La série complète de 43. rue du Vieux Cimetière (5 au total) et la suite de Tom Gates
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Oui mais la mienne de PAL ??
Un nouveau partenariat avec Rouergue Editions me vaut 3 petits nouveaux de la rentrée, je ne vous en dis pas plus. Parutions 20/08 et 03/09, les avis et infos complémentaires à la parution
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Un partenariat avec Luce Wilquin
A l'abri des regards Anne-Frédérique Rochat
parution 22/08/2014
Quatrième de couverture
Mardi cinq janvier. Les fêtes de fin d’année sont passées. Anaïs, mère de deux petites filles, est épuisée, elle ne parvient plus à faire semblant, à s’arranger pour faire croire aux autres, ainsi qu’à elle-même, que tout va bien, que sa vie lui convient. Elle décide de quitter son foyer pour quelque temps, afin de prendre un peu de recul, et se ressourcer. Quand on se perd, on devient égoïste, on ne pense plus qu’à soi, à sa survie : se retrouver, se retrouver en vie. Elle loue une chambre aux murs rouges chez Basile, un homme d’une soixantaine d’années passionné par la taxidermie ; au fil des jours, des liens très forts vont se nouer entre eux.
Neuf mois dans l’intimité d’êtres bousculés par la vie
Quatre voix pour raconter une existence blessée
La petite musique d’Anne-Frédérique Rochat
Evelyne Heuffel
264 pages
ISBN 978-2-87586-037-8
19x11,5 cm
1993. Une lettre de Nacha m’invite à la rejoindre à Real de Catorce, un village mythique perdu dans le désert de San Luis Potosi. Ma réponse m’est retournée : adresse inconnue.
Nacha…
Elle gardait parfois ma petite fille, quand j’habitais à Mexico, il y a longtemps. Une femme fantasque dont la mère, racontait-elle, avait été recueillie par un lieutenant de Pancho Villa lors de la prise de Zacatecas, en 1914. Une Mexicaine qui vivait à travers les héros de ses romans préférés, et revivait sans cesse son film fétiche, L’Année dernière à Marienbad. Une fille du peuple qui disait avoir été poignardée dans le dos et porter un trait noir sur l’âme.
2004. Les histoires de Nacha me hantent : je pars la retrouver.
Mardi cinq janvier. Les fêtes de fin d’année sont passées. Anaïs, mère de deux petites filles, est épuisée, elle ne parvient plus à faire semblant, à s’arranger pour faire croire aux autres, ainsi qu’à elle-même, que tout va bien, que sa vie lui convient. Elle décide de quitter son foyer pour quelque temps, afin de prendre un peu de recul, et se ressourcer. Quand on se perd, on devient égoïste, on ne pense plus qu’à soi, à sa survie : se retrouver, se retrouver en vie. Elle loue une chambre aux murs rouges chez Basile, un homme d’une soixantaine d’années passionné par la taxidermie ; au fil des jours, des liens très forts vont se nouer entre eux.
Neuf mois dans l’intimité d’êtres bousculés par la vie
Quatre voix pour raconter une existence blessée
La petite musique d’Anne-Frédérique Rochat
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Autre nouveau partenariat dont je suis fière, je vous en parle bien vite
Evelyne Heuffel
264 pages
ISBN 978-2-87586-037-8
19x11,5 cm
Quatrième de couverture
1993. Une lettre de Nacha m’invite à la rejoindre à Real de Catorce, un village mythique perdu dans le désert de San Luis Potosi. Ma réponse m’est retournée : adresse inconnue.
Nacha…
Elle gardait parfois ma petite fille, quand j’habitais à Mexico, il y a longtemps. Une femme fantasque dont la mère, racontait-elle, avait été recueillie par un lieutenant de Pancho Villa lors de la prise de Zacatecas, en 1914. Une Mexicaine qui vivait à travers les héros de ses romans préférés, et revivait sans cesse son film fétiche, L’Année dernière à Marienbad. Une fille du peuple qui disait avoir été poignardée dans le dos et porter un trait noir sur l’âme.
2004. Les histoires de Nacha me hantent : je pars la retrouver.
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Yoran Chakod (Poche)
Broché
11 x 17 cm
242 pages
Dessin de couverture : Yann Quéméneur
ISBN 978-2-914855-59-4
New York, hôpital Hilltop. Richard Casey aura bientôt 18 ans. Comme tous les ado- lescents, il voudrait faire la fête, draguer, s’envoyer en l’air, tomber amoureux…
La différence, c’est que Richard sait qu’il ne fêtera jamais
ses 19 ans. Il est un peu plus pressé que les autres et, pour vivre fort, il lui faut déjouer les pièges de tous ceux qui préféreraient le voir vivre un peu plus longtemps. Heureusement, Richard a de la ressource, du courage et un solide sens de l’humour. Alors il va ruer dans les brancards. Et si Dieu le déteste, il est prêt à rendre coup pour coup.
Vous n’êtes pas près d’oublier Richard Casey, comment il mena une révolution contre le corps médical, se glissa dans les draps de la jolie fille de la 302, réussit une évasion périlleuse avec la complicité d’un oncle dysfonctionnel, évita de tomber sous les coups d’un père vengeur, et joua finalement son destin au poker, dans un des plus beaux bluffs jamais montés contre le sort.
A Lille j'ai eu la chance de rencontre Laurence Fontaine (Bleu eldorado) et j'ai fait l'acquisition de son tout premier polar
Noir Dessein en Verte Erinn Laurence Fontaine
Yoran Chakod (Poche)
Broché
11 x 17 cm
242 pages
Dessin de couverture : Yann Quéméneur
ISBN 978-2-914855-59-4
Prix du Goéland masqué 2010
Quatrième de couverture
À la suite d'une petite annonce,une jeune femme anglaise se rend en Irlande afin d'inventorier la bibliothèque d'un vieil excentrique décédé. Elle découvre que cet homme était un scientifique raté, détesté des villageois. Peu à peu au coeur de la verte Irlande, le passé ressurgit, sous les traits d'un jeune homme, ancien employé du manoir, qui pourrait bien être à l'origine de crimes et d'accidents inexpliqués, perpétrés dans la région.
La musique semble être le lien entre passé et présent, entre instinct et érudition, la seule échappatoire à la folie , le seul langage capable d'exprimer l'inexplicable.
Laurence Fontaine, née à Lille, vit dans le nord de la France. Elle est passionnée de culture anglo-saxonne et a souvent séjourné en Irlande et aux Etats-Unis. Son premier roman, Bleu Eldorado, publié en 2002 évoquait une Amérique musicale et légendaire. Le second, Noir Dessein, s'ancre cette fois en Irlande, là où la verte Erinn côtoie les spectres d'un passé tourmenté.
À la suite d'une petite annonce,une jeune femme anglaise se rend en Irlande afin d'inventorier la bibliothèque d'un vieil excentrique décédé. Elle découvre que cet homme était un scientifique raté, détesté des villageois. Peu à peu au coeur de la verte Irlande, le passé ressurgit, sous les traits d'un jeune homme, ancien employé du manoir, qui pourrait bien être à l'origine de crimes et d'accidents inexpliqués, perpétrés dans la région.
La musique semble être le lien entre passé et présent, entre instinct et érudition, la seule échappatoire à la folie , le seul langage capable d'exprimer l'inexplicable.
Laurence Fontaine, née à Lille, vit dans le nord de la France. Elle est passionnée de culture anglo-saxonne et a souvent séjourné en Irlande et aux Etats-Unis. Son premier roman, Bleu Eldorado, publié en 2002 évoquait une Amérique musicale et légendaire. Le second, Noir Dessein, s'ancre cette fois en Irlande, là où la verte Erinn côtoie les spectres d'un passé tourmenté.
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Influencée si peu par la blogosphère
Dieu me déteste Hollis Seamon
La belle colère
Parution mars 2014
277 pages
19 euros
Quatrième de couverture
La différence, c’est que Richard sait qu’il ne fêtera jamais
ses 19 ans. Il est un peu plus pressé que les autres et, pour vivre fort, il lui faut déjouer les pièges de tous ceux qui préféreraient le voir vivre un peu plus longtemps. Heureusement, Richard a de la ressource, du courage et un solide sens de l’humour. Alors il va ruer dans les brancards. Et si Dieu le déteste, il est prêt à rendre coup pour coup.
Vous n’êtes pas près d’oublier Richard Casey, comment il mena une révolution contre le corps médical, se glissa dans les draps de la jolie fille de la 302, réussit une évasion périlleuse avec la complicité d’un oncle dysfonctionnel, évita de tomber sous les coups d’un père vengeur, et joua finalement son destin au poker, dans un des plus beaux bluffs jamais montés contre le sort.
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Il est de retour Timur Vermes
Traduit par Pierre DESHUSSES
Littérature étangère
Mai 2014
13,99 € - 313 p.
Mai 2014
13,99 € - 313 p.
Quatrième de couverture
Nous sommes à Berlin en 2011 et il est de retour. Qui ? Hitler. Tout à la fois hilarante et édifiante, une satire virtuose et prophétique sur nos sociétés fascinées par la célébrité et le culte de la personnalité, même si (ou a fortiori ?) ces « people » font, au mieux, preuve d'une bêtise crasse ou, au pire, professent des idées nauséabondes.
A Berlin, en 2011.
Soixante-six ans après sa disparition, Hitler se réveille dans un terrain vague de Berlin. Et il n'est pas content : quoi, plus personne ne fait le salut nazi ? L'Allemagne ne rayonne plus sur l'Europe ? Tous ces Turcs qui ont pignon sur rue sont venus de leur plein gré ? Et, surtout, c'est une FEMME qui dirige le pays ?
Il est temps d'agir. Le Führer est de retour et va remettre le pays dans le droit chemin. Et pour ça, il lui faut une tribune. Ça tombe bien, une équipe de télé, par l'odeur du bon filon alléchée, est toute prête à la lui fournir.
La machine médiatique s'emballe et bientôt, le pays ne parle plus que de ça. Pensez-vous, cet homme ne dit pas que des âneries ! En voilà un au moins qui ne mâche pas ses mots. Et ça fait du bien, en ces temps de crise...
Hitler est ravi qui n'en demandait pas tant. Il le sent, le pays est prêt. Reste pour lui à porter l'estocade qui lui permettra d'accomplir enfin ce qu'il n'avait pu achever...
Nous sommes à Berlin en 2011 et il est de retour. Qui ? Hitler. Tout à la fois hilarante et édifiante, une satire virtuose et prophétique sur nos sociétés fascinées par la célébrité et le culte de la personnalité, même si (ou a fortiori ?) ces « people » font, au mieux, preuve d'une bêtise crasse ou, au pire, professent des idées nauséabondes.
A Berlin, en 2011.
Soixante-six ans après sa disparition, Hitler se réveille dans un terrain vague de Berlin. Et il n'est pas content : quoi, plus personne ne fait le salut nazi ? L'Allemagne ne rayonne plus sur l'Europe ? Tous ces Turcs qui ont pignon sur rue sont venus de leur plein gré ? Et, surtout, c'est une FEMME qui dirige le pays ?
Il est temps d'agir. Le Führer est de retour et va remettre le pays dans le droit chemin. Et pour ça, il lui faut une tribune. Ça tombe bien, une équipe de télé, par l'odeur du bon filon alléchée, est toute prête à la lui fournir.
La machine médiatique s'emballe et bientôt, le pays ne parle plus que de ça. Pensez-vous, cet homme ne dit pas que des âneries ! En voilà un au moins qui ne mâche pas ses mots. Et ça fait du bien, en ces temps de crise...
Hitler est ravi qui n'en demandait pas tant. Il le sent, le pays est prêt. Reste pour lui à porter l'estocade qui lui permettra d'accomplir enfin ce qu'il n'avait pu achever...
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Deux envies depuis un moment
DANSE NOIRE Nancy Houston
trouvé chez un bouquiniste
Août, 2013
11,5 x 21,7
368 pages
ISBN 978-2-330-02265-5
prix indicatif : 21, 00€
Quatrième de couverture
Roman «Un sacré numéro, Idgie ! La première fois qu'elle a vu Ruth, elle a piqué un fard et elle a filé à l'étage pour se laver et se mettre de la gomina. Par la suite, elles ont ouvert le café et ne se sont plus jamais quittées. Ah ! les beignets de tomates vertes du Whistle Stop Café... J'en salive encore !» Au sud de l'Amérique profonde, en Alabama, un café au bord d'une voie ferrée... Ninny, quatre-vingt-six ans, se souvient et raconte à Evelyn les histoires incroyables de Whistle Stop. Et Evelyn, qui vit très mal l'approche de la cinquantaine et sa condition de femme rangée, découvre un autre monde. Grâce à l'adorable vieille dame, elle peut enfin se révéler, s'affirmer... Une chronique nostalgique et tendre, généreuse et colorée, pleine de saveur et d'humour. Un baume au coeur, chaud et sucré.
prix indicatif : 21, 00€
Quatrième de couverture
Sur un lit d’hôpital, Milo s’éteint lentement. À son chevet, le réalisateur new-yorkais Paul Schwarz rêve d’un ultime projet commun : un film qu’ils écriraient ensemble à partir de l’incroyable parcours de Milo. Dans un grand mouvement musical pour chanter ses origines d’abord effacées puis peu à peu recomposées, ce film suivrait trois lignes de vie qui, traversant guerres et exils, invasions et résistances, nous plongeraient dans la tension insoluble entre le Vieux et le Nouveau Monde, le besoin de transmission et le rêve de recommencement.
Du début du xxe siècle à nos jours, de l’Irlande au Canada, de la chambre sordide d’une prostituée indienne aux rythmes lancinants de la capoeira brésilienne, d’un hôpital catholique québecois aux soirées prestigieuses de New York, cette histoire d’amour et de renoncement est habitée d’un bout à l’autre par le bruissement des langues et l’engagement des coeurs.
Film ou roman, roman d’un film, Danse noire est l’oeuvre totale, libre et accomplie d’une romancière au sommet de son art.
«Toute création, même la divine, prend sa source dans un trou noir.
Vingt ans après Cantique des plaines, Danse noire explore les racines enfouies et les fruits parfois difformes de l’identité canadienne... et de l’identité tout court.
Mon idée de départ, comme si souvent, était musicale : de même qu’un prélude de Bach fait souvent avancer simultanément trois airs à des rythmes différents, de même, ici, j’ai suivi trois destinées très dissemblables, pourtant soudées par des liens de sang. Comme trois fils de couleur, tressés dans le temps…
Premier fil : le Québecois Milo Noirlac, coeur sombre du roman. Être étrangement passif et comme détaché de tout, sombre mais joyeux, dépressif mais curieux, scénariste de son état, il reconstitue l’histoire de sa vie avec l’aide de son amant le réalisateur Paul Schwarz, pour en faire un film. Ainsi assiste-t-on en direct (et en abyme) à la “cuisine” de la création : comment les deux hommes s’y prendront-ils pour construire les scènes, échafauder les dialogues et amener les « spectateurs » à s’identifier aux personnages ? Deuxième fil : prostituée indienne de Montréal, Awinita, la mère de Milo, l’a abandonné dès sa naissance. Les autochtones sont depuis cinq siècles l’ombre portée des deux continents américains… Awinita ne connaît de langue qu’orale : Cri est le nom de sa tribu mais aussi le timbre secret de sa voix. Milo n’a pour ainsi dire pas de souvenir d’elle ; n’empêche qu’elle lui a transmis un héritage crucial ; ce sont les rythmes, la colère, le lien à la Terre et la force vitale de ces peuples écrasés qu’il reconnaîtra plus tard dans la capoeira brésilienne, qui deviendra sa passion.
Enfin, Neil Kerrigan alias Noirlac, le merveilleux grand-père de Milo, grand raté comme je les aime, était dans sa jeunesse un avocat irlandais, passionné de Yeats et de Joyce. Impliqué dans la rébellion de Pâques à Dublin en 1916, il a été obligé d’émigrer au Québec deux ans plus tard. Cet exil lui a fait perdre non seulement sa terre mais aussi sa langue, et ses ambitions littéraires en ont été fracassées…
Danse noire est profondément un roman sur l’exil et la transmission, sur l’incompréhension dont Babel est un symbole… et sur la fragile possibilité de rédemption grâce à la transformation artistique.» N.H.
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Un petit poche pour terminer cette longue liste
Du début du xxe siècle à nos jours, de l’Irlande au Canada, de la chambre sordide d’une prostituée indienne aux rythmes lancinants de la capoeira brésilienne, d’un hôpital catholique québecois aux soirées prestigieuses de New York, cette histoire d’amour et de renoncement est habitée d’un bout à l’autre par le bruissement des langues et l’engagement des coeurs.
Film ou roman, roman d’un film, Danse noire est l’oeuvre totale, libre et accomplie d’une romancière au sommet de son art.
«Toute création, même la divine, prend sa source dans un trou noir.
Vingt ans après Cantique des plaines, Danse noire explore les racines enfouies et les fruits parfois difformes de l’identité canadienne... et de l’identité tout court.
Mon idée de départ, comme si souvent, était musicale : de même qu’un prélude de Bach fait souvent avancer simultanément trois airs à des rythmes différents, de même, ici, j’ai suivi trois destinées très dissemblables, pourtant soudées par des liens de sang. Comme trois fils de couleur, tressés dans le temps…
Premier fil : le Québecois Milo Noirlac, coeur sombre du roman. Être étrangement passif et comme détaché de tout, sombre mais joyeux, dépressif mais curieux, scénariste de son état, il reconstitue l’histoire de sa vie avec l’aide de son amant le réalisateur Paul Schwarz, pour en faire un film. Ainsi assiste-t-on en direct (et en abyme) à la “cuisine” de la création : comment les deux hommes s’y prendront-ils pour construire les scènes, échafauder les dialogues et amener les « spectateurs » à s’identifier aux personnages ? Deuxième fil : prostituée indienne de Montréal, Awinita, la mère de Milo, l’a abandonné dès sa naissance. Les autochtones sont depuis cinq siècles l’ombre portée des deux continents américains… Awinita ne connaît de langue qu’orale : Cri est le nom de sa tribu mais aussi le timbre secret de sa voix. Milo n’a pour ainsi dire pas de souvenir d’elle ; n’empêche qu’elle lui a transmis un héritage crucial ; ce sont les rythmes, la colère, le lien à la Terre et la force vitale de ces peuples écrasés qu’il reconnaîtra plus tard dans la capoeira brésilienne, qui deviendra sa passion.
Enfin, Neil Kerrigan alias Noirlac, le merveilleux grand-père de Milo, grand raté comme je les aime, était dans sa jeunesse un avocat irlandais, passionné de Yeats et de Joyce. Impliqué dans la rébellion de Pâques à Dublin en 1916, il a été obligé d’émigrer au Québec deux ans plus tard. Cet exil lui a fait perdre non seulement sa terre mais aussi sa langue, et ses ambitions littéraires en ont été fracassées…
Danse noire est profondément un roman sur l’exil et la transmission, sur l’incompréhension dont Babel est un symbole… et sur la fragile possibilité de rédemption grâce à la transformation artistique.» N.H.
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Un petit poche pour terminer cette longue liste
BEIGNETS DE TOMATES VERTES Fannie FLAGG
Auteur(s) : Flagg, Fannie
Dmensions : 11x17.8x2.4 cm
Prix : 7,80 €
EAN : 9782290020579
Seriel : JLI 3315
Date de parution : 10/08/2009
Dmensions : 11x17.8x2.4 cm
Prix : 7,80 €
EAN : 9782290020579
Seriel : JLI 3315
Date de parution : 10/08/2009
Quatrième de couverture
Roman «Un sacré numéro, Idgie ! La première fois qu'elle a vu Ruth, elle a piqué un fard et elle a filé à l'étage pour se laver et se mettre de la gomina. Par la suite, elles ont ouvert le café et ne se sont plus jamais quittées. Ah ! les beignets de tomates vertes du Whistle Stop Café... J'en salive encore !» Au sud de l'Amérique profonde, en Alabama, un café au bord d'une voie ferrée... Ninny, quatre-vingt-six ans, se souvient et raconte à Evelyn les histoires incroyables de Whistle Stop. Et Evelyn, qui vit très mal l'approche de la cinquantaine et sa condition de femme rangée, découvre un autre monde. Grâce à l'adorable vieille dame, elle peut enfin se révéler, s'affirmer... Une chronique nostalgique et tendre, généreuse et colorée, pleine de saveur et d'humour. Un baume au coeur, chaud et sucré.
2 commentaires:
36 chandelles et L'île du serment me tentent beaucoup : en liste prioritaire pour la rentrée :) Hâte de lire ton avis les concernant.
J'ai beaucoup aimé Dieu me déteste et Danse noire (Nancy Huston fait partie de mes auteurs préférés); quant aux Beignets, je te souhaite de passer un aussi bon moment que moi (fais-le durer, c'est du bonheur en pages)
J'ai beaucoup aimé 36 chandelles, j'emporte le Peter May pour les vacances la parution étant en septembre. J'ai hâte de lire Dieu me déteste.
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