Cadeau concours, un tout grand merci aux Editions Points et à ??? gros trou de mémoire pour ce beau cadeau
L'Enfant de sable
TAHAR BEN JELLOUN
Points
6,3€
192 pages
Paru le 15/09/2014
EAN : 9782757847930
L'Enfant de sable
TAHAR BEN JELLOUN
Quatrième de couverture
Sur une place de Marrakech, un conteur relate l’histoire d’Ahmed, un homme au destin aussi troublant que fabuleux. Élevé dans le mensonge pour sauver l’honneur de son père, Ahmed n’a de masculin que le nom. Un sexe et une condition imposés qu’il finit par revendiquer : à vingt ans, il pousse le zèle jusqu’à s’unir à une fille délaissée, bientôt complice de sa vertigineuse descente aux enfers…
Écrivain d’origine marocaine mondialement connu, Tahar Ben Jelloun est né à Fez en 1944. Il a écrit des romans, des essais et des recueils de poésie. Il a obtenu le prix Goncourt pour La Nuit sacrée en 1987 et le prix international IMPAC en 2004 pour Cette aveuglante absence de lumière, également en Points.
« Une aventure qui semble sortie tout droit des Mille et Une Nuits. »
J. M. G Le Clézio
Paru le 15/09/2014
EAN : 9782757847930
L'Enfant de sable
TAHAR BEN JELLOUN
Quatrième de couverture
Sur une place de Marrakech, un conteur relate l’histoire d’Ahmed, un homme au destin aussi troublant que fabuleux. Élevé dans le mensonge pour sauver l’honneur de son père, Ahmed n’a de masculin que le nom. Un sexe et une condition imposés qu’il finit par revendiquer : à vingt ans, il pousse le zèle jusqu’à s’unir à une fille délaissée, bientôt complice de sa vertigineuse descente aux enfers…
Écrivain d’origine marocaine mondialement connu, Tahar Ben Jelloun est né à Fez en 1944. Il a écrit des romans, des essais et des recueils de poésie. Il a obtenu le prix Goncourt pour La Nuit sacrée en 1987 et le prix international IMPAC en 2004 pour Cette aveuglante absence de lumière, également en Points.
« Une aventure qui semble sortie tout droit des Mille et Une Nuits. »
J. M. G Le Clézio
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La Nuit sacrée
TAHAR BEN JELLOUN
Editions Points
6,3€
192 pages
Paru le 15/09/2014
EAN : 978275784794
Quatrième de couverture
La vingt-septième nuit du mois de ramadan, l’existence d’Ahmed est bouleversée. En mourant, son père la libère d’un lourd fardeau : élevée comme un fils, elle retrouve sa féminité. Aujourd’hui âgée, Ahmed, devenue Zahra, rétablit la vérité et livre son secret. Elle revient sur son passé, et sur cette belle journée où, enlevée par un mystérieux cavalier, elle atterrit dans un village hors du temps, entre rêve et réalité…
Écrivain d’origine marocaine mondialement connu, Tahar Ben Jelloun est né à Fès en 1944. Membre de l’académie Goncourt depuis 2008, Tahar Ben Jelloun a été distingué par de très nombreux prix littéraires. La plupart de ses romans sont disponibles en Points.
« Un beau chant de grâce en l’honneur de la femme qui trouve en elle la force, dans une société régentée par les mâles, d’affirmer son existence autonome. »
Le Monde
Paru le 15/09/2014
EAN : 978275784794
Quatrième de couverture
La vingt-septième nuit du mois de ramadan, l’existence d’Ahmed est bouleversée. En mourant, son père la libère d’un lourd fardeau : élevée comme un fils, elle retrouve sa féminité. Aujourd’hui âgée, Ahmed, devenue Zahra, rétablit la vérité et livre son secret. Elle revient sur son passé, et sur cette belle journée où, enlevée par un mystérieux cavalier, elle atterrit dans un village hors du temps, entre rêve et réalité…
Écrivain d’origine marocaine mondialement connu, Tahar Ben Jelloun est né à Fès en 1944. Membre de l’académie Goncourt depuis 2008, Tahar Ben Jelloun a été distingué par de très nombreux prix littéraires. La plupart de ses romans sont disponibles en Points.
« Un beau chant de grâce en l’honneur de la femme qui trouve en elle la force, dans une société régentée par les mâles, d’affirmer son existence autonome. »
Le Monde
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La petite communiste qui ne souriait jamais
Lola Lafon
Actes Sud
Janvier, 2014
11,5 x 21,7
320 pages
ISBN 978-2-330-02728-5
prix indicatif : 21, 00€
Quatrième de couverture
Parce qu’elle est fascinée par le destin de la miraculeuse petite gymnaste roumaine de quatorze ans apparue aux jo de Montréal en 1976 pour mettre à mal guerres froides, ordinateurs et records au point d’accéder au statut de mythe planétaire, la narratrice de ce roman entreprend de raconter ce qu’elle imagine de l’expérience que vécut cette prodigieuse fillette, symbole d’une Europe révolue, venue, par la seule pureté de ses gestes, incarner aux yeux désabusés du monde le rêve d’une enfance éternelle. Mais quelle version retenir du parcours de cette petite communiste qui ne souriait jamais et qui voltigea, d’Est en Ouest, devant ses juges, sportifs, politiques ou médiatiques, entre adoration des foules et manipulations étatiques ?
Mimétique de l’audace féerique des figures jadis tracées au ciel de la compétition par une simple enfant, le romanacrobate de Lola Lafon, plus proche de la légende d’Icare que de la mythologie des “dieux du stade”, rend l’hommage d’une fiction inspirée à celle-là, qui, d’un coup de pied à la lune, a ravagé le chemin rétréci qu’on réserve aux petites filles, ces petites filles de l’été 1976 qui, grâce à elle, ont rêvé de s’élancer dans le vide, les abdos serrés et la peau nue.
"C’est un dialogue fantasmé entre Nadia Comaneci, la jeune gymnaste roumaine de quatorze ans devenue, dès son apparition aux J. O. de 1976, une idole pop sportive à l’Ouest et « plus jeune héroïne communiste » à l’Est, et la narratrice, « Candide occidentale » fascinée, qui entreprend d’écrire son histoire, doutant, à raison, des versions officielles. L’histoire d’une jeune fille face à ses juges, qu’ils soient sportifs, politiques, médiatiques, désirée et manipulée également par les États, qu’ils soient communistes ou libéraux. L’histoire, aussi, de ce monde disparu et si souvent caricaturé : l’Europe de l’Est où j’ai grandi, coupée du monde, aujourd’hui enfouie dans une Histoire close par la chute d’un Mur.
Comment raconter cette « petite communiste » à qui toutes les petites filles de l’Ouest ont rêvé de ressembler et qui reste une des dernières images médiatiques non sexualisée de jeune fille sacralisée par un Occident en manque d’ange laïque ?
La Petite Communiste qui ne souriait jamais est l’histoire de différentes fabrications et réécritures : réécriture, par CeauŞescu, du communisme dans la Roumanie des années 1980, fabrication du corps des gymnastes à l’Est comme à l’Ouest, réécriture occidentale de ce que fut la vie à l’Est, réécriture et fabrication du récit par l’héroïne-sujet, qui contredit souvent la narratrice et, enfin, réécriture du corps féminin par ceux qui ne se lassent jamais de le commenter et de le noter…
C’est cette phrase-là, à la une d’un quotidien français, commentant Nadia Comaneci aux J. O. de Moscou, qui m’a décidée à écrire ce roman : « La petite fille s’est muée en femme, verdict : la magie est tombée. » Ce roman est, peut-être, un hommage à celle-là, qui, d’un coup de pied à la lune, a ravagé le chemin rétréci qu’on réserve aux petites filles, ces petites filles de l’été 1976 qui, grâce à elle, ont rêvé de s’élancer dans le vide, les abdos serrés et la peau nue."
L. L.
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Voyageur malgré lui
Minh Tran Huy
Auteur(s):Huy, Minh Tran
Parution:20/08/2014
Format:13.5x21x1.5 cm
Prix:18,00 €
EAN:9782081333567
Voyageur malgré lui Un été, au hasard de ses déambulations new-yorkaises, Line découvre dans un musée l'existence d'Albert Dadas, premier cas, au XIXe siècle, de « tourisme pathologique ». L'histoire de ce fugueur maladif, sans cesse jeté sur les routes par son Impérieuse soif d'ailleurs, fait remonter en Line d'autres souvenirs, liés aux « voyageurs malgré eux » de sa propre famille : Thinh, l'oncle si étrange, Hoai, la cousine disparue et, surtout, son père. Cet homme bousculé par l'Histoire, cet immigré aux vies multiples qui a longtemps gardé le silence. Grâce à Line, Il va enfin partager les secrets de son enfance. En naviguant entre mémoire familiale et mémoire collective, Line déterre le passé et entrecroise les destins de quelques exilés de notre siècle que la misère, la guerre ou la folie ont conduit à errer entre deux rives. Et le roman rend hommage à tous ces déracinés de la plus belle façon qui soit : en les faisant revivre.
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On aurait dit une femme couchée sur le dos
ses longs cheveux de pierre descendant jusque dans l'eau
Corine Jamar
Fuyant son père et son passé, Samira a trouvé en Crète un lieu pour vivre, un univers qui, s’il lui demeure un peu étranger, est devenu profondément le sien, sublimé par la mer et les montagnes qui en forment les contours. Elle épouse là le bel Eleftheris et ouvre une petite cantine sur la plage de l’Akrotiri, mondialement célèbre depuis le succès du film Zorba le Grec. Son bonheur n’est cependant pas sans ombres. Comment oublier qu’elle a trahi de vieux amis pour le gagner ? Comment accepter les règles ancestrales, parfois si violentes, qui gouvernent la communauté où elle vit désormais ? Guidée par la présence quasi palpable des dieux anciens et soutenue par son ami Walter, le chef opérateur de Zorba, qui a choisi lui aussi de vivre sur l’île, Samira trace lentement son chemin vers la réconciliation avec elle-même.
ISBN 978-2-85920-994-0
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Et une petite brique pour terminer, j'avais adoré L'île du serment cet été donc quoi de plus normal de découvrir un classique réédité en un volume.
La trilogie écossaise
Peter May
Broché: 1024 pages
Editeur : Editions du Rouergue (8 octobre 2014)
Collection : Rouergue noir
Langue : Français
ISBN-10: 2812607068
ISBN-13: 978-2812607066
Dimensions du produit: 24 x 4,5 x 15,1 cm
Prix indicatif 26.90
Quatrième de couverture
Extrait
Il était tard et la chaleur était étouffante. Fin avait du mal à se concentrer, oppressé par l'obscurité de son bureau qui le maintenait enfoncé dans son siège, comme une immense paire de mains, noires et douces. Le rond de lumière que la lampe projetait sur son bureau l'attirait tel un papillon de nuit et lui brûlait les yeux. Ébloui, il avait du mal à faire le point sur ses notes. À côté de lui, il percevait le scintillement du moniteur de son ordinateur dont le ronflement ne parvenait pas à troubler le calme ambiant. Il aurait dû être au lit depuis un bon moment, mais il devait à tout prix finir cette dissertation. Ces cours par correspondance étaient son unique porte de sortie et il n'avait rien fichu jusqu'à la dernière minute. Stupide.
Il sentit un mouvement dans son dos, près de la porte, et pivota rageusement sur son siège, s'attendant à trouver Mona. Mais ses reproches ne franchirent pas ses lèvres. Au lieu de Mona, il se retrouva, stupéfait, face à un homme si grand qu'il avait du mal à se tenir droit. Sa tête était penchée sur le côté pour éviter de toucher le plafond. Les pièces n'étaient pas hautes, mais il devait mesurer près de deux mètres cinquante. Il avait des jambes immenses et un pantalon sombre qui se tassait en plis autour d'une paire de bottes noires. Sa chemise à carreaux en coton était rentrée à la ceinture et, par-dessus, il portait un anorak grand ouvert dont il avait relevé le col, laissant la capuche pendre dans son dos. Les bras ballants, des mains immenses émergeant de manches trop courtes. Le visage ridé, rendu lugubre par des yeux sombres et inexpressifs. Des cheveux longs et gras pendant derrière les oreilles. Fin lui donnait la soixantaine. Il restait muet, immobile, fixant Fin. Son ombre, dessinée par la lumière, se découpait sur le bureau, semblable à une statue. Au nom du Ciel, qu'est-ce que ce type faisait là ? Tous ses poils se hérissèrent et Fin sentit la peur s'emparer de lui, l'envelopper comme un gant.
Puis, très loin, il entendit sa propre voix, le gémissement d'un enfant, dans le noir. «Un bonhomme biza-arre...» L'homme continuait à le fixer. «Il y a un bonhomme biza-arre...»
«Qu'est-ce qui se passe, Fin ?» C'était la voix de Mona. Paniquée, elle le secouait par l'épaule.
Tandis qu'il ouvrait les yeux et voyait son visage apeuré et inquiet, encore gonflé de sommeil, il s'entendit gémir : «Bonhomme biza-arre...»
«Mais bon Dieu, qu'est-ce qui ne va pas ?»
Il s'écarta d'elle et s'allongea sur le dos, respirant à fond pour essayer de reprendre son souffle. Son coeur battait à cent à l'heure. «C'est juste un rêve. Un mauvais rêve.» L'image de l'homme dans son bureau était encore là, comme un cauchemar d'enfance. Il jeta un oeil au réveil sur la table de chevet. Quatre heures sept. Il essaya d'avaler sa salive, mais sa bouche était sèche et il comprit qu'il ne parviendrait pas à se rendormir.
«Tu m'as vraiment fichu la trouille.
- Désolé.»
Il repoussa les couvertures et s'assit au bord du lit. Il ferma les yeux puis se frotta le visage, mais l'homme était toujours là, gravé sur sa rétine. Il se mit debout.
«Où vas-tu ?
- Pisser.»
Présentation de l'éditeur
L'Ile des chasseurs d'oiseaux,
Prix Ancres Noires
En rupture de ban avec son passé, l'inspecteur Fin McLeod, meurtri par la disparition tragique de son fils unique, est de retour sur son île natale où, chaque année, une douzaine d'hommes partent en expédition à plusieurs heures de navigation pour tuer des oiseaux nicheurs. Sur fond de traditions ancestrales d'une cruauté absolue, Peter May nous plonge au coeur d'une enquête déchirante, qui va obliger McLeod à affronter sa propre histoire.
L'Homme de Lewis, Prix Ancres noires,
Prix international du polar de Cognac
Alors que Fin rentre définitivement au pays, on découvre le cadavre d'un jeune homme, miraculeusement préservé dans une tourbière. Les analyses ADN relient le corps à un vieil homme atteint de la maladie d'Alzheimer, Tormod Macdonald, et font de celui-ci le suspect n°1. Au rythme des fulgurances qui traversent l'esprit malade de Tormod, le passé ressurgit, et avec lui l'histoire des homers, ces orphelins exilés aux Hébrides et corvéables à merci.
Le Braconnier du lac perdu,
Prix international du polar de Cognac
Whistler était le plus brillant des amis de Fin. Le plus loyal. Par deux fois, il lui a sauvé la vie. Promis au plus bel avenir, il a pourtant refusé de quitter l'île où il vit aujourd'hui comme un vagabond. Sauvage. Asocial. Privé de la garde de sa fille unique. Or voici que Fin doit prendre en chasse les braconniers qui pillent les eaux sauvages de Lewis. Et Whistler est, d'entre tous, le plus redoutable des braconniers.
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