dimanche 27 janvier 2013

Tom petit Tom tout petit homme Tom Barbara Constantine *****

Tom 
petit Tom
tout petit homme
Tom               de Barbara Constantine


Couverture du livre Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom




Résumé :

Tom a onze ans. Il vit dans un vieux mobile home avec Joss, sa mère (plutôt jeune : elle l'a eu à treize ans et demi). Comme Joss adore faire la fête et partir en week-end avec ses copains, Tom se retrouve souvent seul. Et il doit se débrouiller. Pour manger, il va chaparder dans les potagers voisins... Mais comme il a peur de se faire prendre et d'être envoyé à la Ddass (sa mère lui a dit que ça pouvait arriver et qu'elle ne pourrait rien faire pour le récupérer), il fait très attention. Un soir, en cherchant un nouveau jardin où faire ses courses, il tombe sur Madeleine (quatre-vingt-treize ans), allongée au milieu de ses choux, en larmes parce qu’elle n’arrive pas à se relever. Elle serait certainement morte, la pauvre vieille, si le petit Tom n'était pas passé par là...


Ma critique :


Tom a 11 ans, sa maman Joss avait 13 ans lorsqu'il est né. Ils vivent dans un mobilhome, ils ne sont pas riches. Tom est souvent livré à lui même, il chaparde dans les jardins pour manger à sa faim, il prend le nécessaire où il y en a de trop comme il dit. C'est le roi de la débrouillardise et peut-être le plus mature des deux car Joss sa mère préfère faire la fête et le laisse souvent seul.

Un jour il rencontre Madeleine 93 ans. Elle est tombée dans le jardin où il voulait chaparder et est incapable de se relever. Tom a bon coeur et va l'aider, la ramener chez lui en brouette. Pendant que Madeleine va se faire soigner, il prend soin du vieux chien et du vieux chat et va cultiver le potager, s'occuper de la maison. Un petit homme en fait.

Va alors se nouer un sympathique lien entre ces générations. Tom ne veut pas en parler à sa maman,alors il voit Madeleine en cachette.

 Il rencontre également Samy, un copain de sa mère, entre-eux va se nouer une relation privilégiée. Mais qui est-il ? Et ce n'est pas tout.. 

Joss en a marre, depuis quelle est ado, on ne la regarde que pour sa forte poitrine, elle fait un 100 D et toujours les hommes ne la voient qu'à travers ses seins, elle veut se faire opérer pour qu'enfin on regarde ses yeux, qu'on l'aime pour elle vraiment.. 

Un livre bien sympathique, une petite respiration, se lit très vite sans réfléchir pour se vider la tête. 

C'est après avoir lu "Et puis Paulette" (4ème ouvrage de la fille d'Eddy Constantine) cet été que j'ai découvert la plume de Barbara Constantine. Un style agréable, frais qui déjà faisait vivre ensemble les différentes générations. Ce mariage entre les jeunes et les vieux, cette symbiose parfaite.

Tom petit Tom tout petit homme Tom est son deuxième roman, il fut primé en 2010 par le prix Charles Exbrayat. A lire absolument si vous avez besoin d'une respiration, d'une trêve, d'un moment de fraîcheur, de bonne humeur, de tendresse et d'amour..

C'est plein d'humour, de réalisme, une belle leçon de vie pour notre débrouillard petit homme qui a un coeur grand très grand.

Lecture à conseiller également à un public d'ado.



Barbara Constantine a publié 4 romans chez Calmann-Lévy :

- Allumer le chat en 2007 
- A Mélie, san mélo en 2008
- Tom petit Tom tout petit homme Tom  2010
- Et puis Paulette  2012 

Extrait :

"Il a cassé un premier petit carré, l'a regardé de tous les côtés, l'a humé longuement, et enfin, l'a glissé dans sa bouche. C'était clair. Il se rappellerait toujours ce moment.  Il a fermé les yeux, a laissé fondre sur sa langue la mince couche de chocolat, et quand il a senti poindre l'arôme et la texture de la framboise, il a poussé un très très long soupir.  Ah la vache...c'est trop bon..."






jeudi 24 janvier 2013

Des noeuds d'acier Sandrine Collette *****

Des Noeuds d'acier

Sandrine Collette













Editeur DENOEL  Collection Sueurs Froides                isbn 978.2.20711390.5


Sandrinne Collette    Des Noeuds d'acier




La prison n'avait pas réussi à le briser. Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ??


Théo sort de prison après y avoir passé 19 mois pour avoir rendu Max son frère tétraplégique. C'était un accident. Théo a un amour : Lil.  Faut le comprendre, il n'a pas supporté que son frère couche avec sa femme, alors il a frappé et ce qui est arrivé,  est arrivé.  Mais il a payé Théo, 19 mois en prison, oui il a payé, il en a bavé de la violence carcérale et il n'en veut plus dit-il.  Sauf qu'en sortant de prison, au lieu d'aller directement retrouvé sa Lil, il a préféré rendre une visite dans la résidence de son frère pour le narguer, constater qu'il était devenu un légume sans défense, dépendant et mourant à petit feu, il jubile, il ne regrette rien.  Théo était interdit de périmètre et on constate sa présence, il s'échappe précipitamment, se sentant poursuivi, il part au milieu de nulle part.

C'est comme cela qu'il arrive chez Mme Mignon, qui tient une chambre d'hôtes au milieu de nulle part.  Il essaie de se faire oublier et se met à faire de la randonnée.  Un jour, il part sur les conseils de Madame Mignon faire une rando qui n'est pas indiquée sur la carte, pour y voir des paysages magnifiques,  et là tout bascule.

Il est au milieu de nulle part, et rencontre un vieux qui le tient en joue  dans un premier temps, il lui propose ensuite un café.  Et il se réveille enchaîné, dans le noir, dans une cave en compagnie de Luc.
Luc est là depuis 8 ans.  Le cauchemar commence...

Basile et Joshua sont 2 frères, ils occupent la maison et sont vraiment au bord du délire et de la folie.

Sandrine Collette, dont c'est le premier roman, nous emmène vraiment dans un huis clos haletant, dont l'horreur et l'angoisse progresse crescendo au fil des pages.  Impossible de déposer le livre, on a vraiment envie de savoir ce qui arrivera à Théo Béranger.  Il y a des moments d'espoir, où l'on se dit , ok il va s'en sortir et on repart de plus belle jusqu'au bout dans un magnifique suspense.

C'est pourtant au bord de l'inhumanité, rempli de tyrannie, de bestialité mais quelle plume... Ces 2 alcooliques, psychopathes nous amènent à des réflexions sur la violence, la folie.

Est également présent le questionnement sur les blessures d'enfant de Théo, la perte de sa mère très jeune, ce manque, les relations difficiles avec son frère et son père dont il avait peur.

Comment on peut s'accrocher à la vie, s'abandonner et accepter de devenir le chien de l'autre, de perdre sa dignité.

A lire sans plus attendre.

Merci à Thomas de My Boox, et son concours avec les éditions Denoël de m'avoir permis de découvrir un registre que je ne connaissais pas, de me donner envie encore et encore de découvrir et partager des auteurs avec vous.



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Quelques phrases marquantes du livre

-"Il faut que je ravale ma dignité. Même si ça passe mal."

-"Il n'y aura plus de fierté, plus rien. Juste le sentiment extrême de vivre, de tenir, de continuer."

-"Je sais depuis longtemps que la souffrance épuise. Ce que je ne sais pas, c'est si on peut en mourir."

-"On lui a dit c'est bien, le chien.  Tu vois comment c'est un chien? Aux ordres de son maître. Quand on  lui dit de faire quelque chose, il le fait. Après il se couche dans un coin et il n'emmerde personne. Voilà."

-"La terre m'attire d'une façon indéfinissable, peut-être parce que c'est la seule certitude que j'ai ; qu'un jour j'y retournerai;"

-"Jamais le lien entre le corps et l'esprit ne m'était apparu avec autant de force, jamais je n'aurai cru qu'il suffisait d'anéantir le premier pour que le second s'éteigne lui aussi.  Pour moi la force mentale primait sur tout, il suffisait de vouloir; tout cela était bon à jeter aux oubliettes. Quand on a plus la force de rien, qu'est ce qui peut encore nous sauver?"

-"Nul besoin d'un miroir : mes doigts suffisent à me renvoyer une image terrifiante.  Je ne suis plus qu'un reste d'humanité. Une entité qui ne pense qu'à manger, boire et dormir, à éviter les coups, et à se relever le lendemain.  Les vieux avaient raison. Je ne vaux pas beaucoup plus qu'un chien.  Je ne suis même pas affectueux. Je suis de la race de ces bêtes galeuses qu'on attache au bout d'une chaîne et que personne ne veut plus caresser.  Ce que je suis devenu c'est aux vieux que je le dois.  Toute  ma souffrance et toute ma déchéance, ce sont eux qui les ont faites. J'espère de toutes mes forces qu'il existe quelque chose au delà qui pourra me venger. Au nom de la haine qui me sera restée jusqu'au bout, même sans force, et sans volonté.  Un peu de justice."

-"Tout cet équilibre entre la vie et la mort tenait à un fil.  Je ne voulais pas le rompre en basculant d'un côté ou de l'autre."


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lundi 21 janvier 2013

A venir grâce à Thomas de

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Je commence la lecture , à suivre ....




Couverture du livre Des noeuds d'acier  Image par défaut


Noeuds d'acier de Sandrine Collette
L’univers de la prison n’a pas réussi à le briser. Deux vieux retirés du monde vont-ils y parvenir ?
 
Théo Béranger sort de prison. Dix-neuf mois de rapports humains violents et âpres, qu’il a passés concentré sur un seul objectif : sa libération. Son errance le mène au fin fond de la France, dans une région semi-montagneuse couverte d’une forêt noire et dense. Là, kidnappé par deux frères déments, il va replonger en enfer. Un huis clos implacable, où la tension devient insoutenable.

 
Sandrine Collette est née en 1970. Docteur en science politique, elle partage son temps entre l’université de Nanterre et le Morvan. Des nœuds d’acier est son premier roman.

dimanche 20 janvier 2013

Les lisières *** Olivier Adam

Ma critique 

Mes impressions

Voilà, je termine enfin "Les lisières" d'Olivier Adam. C'est le premier livre que je lis de cet auteur.  Je suis partagée, j'ai mis du temps à le lire, je n'ai pas voulu l'abandonner, et j'ai bien fait.
J'ai aimé l
e style, ces phrases longues, kilométriques parfois qui dressaient les réalités de la vie, mais par moment cela me déroutait, me lassait, je ne voyais pas toujours où l'auteur voulait m'emmener, pourquoi tout ça, des descriptions qui m'éloignaient et me faisaient perdre le fil du sujet.  Qui m'emmenaient ailleurs, je ne savais plus pourquoi il racontait tout cela, mais à d'autres moments j'aimais ce réalisme, un certain humour avec un clin d'oeil à l'actualité du moment, les livres, films, chanteurs, le tour de France....., cette vision de notre société. 
Peut-être n'était ce pas le meilleur moment pour moi pour lire ce livre qui m'a demandé beaucoup d'attention, mais une chose est certaine il ne m'a pas laissé indifférente et me donne envie de lire autre chose de l'auteur?

L'histoire.

On fait connaissance avec Paul écrivain qui vient de se faire larguer et qui impuissant observe sa famille, ses enfants, sa femme, il aimerait tellement tout recommencer. Il a un frère qui est vétérinaire.
Sa mère est hospitalisée, il faut qu'il retourne chez lui, dans la maison de son enfance pour une dizaine de jours, il redoute de se retrouver dans cet environnement.  Il a quitté son milieu social peu élevé (son père était éboueur, sa mère au foyer).  Ils vivaient en banlieue parisienne dans un petit pavillon.  Paul a toujours étouffé là bas. Il va se replonger dans son enfance, retrouver ses copains voir ce que chacun est devenu, et de plus en plus il va se sentir étranger à ce milieu qu'il a complètement quitté, il est passé de l'autre côté.. c'est comme cela. 

Il a toujours ressenti un mal être, et n'a de souvenirs que depuis 10 ans.  Pourquoi??  Il va essayer de le savoir en remontant dans ses souvenirs.  Ses parents n'ont jamais été très expansifs, surtout son père, sa mère était souvent triste.

Un jour il tombe sur une photo d'un nouveau né en couveuse, qui est-ce??  Est ce le début de la clé de ses problèmes....

On part à la découverte de son histoire, de son passé, de l'influence du comportement de ses parents, des non-dits, de l'absence,  beaucoup de sujet qui nous amène à des réflexions personnelles et sur notre société.



De jolies phrases qui questionnent ou interpellent.


"Cette façon d'affirmer que je n'étais pas fait pour le travail et la vie sociale. Comme si quelqu'un l'était.  Comme si on avait le choix."

"J'y menais une vie hors saison, une vie à la lisière de la vie.  J'avais déserté. On pouvait y voir une forme de courage ou de lâcheté, c'était selon."

"Personne ne sait quand exactement les fissures deviennent des failles, puis se muent en gouffres infranchissables."

"En devenant père j'avais cessé de me battre contre moi-même, la tristesse m'avait quitté, quelque chose s'était apaisé, la Maladie s'était terrée dans un coin, n'émergeant parfois mais ne prenant jamais ses aises, vite résorbées par la vitalité des enfants."

"C'était nulle part mais c'était chez eux pour tant de gens. Ce l'avait été pour moi durant tellement d'années.  C'était nulle part mais c'était partout, à la fois dedans et autour."

"J'avais tout laissé derrière moi et je m'étais planqué là où était ma place, tout au bord, en lisières."

"Voilà, lu avais-je dit.  Je suis un être périphérique.  Et j'ai le sentiment que tout vient de là.  Les bordures m'ont fondé.  Je ne peux jamais appartenir à quoi que ce soit. Et au monde pas plus qu'à autre chose.  Je suis sur la tranche.  Présent, absent.  A l'intérieur, à l'extérieur.  Je ne peux jamais gagner le centre.  J'ignore où il se trouve et s'il existe vraiment.  La périphérie m'a fondé.  Mais je ne m'y sens plus chez moi.  Je ne me sens aucune appartenance nulle part..."


Les lisières Olivier Adam ***

Les lisières   Olivier Adam

Les lisières par Adam 
Les Lisières Entre son ex-femme dont il est toujours amoureux, ses enfants qui lui manquent, son frère qui le somme de partir s'occuper de ses parents « pour une fois », son père ouvrier qui s'apprête à voter FN et le tsunami qui ravage un Japon où il a vécu les meilleurs moments de sa vie, tout semble pousser Paul Steiner aux lisières de sa propre existence. De retour dans la banlieue de son enfance, il va se confronter au monde qui l'a fondé et qu'il a fui. En quelques semaines et autant de rencontres, c'est à un véritable état des lieux personnel, social et culturel qu'il se livre, porté par l'espoir de trouver, enfin, sa place. Dans ce roman ample et percutant, Olivier Adam embrasse dans un même souffle le destin d'un homme et le portrait d'une certaine France, à la périphérie d'elle-même.


Rentrée Littéraire Flammarion 2012 - Interview d'Olivier Adam




Kheti fils du Nil

Une série de 4 albums pour débuter l'année


1. Au-delà des portes  ****


Kheti, fils du Nil, Tome 1 : Au-delà des portes par Mazan     500x660 px - Verso de Kheti, fils du Nil  Au-delà des portes


  • Dethan, Isabelle
  • Mazan
  • Mazan
  • 01/2006
  • 12/2005
  • non coté
  • Delcourt
  • Jeunesse
  • Format normal
  • 2-7560-0065-5
  • 30 


En essayant de rattraper leur chat, Kheti et Mayt se retrouvent dans le monde des dieux. Dans cet endroit, où les hommes et leurs créations n'existent pas, les deux enfants sont chargés d'une importante mission : prévenir la déesse Sekhmet d'un complot qui se trame contre elle. De leur succès dépend l'avenir des Égyptiens, car la déesse retient les eaux du Nil en otage?

Ma lecture 

Kheti, apprenti scribe est entraîné dans le pays des Dieux en suivant Mayt qui poursuit elle  même son chat Miou.  La crue du Nil n'arrive pas.  La déesse Sekhmet est en colère contre l'homme et va provoquer le chaos.  On lui a volé son sceptre.  Qui se cache derrière cela ? La crue du Nil viendra t elle ? 

Un joli graphisme, une belle initiation à l'égyptologie.  On y découvre l'Egypte est ses Dieux de façon amusante grâce à un glossaire qui permet à chacun de s'y retrouver.



2. Le roi des grenouilles   ****


400x550 - Kheti, fils du Nil  Le roi des grenouilles   


  • 68427
  • Dethan, Isabelle
  • Mazan
  • Mazan
  • 09/2007
  • 08/2007
  • non coté
  • Delcourt
  • Jeunesse
  • Format normal
  • 978-2-7560-0330-6


Mayt se fait voler son talisman (qui lui permet le passage au pays des Dieux) par Paneb.  Paneb le fourbe se fait passer pour Kheti, il fait des bêtises.  Il est urgent que Kheti et Mayt récupèrent le talisman pour éviter la colère des Dieux.

Toujours autant de fraîcheur dans ce second tome, on suit avec beaucoup de plaisir nos deux amis Kheti et Mayt.



3. Mémé la momie *****


400x528 - Kheti, fils du Nil  Mémé la momie
  • Dethan, Isabelle
  • Mazan
  • Mazan
  • 02/2009
  • non coté
  • Delcourt
  • Jeunesse
  • Format normal
  • 978-2-7560-1439-5


Résumé de l'album : Mayt pleure sa grand-mère disparue et s'inquiète de la mise en tombeau car Mémé Nehet, pauvre de naissance, ne peut accéder aux formules magiques permettant d'éviter les pièges de l'au-delà. Mayt supplie alors Kheti d'inscrire lesdites formules sur son sarcophage. Les deux inconscients ne se doutent pas qu'ils viennent d'entamer un voyage qui pourrait bien être sans retour.

La grand-mère de Mayt vient de mourir mais sans les formules magiques, elle ne passera pas dans l'autre monde, et risque d'être une âme errante.   Kheti se glisse dans la tombe en compagnie de Mayt pour les inscrire mais la momie se réveille et les voilà coincés au début du voyage vers l'autre monde.

Incontestablement le plus drôle, j'ai adoré, avec beaucoup d'humour, on nous explique les rites funéraires égyptiens.


A suivre....


4. Le Jugement d'Osiris   ****


500x660 - Kheti, fils du Nil  Le Jugement d'Osiris


  • Dethan, Isabelle
  • Mazan
  • Mazan
  • 09/2010
  • non coté
  • Delcourt
  • Jeunesse
  • Format normal
  • 978-2-7560-1501-9

Résumé de l'album : Arrivés au seuil du monde des morts, Kheti et Mayt poursuivent leur long voyage jonché des pièges de l'au-delà. Il leur faut à présent accéder à Osiris, le roi des morts, et le convaincre d'accueillir dignement Mémé Nehet, pour que celle-ci ne devienne pas une âme errante. Mais restera encore pour les deux enfants du Nil à trouver la porte de sortie afin de réintégrer le monde des vivants.

Dernier volet avec le tribunal d'Osiris, la pesée des âmes, nos amis Kheti et Mayt vont-ils retrouver le monde des vivants?

Un peu plus noir mais toujours avec beaucoup d'humour, un graphisme très sympa.  Des personnages attachants, une réelle belle initiation aux rites funéraires égyptiens.