Sarah Berti
Luce Wilquin
Noir Pastel
Parution le 08/05/2015
14 x 20,5 cm
208 pages
ISBN 978-2-88253-504-7
EUR 20.-
Quatrième de couverture
Une silhouette sombre suspendue à une grue, sur un chantier désaffecté, trouble la blancheur du paysage enneigé. Le médecin du village vient d’être assassiné, et Tiziana Dallavera, la jeune policière rebecquoise aux prises avec une histoire passionnelle, reprend du service pour mener l’enquête, dans un hiver glacial.
Rapidement, un autre corps est découvert, et les policiers se lancent à la poursuite d’un étrange tueur en série, avec pour seuls indices une manne abandonnée et des témoignages discordants. Que cache la terrible solitude des victimes ? Quel lien les unit-il donc au-delà du silence ?
Heureusement, Tiziana pourra compter sur son inénarrable famille pour l’aider à démêler le vrai du faux, et plonger avec elle dans les arcanes d’une histoire douloureuse.
Après Le jour du tiramisù et Cappuccino blues, cette troisième enquête de Tiziana Dallavera entremêle les fausses pistes, et seule une plongée dans un passé troublé permettra de lever le voile sur les dérives d’une humanité égoïste.
L'auteur
Sarah Berti est née en 1974. Très tôt, elle se découvre une passion pour les livres et l’écriture.
Lauréate adolescente du Prix Liège Jeunes Auteurs, elle publie ses premiers essais sur l’immigration italienne à l’âge de 26 ans.
Avec « Le Château des Italiens », elle obtient en 2000 le Prix du Parlement de la Communauté française. Elle publie ensuite son premier roman « Un amour ». Suivent deux romans jeunesse dont « Qui a tué Mamie Grababelle » finaliste du Prix Farniente, et un recueil de nouvelles. Textes courts qui lui vaudront une trentaine de prix littéraires.
Mariée , maman d’un petit Célio, elle écrit désormais « quand la vie lui en laisse le temps », et crée la série « Tiziana Dallavera » pour partager sa vision du monde, ancrée dans le village de Rebecq en Brabant wallon, parfumée d’épices italiennes et de tendresse.
ISBN 978-2-88253-504-7
EUR 20.-
Quatrième de couverture
Une silhouette sombre suspendue à une grue, sur un chantier désaffecté, trouble la blancheur du paysage enneigé. Le médecin du village vient d’être assassiné, et Tiziana Dallavera, la jeune policière rebecquoise aux prises avec une histoire passionnelle, reprend du service pour mener l’enquête, dans un hiver glacial.
Rapidement, un autre corps est découvert, et les policiers se lancent à la poursuite d’un étrange tueur en série, avec pour seuls indices une manne abandonnée et des témoignages discordants. Que cache la terrible solitude des victimes ? Quel lien les unit-il donc au-delà du silence ?
Heureusement, Tiziana pourra compter sur son inénarrable famille pour l’aider à démêler le vrai du faux, et plonger avec elle dans les arcanes d’une histoire douloureuse.
Après Le jour du tiramisù et Cappuccino blues, cette troisième enquête de Tiziana Dallavera entremêle les fausses pistes, et seule une plongée dans un passé troublé permettra de lever le voile sur les dérives d’une humanité égoïste.
L'auteur
Sarah Berti est née en 1974. Très tôt, elle se découvre une passion pour les livres et l’écriture.
Lauréate adolescente du Prix Liège Jeunes Auteurs, elle publie ses premiers essais sur l’immigration italienne à l’âge de 26 ans.
Avec « Le Château des Italiens », elle obtient en 2000 le Prix du Parlement de la Communauté française. Elle publie ensuite son premier roman « Un amour ». Suivent deux romans jeunesse dont « Qui a tué Mamie Grababelle » finaliste du Prix Farniente, et un recueil de nouvelles. Textes courts qui lui vaudront une trentaine de prix littéraires.
Mariée , maman d’un petit Célio, elle écrit désormais « quand la vie lui en laisse le temps », et crée la série « Tiziana Dallavera » pour partager sa vision du monde, ancrée dans le village de Rebecq en Brabant wallon, parfumée d’épices italiennes et de tendresse.
Publications :
Romans :
Série des enquêtes de Tiziana Dallavera :
« Le jour du Tiramisu », Editions Luce Wilquin, 2013
« Cappuccino blues», Eds Luce Wilquin, juin 2014
« La vie al dente», Eds Luce Wilquin, mai 2015
Classe Story, Editions Mols, 2004.
Qui a tué Mamie Grababelle ?, Editions Mols, 2002, finaliste du prix Farniente 2004.
Un amour…, Editions Mols, 2001, mention spéciale du jury au Prix Jean Muno 2003.
Recueil de nouvelles :
Casa nostra, Editions Mols, 2008
Essais, ouvrages d’Education Permanente :
Le Château des Italiens, Editions Luc Pire, 2000, Prix du Parlement de la Communauté Française en septembre 2000 (meilleur ouvrage à usage de l’enseignement et de l’éducation permanente mettant en valeur le patrimoine de la Communauté française).
Un aller simple - 50 ans d’intégration italienne à Rebecq, 1996, paru également en langue italienne (« Ce ne andiamo »).
Prix littéraires :
Nouvelles :
Passages, Prix de la Libre Belgique et Prix de la R.T.B.F. au concours de nouvelles organisé pour la Fureur de Lire par la Communauté française en octobre 2000.
Le premier bruit, Troisième prix du Concours international de la nouvelle de Château-Thierry en 2004.
Les trucs vraiment importants, Texte finaliste au Prix Gaston Welter de la Ville de Talange en 2003 et cinquième prix au concours Plume d’Océan 2004 à Saint-Gilles-Croix-de-Vie
Casa nostra, Grand Prix de l'Eau Noire à Couvin en juin 2004, texte publié dans l’anthologie des auteurs du Brabant wallon en 2006. Prix Louis Delattre en septembre 2004
De l’intérêt d’une cravate, Prix de la nouvelle au concours organisé par la Fondation Plisnier et la Maison de la Francité en mars 2004.
L’infini, Premier Prix mention excellence au concours de nouvelles d’Enghien en juin 2004, troisième prix du concours Plume d’Océan 2005 à Saint-Gilles-Croix-de-Vie
Encore un matin, Texte primé à « Ecrivains 20 » à Paris en 2004
Une promesse, Prix de la Maison de la Laïcité au concours Fenelon en Colfontaine en septembre 2005
La Crète et vous toujours vous, Troisième prix du concours de Triel-sur-Seine en octobre 2005
Donner du soleil, Grand prix de la nouvelle de Talant (Dijon, France) en mars 2006, Grand prix de la Nouvelle de la Semaine du Goût à Lausanne en octobre 2007
Libre, Premier prix Le livre et le plume à Villeneuve-sur-Yonne (France) en mai 2006
Comme un cadeau, Grand Prix Haut-Rhinois de la Nouvelle à Colmar en mai 2006
Maternité, Grand Prix des Bibliothèques de l’Ouest du Brabant wallon en novembre 2006, 1er prix d’honneur au Prix Gaston Welter à Talange (France) en novembre 2006
Ensemble, Grand prix de littérature policière de la Police de la Ville de Liège en septembre 2006
Le chemin de proie, Grand prix de littérature policière de la Police de la Ville de Liège en septembre 2007
Seul compte le chemin, Finaliste du prix Bayard Presse en octobre 2009
Dans le ciel et seulement là, 1er prix au concours littéraire de Tarascon sur Ariège en août 2009 et 1er prix au concours littéraire de Fontaine Française en octobre 2009
Galère et compagnie, 2ème prix au concours de nouvelles de l’Encrier Renversé et de la Ville de Castres en décembre 2009
Dans un cocon triste, 1er prix au concours B.S.I.P. Mairie de Paris en avril 2010
Quarante et une aubes, Prix au Concours Chaloupes de Honfleur en avril 2010
Un vélo, la pluie et ma maman bien sûr, 1er prix au Concours de la Bibliothèque d’Antoing en 2010
Les rosiers n’aiment pas l’eau de Javel, Grand prix de littérature policière de la Ville de Liège en septembre 2010
Quand je serai grand, 1er prix Toreria en février 2012
Roman jeunesse :
Bourse littérature de jeunesse de la Communauté française en décembre 2006 pour Mes yeux plus grands que le ventre.
Théâtre :
Grand Prix des Bibliothèques de l'Ouest du Brabant wallon pour la pièce de théâtre Chimères en octobre 2004
Poésie :
Prix Liège Jeunes Auteurs (poésie) en mai 1990
source ; son blog
Son blog et ses recettes
A découvrir absolument pour tout connaître sur la série et surtout pour vous régaler car elle partage les bonnes recettes italiennes, un coin de soleil.
C'est ici que cela se passe
Mon avis
Tiziana Dallavera, est une jeune policière à Rebecq -petite commune du Brabant Wallon - en Belgique.
Je découvre le personnage qui est pourtant déjà à sa troisième enquête, et cela ne pose aucun problème de lecture.
Tiziana reçoit un appel de son amie Barbara, une jolie blonde aux allures de top model , style Barbie (c'est son surnom d'ailleurs) qui exerce une fonction oh combien masculine celle de responsable du service travaux de la commune. Elle vient en faisant une ronde sur un chantier de découvrir un pendu. Il s'agit du Docteur Léonard, bien connu dans la bourgade. Un médecin en fin de carrière, sans histoire. Très vite, la thèse du suicide est écartée, on se dirige vers un meurtre car notre pendu été mis en scène, enchaîné au sommet d'une grue. L'équipe de l'antenne de police locale, plus habituée à la police de proximité va mener l'enquête, d'autant plus que peu de temps après c'est le corps du pharmacien qui est retrouvé sur les rails du chemin de fer touristique de l'entité...
L'affaire se corse, un tueur en série sévit dans ce petit village tranquille. Nous voici emporté par l'enquête et la petite équipe du commissariat : le commissaire Desquières, l'inspecteur Chevalier, la boulimique Grevêche et un petit nouveau as de l'informatique : August Hernalsteen.
J'ai adoré suivre le fil de cette enquête. Une belle écriture qui s'attache à la vie des gens. Que ce soit la petite équipe du commissariat, la vie de la communauté, la famille attachante et envahissante de Tiziana, beaucoup d'humanité et d'humour. Un regard sur notre société avec des yeux féminin; la place de la femme, le regard et les préjugés notamment sur Barbara pin up sexy directrice de chantier, le machisme de Lorenzo...
J'ai adoré être transportée dans un petit coin d'Italie en retrouvant la chaleur et l'envahissement de la famille de Tiziana, la nonna, le frère, cette solidarité familiale mais surtout la cuisine italienne, oh combien présente. La nourriture ayant une place à part entière dans le récit. On a les papilles gustatives en éveil, on salive à la description de la bonne cuisine du sud. Et surtout on peut prolonger le concept en se dirigeant sur le site de Sarah Berti qui nous livre quelques recettes savoureuses.
L'intrigue est excessivement bien construite, on avance lentement en laissant une place prioritaire aux gens, aux amours de Tiziana, l'humain est vraiment au coeur du récit avec beaucoup d'humour aussi, tout simplement la vie à saisir al dente.
Une très belle découverte qui me donne envie de découvrir les enquêtes précédentes. Merci à Luce Wilquin pour cette jolie découverte.
Ma note : 9/10
Les jolies phrases
Emilie n'avait rien su pendant toutes ces années, elle avait porté sa mère en son coeur et sa vie, comme une fleur délicate à protéger du monde.
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