L'avis de l'éditeur
Annie Ernaux s'efforce ici de retrouver les différents visages et la vie de sa mère, morte le 7 avril 1986, au terme d'une maladie qui avait détruit sa mémoire et son intégrité intellectuelle et physique. Elle, si active, si ouverte au monde. Quête de l'existence d'une femme, ouvrière, puis commerçante anxieuse de «tenir son rang» et d'apprendre. Mise au jour, aussi, de l'évolution et de l'ambivalence des sentiments d'une fille pour sa mère : amour, haine, tendresse, culpabilité, et, pour finir, attachement viscéral à la vieille femme diminuée.
«Je n'entendrai plus sa voix... J'ai perdu le dernier lien avec le monde dont je suis issue.»
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Autre auteure belge dont j'ai envie de relire sa plume
Ariane Lefort
Comment font les autres ?
Cadre rouge
144 pages
Parution mai 1994
11.20 € TTC
L'avis de l'éditeur
On lui disait toujours : « Ton visage expressif, c’est ça qui te rend jolie, tes yeux pleins d’étonnement, tes cheveux dans tous les sens, ta bouche qui parle tout le temps… »
Elle, honteuse, pensait secrètement : « Je ne pourrai donc jamais plonger dans la quiétude qu’on m’offre, dans la détente. Si je m’écoutais je creuserais un trou pour m’enfoncer en terre, mon corps me fait horreur : toute cette chair et ces formes, les veines les trous, les bosses. Dieu du ciel… N’être plus qu’une âme et puis c’est tout. Oui, une âme légère et volatile qui se promène seule en n’ayant besoin de rien, pas de cul pour s’asseoir. »
Et puis Ruben est arrivé. Les hésitations d’Estelle se sont muées en certitudes, ses fesses en deux petites collines, sa détresse en plénitude. Elle avait enfin trouvé sa place, sa raison d’être. Oui, Ruben était magistral. Mais lui de se demander, la trouille au ventre : vais-je, cette fois, tenir la distance ?
Bon Dieu, comment font les autres ?
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Balzac et la petite tailleuse chinoise
Dai Sije
Un auteur que j'apprécie beaucoup également.
Parution : 05-09-2001
240 pages
108 x 178 mm
Achevé d'imprimer : 20-08-2001
Achevé d'imprimer : 20-08-2001
ISBN : 9782070416806
«Nous nous approchâmes de la valise. Elle était ficelée par une grosse corde de paille tressée, nouée en croix. Nous la débarrassâmes de ses liens, et l'ouvrîmes silencieusement. À l'intérieur, des piles de livres s'illuminèrent sous notre torche électrique ; les grands écrivains occidentaux nous accueillirent à bras ouverts : à leur tête, se tenait notre vieil ami Balzac, avec cinq ou six romans, suivi de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol, Dostoïevski, et quelques Anglais : Dickens, Kipling, Emily Brontë... Quel éblouissement !
Il referma la valise et, posant une main dessus, comme un chrétien prêtant serment, il me déclara :
- Avec ces livres, je vais transformer la Petite Tailleuse. Elle ne sera plus jamais une simple montagnarde.»
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Jamais lue non plus, mais l'occasion était trop belle
Victoria HISLOP
528 pages
Date de parution:
17/04/2013
Langue:
Français
Prix 7.90
RÉSUMÉ
L’été s’achève à Plaka, un village sur la côte nord de la Crète. Alexis, une jeune Anglaise diplômée d’archéologie, a choisi de s’y rendre parce que c’est là que sa mère est née et a vécu jusqu’à ses dix-huit ans. Une terrible découverte attend Alexis qui ignore tout de l’histoire de sa famille : de 1903 à 1957, Spinalonga, l’île qui fait face à Plaka et ressemble tant à un animal alangui allongé sur le dos, était une colonie de lépreux... et son arrière-grand-mère y aurait péri. Quels mystères effrayants recèle cette île que surplombent les ruines d’une forteresse vénitienne ? Pourquoi, Sophia, la mère d'Alexis, a-t-elle si violemment rompu avec son passé ? La jeune femme est bien décidée à lever le voile sur la déchirante destinée de ses aïeules et sur leurs sombres secrets... Bouleversant plaidoyer contre l'exclusion, L'Île des oubliés, traduit dans vingt-cinq pays et vendu à plus de deux millions d'exemplaires, a conquis le monde entier.
Le fil des souvenirs
Le livre de poche
Date de parution: 07/05/2014Editeur d'origine: First Éditions
576 pages
Isbn 9782253178101
Prix : 8.10 eurosRÉSUMÉ
1917, Thessalonique. Le jour de la naissance de Dimitris, un terrible incendie détruit la ville. Sa famille doit déménager dans les quartiers populaires. C’est là aussi que viennent s’installer des réfugiés turcs quelques années après. Parmi eux, Katherina. Le destin réunit les deux enfants, l’un héritier d’un empire textile, l’autre couturière prodige. Ensemble, ils seront les témoins d’une Grèce tourmentée, de l’occupation allemande aux révolutions civiles et à la dictature, qui défigureront leur cité autrefois multiethnique et fraternelle. Presque un siècle plus tard, de quels secrets sont-ils les gardiens ? Comment les transmettre avant qu’il ne soit trop tard ? Le temps est venu de dérouler le fil de leurs souvenirs…
Dans la digne ligne de L’Île des oubliés, best-seller vendu à plus de 2 millions d’exemplaires dans le monde, une édifiante leçon de mémoire… Deux romans seulement et déjà un « style Hislop ». M. de Tilly, Le Point.
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L'occasion de découvrir un auteur que je ne connais pas du tout et de me faire ma petite idée.
Michel Bussi
Ne lâche pas ma main
Date de parution : 7 Mai 2014
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
EAN 9782266244381
Résumé
Un couple d'amoureux dans les eaux turquoise de l'île de La Réunion.
Farniente, palmiers, soleil.
Un cocktail parfait.
Pourtant, le rêve tourne court. Quand Liane disparaît de l'hôtel, son mari, Martial, devient le coupable idéal. Désemparé, ne sachant comment prouver son innocence, il prend la fuite avec leur fille de six ans. Pour la police, cela sonne comme un aveu : la course-poursuite, au coeur de la nature luxuriante de l'île, est lancée.
« Bussi développe tout son talent en suspense et en personnage à fendre l'âme. »Le Point
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Un couple d'amoureux dans les eaux turquoise de l'île de La Réunion.
Farniente, palmiers, soleil.
Un cocktail parfait.
Pourtant, le rêve tourne court. Quand Liane disparaît de l'hôtel, son mari, Martial, devient le coupable idéal. Désemparé, ne sachant comment prouver son innocence, il prend la fuite avec leur fille de six ans. Pour la police, cela sonne comme un aveu : la course-poursuite, au coeur de la nature luxuriante de l'île, est lancée.
« Bussi développe tout son talent en suspense et en personnage à fendre l'âme. »Le Point
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Pour terminer l'occasion de combler une énorme lacune
Daniel Pennac
Le tout pour 2 euros je ne pouvais le laisser là....
Poche: 1955 pages
Editeur : Gallimard (20 septembre 2000)
Collection : Folio
Langue : Français
ISBN-10: 2070416046
ISBN-13: 978-2070416042
Dimensions du produit: 18 x 10 x 11 cm
Avis de l'éditeur
Dans la famille Malaussène, je demande la mère... Pioche ! Éternelle amoureuse, celle-ci ne cesse en effet de s'éclipser en compagnie d'amants furtifs, avant de réapparaître, à la fin de chaque roman, invariablement enceinte. Résultat : c'est une tribu sans cesse en extension que doit élever son généreux fils aîné, Benjamin, bouc émissaire de profession. Ses demi-frères et ses demi-soeurs composent un tableau haut en couleur : il y a Thérèse, diseuse de bonne aventure, Jérémy, doué pour les sciences expérimentales, Le Petit, grand amateur d'histoires d'ogres, Clara et ses appareils photographiques, mais aussi Louna, Verdun, et tous ceux qui ne cessent, à mesure que les épisodes s'enchaînent, de grossir les rangs de cette famille turbulente. Il y a encore Julie, l'amante flamboyante et adorée, Julius, le chien épileptique, sans oublier tous les habitants du quartier de Belleville, à Paris. Ces personnages constituent le quotidien un rien original de Benjamin Malaussène, véritable héros de cette saga, emporté, à chaque volume, dans des aventures rocambolesques, au terme desquelles il apprend à se méfier des vieilles dames et des personnes âgées en général, de la célébrité et des images.
Daniel Pennac, auteur de Comme un roman et de Messieurs les enfants, construit ici tout un monde, fondé sur l'absurde et la surprise : il n'hésite pas à jouer avec les codes littéraires, ceux du roman policier en particulier. Sa verve langagière est mise au service d'un style truculent, empli d'un humour et d'une fantaisie que reflètent les illustrations de Tardi (en couverture).
Ce coffret contient toute la saga Malaussène, soit, par ordre chronologique : Au Bonheur des ogres (1985), La Fée Carabine (1987), La Petite Marchande de Prose (1989), Monsieur Malaussène (1995), Des chrétiens et des Maures (1996), et Aux Fruits de la passion (1999). --Nathalie Gouiffès
Dans la famille Malaussène, je demande la mère... Pioche ! Éternelle amoureuse, celle-ci ne cesse en effet de s'éclipser en compagnie d'amants furtifs, avant de réapparaître, à la fin de chaque roman, invariablement enceinte. Résultat : c'est une tribu sans cesse en extension que doit élever son généreux fils aîné, Benjamin, bouc émissaire de profession. Ses demi-frères et ses demi-soeurs composent un tableau haut en couleur : il y a Thérèse, diseuse de bonne aventure, Jérémy, doué pour les sciences expérimentales, Le Petit, grand amateur d'histoires d'ogres, Clara et ses appareils photographiques, mais aussi Louna, Verdun, et tous ceux qui ne cessent, à mesure que les épisodes s'enchaînent, de grossir les rangs de cette famille turbulente. Il y a encore Julie, l'amante flamboyante et adorée, Julius, le chien épileptique, sans oublier tous les habitants du quartier de Belleville, à Paris. Ces personnages constituent le quotidien un rien original de Benjamin Malaussène, véritable héros de cette saga, emporté, à chaque volume, dans des aventures rocambolesques, au terme desquelles il apprend à se méfier des vieilles dames et des personnes âgées en général, de la célébrité et des images.
Daniel Pennac, auteur de Comme un roman et de Messieurs les enfants, construit ici tout un monde, fondé sur l'absurde et la surprise : il n'hésite pas à jouer avec les codes littéraires, ceux du roman policier en particulier. Sa verve langagière est mise au service d'un style truculent, empli d'un humour et d'une fantaisie que reflètent les illustrations de Tardi (en couverture).
Ce coffret contient toute la saga Malaussène, soit, par ordre chronologique : Au Bonheur des ogres (1985), La Fée Carabine (1987), La Petite Marchande de Prose (1989), Monsieur Malaussène (1995), Des chrétiens et des Maures (1996), et Aux Fruits de la passion (1999). --Nathalie Gouiffès